Eugénie Grandet Une Tragédie

au-dessous de la peinture. Aussi peut-il m’être permis de faire remarquer combien il se trouve de figures irréprochables (comme vertu) dans les portions publiées de cet ouvrage : Pierrette Lorrain, Ursule Mirouët, Constance Birotteau, la Fosseuse, Eugénie Grandet, Marguerite Claës, Pauline de Villenoix, madame Jules, madame de La Chanterie, Eve Chardon, mademoiselle d’Esgrignon, madame Firmiani, Agathe Rouget, Renée de Maucombe ; enfin bien des figures du second plan, qui pour être moins en relief que

de la peinture. Aussi peut-il m’être permis de faire remarquer combien il se trouve de figures irréprochables (comme vertu) dans les portions publiées de cet ouvrage : Pierrette Lorrain, Ursule Mirouët, Constance Birotteau, la Fosseuse, Eugénie Grandet, Marguerite Claës, Pauline de Villenoix, Mme Jules, Mme de La Chanterie, Ève Chardon, Mlle d’Esgrignon, Mme Firmiani, Agathe Rouget, Renée de Maucombe ; enfin bien des figures du second plan, qui pour être moins en relief que celles-ci, n’en

au-dessous de la peinture. Aussi peut-il m’être permis de faire remarquer combien il se trouve de figures irréprochables (comme vertu) dans les portions publiées de cet ouvrage : Pierrette Lorrain, Ursule Mirouët, Constance Birotteau, la Fosseuse, Eugénie Grandet, Marguerite Claës, Pauline de Vil- lenoix, madame Jules, madame de La Chanterie, Eve Chardon, mademoiselle d’Esgrignon, madame Firmiani, Agathe Rouget, Renée de Maucombe ; enfin bien des figures du second plan, qui pour être moins en relief que

naissance des banques (Crédit Lyonnais, Crédit Foncier, Société générale) La bourse joue un rôle considérable en France et en Europe et l'argent devient le thème récurrent des romans de la deuxième moitié du XIXème siècle. (« Le père Goriot », « Eugénie Grandet » de Balzac  ou « La curée » du même Emile Zola, par exemple.) De 1849 à 1870, les banques représentent 25 % de la Bourse de Paris, puis 40 % lors de spéculation précédant la crise bancaire de mai 1873. Le krach de l'Union générale de 1882 ramène

au-dessous de la peinture. Aussi peut-il m’être permis de faire remarquer combien il se trouve de figures irréprochables (comme vertu) dans les portions publiées de cet ouvrage : Pierrette Lorrain, Ursule Mirouët, Constance Birotteau, la Fosseuse, Eugénie Grandet, Marguerite Claës, Pauline de Villenoix, madame Jules, madame de La Chanterie, Ève Chardon, mademoiselle d’Esgrignon, madame Firmiani, Agathe Rouget, Renée de Maucombe ; enfin bien des figures du second plan, qui pour être moins en relief que

politique à la hauteur de la littérature ». La littérature, incarnation fictionnelle des rapports humains, réflexion philosophique et mise en œuvre esthétique, transcende l’éphémère d’évènements politiques sordides – on est davantage troublé par une tragédie grecque que par un travail journalistique. Alors que le simple reportage est superficiel et éphémère, la littérature interroge les valeurs suprêmes, profondes et éternelles qui fondent l’humanité. Le roman de Brink aura d’ailleurs une véritable influence

débuts de roman qui vont encore vous montrer l’importance de cette partie du récit par le monde qu’ils créent et qui influe sur le lecteur ou même le « crée ». Peut-être vous donneront-ils envie de les lire... 1. Honoré de Balzac (1799-1850), Eugénie Grandet (1834) [Dédicace] À Maria Que votre nom, dont le portrait est le plus bel ornement de cet ouvrage, soit ici comme une branche de buis bénit, prise on ne sait à quel arbre, mais certainement sanctifiée par la religion et renouvelée, toujours verte

réalisme. À commencer par « Gobseck » (1831), en passant par « La Peau de Chagrin » (1831) et « Louis Lambert » (1832) les tendances réalistes prennent de la vigueure et repoussent peu à peu celles romantiques pour triompher sur ces dernières dans « Eugénie Grandet » (1833), premier roman réaliste de BALZAC. Ensuite BALZAC publie « Le Père Goriot » (1834 à1835), « Le Lys dans la Vallée » (1835 à 1836). À cette époque leur auteur songe à grouper ses scènes et études en un ensemble organisé qui serait une

appliquée au mythe d’Orphée Corpus : Texte A : Virgile, Géorgiques, 29 av.J.-C. Texte B : Ronsard, « L’Orphée en forme d’élégie », Les Quatre saisons de l’an, avec une églogue, 1563. Texte C : Rilke, Sonnets à Orphée, 1922. Texte D : Cocteau, Orphée, « Tragédie en un acte et un intervalle », 1926. Intertextualité 22 Séquence 8 – FR10 © Cned – Académie en ligne Séquence 8 – FR10 23 © Cned – Académie en ligne Texte C Rilke, Sonnets à Orphée Mais toi, être divin, voix jusqu’au bout toutours chantante

romans, contes et nouvelles écrits entre 1829 et 1848. Le groupe le plus important (de très loin) est celui des études de mœurs découpées en « scènes de la vie privée » (Le Père Goriot, Le Colonel Chabert…), « scènes de la vie de province » (Eugénie Grandet, Le Lys dans la vallée, Illusions perdues), « scènes de la vie parisienne » (César Birotteau, La Cousine Bette…), « scènes de la vie politique  » (Une ténébreuse affaire…), « scènes de la vie militaire » (Les Chouans…) et « scènes de la vie de