Europe de la liberté et de la démocratie directe

Les 6 dimensions de HofstedeL’histoire des Etats-Unis est constituée de melting-pot, alors que celle du Japon est plus orientée vers une culture ancestrale. Celle de l’Allemagne, elle, fait partie de la vieille Europe, avec des valeurs extrêmement fortes, une ouverte d’esprit et adaptabilité extrêmement importante. Regardons plus en détail l’histoire, les valeurs et les ancrages de chaque pays.· L'Allemagne est une nation relativement jeune, car elle a été unifiée pour la première fois en 1871 (l'Allemagne

souveraineté nationale qui n’apparaît guère mieux qu’aux USA. Il semble de des lors que leur démocratie s’inscrit dans un cadre bien différent du notre. Mais on le sait de telles différences sont guidées par une conception différentes de l’intérêts générale, si pour nous l’intérêts générale est une abstraction absolue qui prime tous les intérêts privés et se différencie d’eux, télé n’est pas le cas pour la démocratie américaine qui envisage l’intérêt générale comme la somme des intérêts particuliers, en

modèle soviétique. A comparer avec la définition de Jdanov : déf. p. 240. - Comment sont créées les démocraties populaires ? Quelles sont leurs caractéristiques, en particulier les similitudes avec l’URSS et son influence ? Comment comprendre leurs difficultés et leur disparition ? I. La création des démocraties populaires et le modèle soviétique A. La mise en place des démocraties populaires 1. L’arrivée au pouvoir des communistes - Contexte de la présence de l’Armée

aucune convergence n’est possible, ni sur le plan économique (capitalisme # communisme) ni sur le plan politique. L’emploi commun du mot « démocratie » est trompeur : dans le cas marxisme, il évoque une conception égalitaire, subordonnée à la dictature préalable du prolétariat, très différente de la réflexion libérale qui met l’accent sur l’exercice des libertés individuelles. Mais la véritable guerre froide ne peut commencer qu’à partir du moment où le conflit idéologique se double d’un affrontement

dérivé du mot Constitution. L’idée d’encadrement du pouvoir est en revanche développée dès l’antiquité. D’où un Constitutionnalisme ancien et moderne +(médiéval). A1 : Une conception libérale de l’État : Libéralisme politique=préservation de ou des libertés. Une recherche ancienne : = dès l’antiquité, réflexion sur la prévention du pouvoir tyrannique. Constitutionnalisme ancien (Platon/Aristote) : « notion de gouvernement des lois » « par les lois » ; en opposition au gouvernement des hommes. Subordination

de démocratie : La démocratie relève d’un grand régime idéal, par lequel on imagine les hommes naturellement vertueux, et capables de s’autogouverner pour le bien de tous. Cette vision utopique de la démocratie ne fonctionne nulle part pourtant conformément aux modèles échafaudés par les théoriciens. Pour W. Churchill, il apprécie la démocratie étant « le pire des régimes, à l’exception de tous les autres ». Abraham Lincoln donne lui une vision sentimentale et peu claire : « la démocratie est

et après guerre froide) furent décisives partout en Europe dans la reformulation d’un Etat de droit. En France, rien de tel. Nous vivons toujours sous le régime de « l’autorité judiciaire » fondé en 1958. Seule la lutte contre la corruption politique ces dernières années a donné une impulsion décisive à l’avancée politique des juges mais sans susciter de réforme à sa hauteur. Il en résulte un paradoxe durable qui singularise notre pays en Europe : tout a changé et rien n’a changé dans le métier du

Etats-Unis sont une démocratie libérale, le respect des libertés individuelles y est les fondements de la démocratie américaine. La liberté de chacun y est respectée, tout le monde a accès à l’ascension sociale grâce au travail, aux capacités d’entreprendre. La réussite individuelle y est très bien vue, on a par exemple le principe du self made-man, c'est-à-dire l’homme qui est parti de nulle part et qui atteint des sommets : Henry Ford en est un exemple. De plus, la liberté d’expression y est très

le pouvoir (cratos) de gouverner, la démocratie apparaît toujours, aux yeux de ceux qui assistent à sa naissance, comme une véritable panacée. « Le bonheur est une idée neuve en Europe », proclamait Saint-Just en pleine Révolution. L'idée neuve, c'est celle de bonheur collectif, devenu une affaire politique. Les révolutionnaires français voyaient ainsi dans la démocratie la clef du bonheur, les contemporains de l'écroulement de l'ex-URSS l'occasion de la liberté politique et de la prospérité économiques

des républiques socialistes soviétiques (URSS) et, de manière plus large, entre les régimes communistes et l'ensemble des régimes non communistes. La guerre froide débute en 1947 et dure jusqu'en 1989, année de la chute des régimes communistes en Europe, ou jusqu'en 1991, année de l'implosion de l'URSS et de la dissolution du pacte de Varsovie. C’est en 1945, sous la plume de l’écrivain anglais George Orwell, que l’expression « Cold War » apparaît pour la première fois1. Elle est reprise en 1947