Euphemisme

N’écris pas » dans les 3 premières strophes puis disparition du tiret dans la dernière strophe. L’absence du tiret dans la dernière strophe marque le relâchement, l’adoucissement. Vers 1. - « - » tiret - « Triste » (Adjectif) ; « M‘éteindre » (Euphémisme) - Le tiret marque la défense d’écrire, ton ferme, volonté de rupture. - Les adjectifs marquent la souffrance profonde, désespoir ? Vers 2. - « Sans toi - sans flambeau » (Métaphore) - Toi = flambeau, la lumière (éclaire) Vers 3. « Refermé

compte de notre humanité corporelle : - vocabulaire trivial « chier, marcher sur nos jambes, assis que sur notre cul » = réalité corporelle indéniable. -La vieillesse est fragile « or la vieillesse à un peu besoin d’être traitée tendrement » = Euphémisme qui renforce l’importance de l’action (traiter plus tendrement). 2- La critique d’une spiritualité qui veut faire abstraction du corps : -« ils veulent se mettre hors d’eux et échapper à l’homme » or échapper à l’homme est impossible, on ne

: vous nommez la métaphore vous dites ce qu’elle désigne vous la citez entre guillemets - Relevez des exemples d’ironie : montrez l’effet de ce procédé dans un récit si dur. - Indiquez l’origine du surnom de leur mère. Chapitre IX - "euphémisme sacerdotal" p.25: l’euphémisme, comme la litote sont des figures d’atténuation. Elles permettent de dire le moins pour dire le plus. Ex: "Il est parti" pour "Il est mort". Ce chapitre pourrait s’intituler "L’agonie de la vipère". Activité : Explication

une certaine précision, ou « Jacob » (ligne 19), personnage de la Bible courageux et tenace. L’auteur atténue les défauts de l’écrivain par des euphémismes, notamment en parlant de ce que H. DE BALZAC « appelait en riant sa dette flottante » (ligne 13), car il ne peut éviter de mentionner le côté dépensier de son ami, mais le relativise. Ces euphémismes permettent de donner une certaine vraisemblance au texte : effectivement, un portrait sans défauts est irréaliste. GAUTIER cherche donc à les amoindrir

êtes capable, si vous pouvez vous situer à la même hauteur morale que moi…  Cruauté de la princesse qui oublie que son mari est aussi son amantUn aveu sous le signe de l’exceptionnel  Aveu pudique : passion pour Nemours évoquée au moyen d’un euphémisme (« sentiments qui vous déplaisent ») = BIENSEANCES  Champ lexical de l’héroïsme : force, péril, danger, etc.  Tonalité quasi épique : mise en scène d’une princesse qui brave les conventions religieuses et sociales pour faire une révélation pleine

scène. Comme dans la nouvelle Shredni Vashtar quand la cousine meurt et le furet sort : «  Ses yeux clignait dans la lumière déclinante du jour et des taches humides et sombres maculait son pelage autour de la mâchoires et du cou. » il y a ici un euphémisme qu’on comprends a la deuxième lecture du texte. On a aussi un autre point de vu des personnages, de leurs rôles ainsi que sur les évènements. Il y aussi une autre raison qui peut paraître intéressante : La relecture d’un récit a la fois fantastique

allitération en « s », en « b » (1ère phrase) • assonance en « i » • accumulation d’instruments de musique. - Cela évoque une parade militaire, une fête et la musique qui l’accompagne. - Euphémisme «ôta » pour « tuer », minimise le drame. - « coquin, infectaient » : la guerre enlève ce qui est mauvais. 3) La guerre trouve les justifications - légales : référence au « droit public » (droit international) - religieuses : rappel des

femmes violé, "des filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros". Voltaire est ironique lorsqu'il parle des "héros" pour évoquer les soldats. Il emploi un champ lexicale de la mort, "mort", "âmes" qui est aussi un euphémisme pour parler des morts, c'est le seul bilan de guerre évoquer par l'auteur de cette guerre. Tout ce texte est ironique, par la comparaison de deux mondes. L'un imaginer par Candide, un monde irréel et puis l'autre, un monde réel.

situation finale → ellipse de l’exécution de l’âne B- Caractère théâtral Ample comédie → ++ sortes de discours Les 3 plus grands protagonistes prennent la parole Hypocrisie du renard avec l’adv. d’intensité « trop bon roi » , excessives qualités, euphémisme « croquer » Discours narrativisé → masse indifférenciée, comme réduits à l’état de robot ≡ déshumanisation des courtisans Jugement hâtif de l’âne , opposition entre « peccadille » « cas per… Discours indirect libre du loup = sentence → déchaine

EFFETS | EXEMPLES | 2.1 Euphémisme | L'euphémisme: est une Figure qui consiste à atténuer le sens d’un mot trop cru (d’une réalité trop cruelle ou qu’on ne peut prononcer explicitement) en le remplaçant par une expression moins brutale. | - Cacher ou diminuer le caractère violent ou désagréable d’une notion | - Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine (A. Chénier) (= elle est morte) - Je suis un petit peu enveloppé (Obélix) | EUPHÉMISME L'euphémisme: est le remplacement