Eugene Guillevic Gagner

Documents Pierre Reverdy, « Il reste toujours quelque chose », La Lucarne ovale, 1916. Paul Éluard, « Le front aux vitres », L'Amour, la poésie, 1929. Jacques Brel, « Les Fenêtres », 1963 (chanson). Eugène Guillevic, « Regarder », Étier, 1979. Pour quelles raisons le thème de la fenêtre inspire-t-il les poètes dans les quatre textes du corpus ? Votre réponse n'excédera pas une quarantaine de lignes. Après avoir répondu à cette question, les candidats devront traiter au choix un des trois

Ce poème d'Eugène Guillevic "Bretagne", extrait du recueil Exécutoire (1947) nous fait part d'un remarquable témoignage de l'atrocité de la guerre 39-45, ce qui justifie qu'il appartienne aux poèmes engagés. Cependant, ici, le poète a choisi de représenter sa région natale comme lieu de l'action. Ce poème est composé de trois distiqueset de trois tercets. Il évoque un massacre, la destruction d'une maison. On remarque également que cet écrit est vu du point de vue d'une femme : "mon mari aussi

cela n’attire pas tout les Hommes qui préfèrent le matériel au superficiel. Arthur Rimbaud, dans « Les Poésies complètes », publié en 1870, fait partager au lecteur sa vision du monde qui se résume à deux symboles, les femmes et la nourriture. Eugène Guillevic, dans « Terres et Bonheur » publié en 1951, explique que la vie est une vie animale, et que tous sont des animaux soumis à la lumière à l’espace et au temps. Cela nous amène à nous demander : Quel rapport du poète au monde et à la vie s’exprime

« On ne possède jamais rien qu’un peu de temps » dixit Eugène Guillevic, un des poètes français les plus importants de la seconde moitié du XXe siècle. Le temps s’écoule, inexorablement. Synonyme de vie, il disparaît en même temps qu’il se donne. Il est ce qui permet tout changement, toute évolution. Mais peut-on vraiment posséder le temps ? « Quel animal possède quatre pattes au matin, deux pattes à midi et trois pattes au soir ? ». Cette énigme posée un jour à Œdipe nous montre que nous sommes

sens quasi chimique du terme. Francis Ponge (fasciné par la transformation par la main de l’homme, par exemple de la farine en « pain » ou de l’arbre en bois qui donnera le « cageot »), jacques Réda, Bosquet (celui du recueil Maître-objet) ou Eugène Guillevic (très concentré sur des éléments minéraux comme le roc) n’entendent pas ajouter à l’objet quelque chose qu’ils n’auraient pas : cette poésie très essentialiste ne peint pas par –dessus le réel, elle n’entend pas le vernir ou le polir mais bien

inspiré par les dieux qui a pour ambition de guider les hommes. On constate que, tout comme Victor Hugo, Léo Ferré utilise une forme poétique fixe, c'est-à-dire qu’il doit respecter des règles strictes sans aucune liberté. Tout au contraire, Eugène Guillevic dans « Inclus » emploi des vers libres. Dans cette forme, le vers se libère des contraintes classiques, les mètres varient, la strophe régulière et les rimes sont abandonnées, la ponctuation peut disparaître. Il conserve cependant le retour à

- 1976 : Pilar meurt à son tour ; elle est enterrée aux côtés de son mari. - 1990 : La ville d'Oloron-Sainte-Marie crée le prix Jules-Supervielle ; parmi ses lauréats, on relève les noms de poètes contemporains majeurs : Alain Bosquet, Eugène Guillevic, Henri Thomas, Jean Grosjean et Lionel Ray. - 1996 : Parution des oeuvres poétiques complètes de Jules Supervielle dans la Bibliothèque de La Pléiade, aux éditions Gallimard.

plus récente a pu choisir de se détourner des chemins du songe et condamner même « les impostures de la poésie » (Roger Caillois) pour revendiquer un rapport aux choses les plus proches et aux réalités tangibles (Francis Ponge, Jean Follain, Eugène Guillevic, Philippe Jaccottet…). Les chemins du rêve furent ainsi un merveilleux déclencheur d’une modernité dont la poésie contemporaine a désormais établi le bilan critique. Quelques oeuvres - L. ARAGON, Une Vague de rêves. - A. BERTRAND, Gaspard

Dissertation Février Séquence 3 - Ecriture poétique et quete du sens Oeuvre intégrale étudiée : Aimé Césaire, le cachier d'un retour au pays natal Le poète Eugène Guillevic parle souvent dans son oeuvre de la "douceur des mots" ("douceur" dans Terre à bonheur, 1952) et affirme dans son recueil Terraqué que les mots peuvent apaiser le monde, puisqu'avec eux, écrit-il : "Nous liquiderons la peur/De la nuit/Nous ferons du jour plus tendre". Croyez-vous comme lui, que le langage poétique

autoportrait de Gustave Courbet. Le peintre s'est représenter se tenant la tête avec les mains comme si il était triste. Il illustre parfaitement le poème car Charles Beaudelaire parle de la douleur dans celui-ci. Le poème fourmis fourmis de Eugene Guillevic est l'un de mes préférés. La fourmis qui est enfaîte comparée aux humain est encore vérifiable de nos jours. Il est très court mais le sujet abordé est facile a comprendre. Pour l’illustrer j'ai choisit un tableau représentant des humains qui