Eurosceptique

Tribune montre une confiance générale dans l’euro. Selon cette étude de mars 2007, 89% des Français et des Italiens, 93% des Espagnols et 83% des Allemands estiment que l’euro sera la monnaie standard en Europe en 2057 Que le point de vue des eurosceptiques soit ou non recevables en ce qui concerne les économies nationales est matière à discussion, dans la mesure où l’on peut avancer comme argument que cet affaiblissement économique des Etats les plus importants, ou plus anciens, permet aux nouveaux

représentation agrée d’un pays par autre constituait une initiative sans précédente soulignant la confiance entre Paris et Berlin. La notion d’une intégration renforcée que Paris et Berlin défendaient par certaines initiatives en commun inquiétaient les eurosceptiques en voyant en cela une sorte d’unilatéralisme bilatéral » franco-allemand. Cela est d’autant plus vrai que, en ce qui concerne l’Irak, Paris et Berlin coordonnaient souvent leur position de manière bilatérale sans consulter leurs partenaires européens

les eurosceptiques), et le pourquoi de la tentation au repli national. □ Lien avec la philo : le projet constitutionnel européen exige un changement (historique) des mentalités, car jusqu’alors, les politiques démocratiques se déployaient à l’intérieur des Etats-Nations. « On franchirait le mur du son national. » dit U. Beck en parlant de ce projet de politique post- ou transnationale. Pour changer les mentalités : 1) pouvoir de la majorité, 2) lutte contre la méfiance des eurosceptiques et le

l'Occident se montre divisé tant sur les questions politiques économiques que militaires. La construction d’une Europe forte, unie, fédérale, voulue par les pères fondateurs tels Adenauer, Monnet, De Gasperi, se heurte elle aux réticences des eurosceptiques et aux trop grandes divergences stratégiques entre les pays membres. A ces divergences intra-Européennes s’amoncelle les oppositions entre Européens et Américains sur des sujet comme, l’Irak, où encore la régulation financière à l’échelle planétaire

Rompuy) et d’un haut représentant en charge des affaires étrangères et des politiques de sécurité (C. Ashton). Cependant, le projet d’une Europe politique se heurte aux divergences entre les 28 Etats membres et à la montée en puissance des eurosceptiques depuis la crise financière et économique de 2008. Chapitre 3 : La gouvernance économique mondiale depuis 1944 I. Les débuts de la coopération économique (44-71) L’idée d’une gouvernance économique mondiale apparait au lendemain

devient “docent” (maître de conférences) à l’Académie Janáček des arts musicaux de Brno (Janáčkova akademie múzických umění – JAMU). De 1992 à 1996 il représente l’ODS (“Občanská demokratická strana” ou Parti démocratique civique) (parti de type eurosceptique), d’abord dans le Parlement National tchèque et – après la séparation de la Tchécoslovaquie le premier janvier 1993 – il devient président du parti dans la chambre des députés. En 1998, après la scission de l’ODS, il adhère à l’Union de la Liberté

facteurs et il n’est pas certain que l’extrême-droite ait le même impact sur l’ensemble des pays européens. Les septièmes élections du parlement européen qui se sont déroulées en juin 2009 ont mis en évidence la progression de différents partis eurosceptiques et populistes, comme le parti anti-islamique hollandais Partij voor de Vrijheid (PVV), qui s’est imposée comme la deuxième formation du pays après celle des chrétiens démocrates, avec 17% des voix. Le British National Party a créé la surprise

populaire européen (démocrates chrétiens), les socialistes, les libéraux, les Verts et autres. Les députés européens représentent à eux tous l’éventail des positions politique sur l’intégration européenne, depuis les fédéralistes convaincus jusqu’aux eurosceptiques déclarés»[6]. Le Parlement a un éventail large de représentant et les sessions de rencontrent varient entre Strasbourg en France, et la Belgique. En plus d’être le représentant du peuple européen (qui ce chiffre a plus de 500 millions d’électeurs)

demande d'Europe a pourtant rarement été aussi forte. L'Islande à la dérive frappe à sa porte. La stabilité apportée par l'euro paraît plus attirante que jamais pour les pays encore à ses marges, tels les nouveaux Etats membres, mais aussi pour des eurosceptiques endurcis comme les Danois. Il se murmure même que les Britanniques regrettent de ne pas en être. Et les Etats membres savent bien, au-delà de leurs réactions égoïstes, que le salut ne pourra venir que de leur coopération. Témoins les Irlandais :

plus vers l'Asie. Mai Elections européennes. Les 380 millions de citoyens de l'Union sont appelés à élire leurs représentants au Parlement européen le 25 mai. Dans le contexte de la crise, on redoute une nouvelle victoire de l'abstention et des eurosceptiques. Belgique. Elections législatives dans un contexte tendu entre Flamands et Wallons. Inde. Elections législatives. L'actuel Premier ministre Manmohan Singh, au pouvoir depuis 2004, ne briguera pas de troisième mandat en cas de victoire de son