Euthanasie Vincent Humbert

vie, lui enlever en maintenant en vie une personne qui souffre. La souffrance est celle du patient mais aussi celle de son entourage. C’est aussi celle du médecin et de la société qui ne sait soigner sa douleur. Comme par exemple, la lettre de Vincent Humbert et de sa mère. En évoquant ce fait, on ne peut que penser à la mère du jeune homme qui après avoir « donné la vie à son fils », lui offre la mort; on comprend alors ainsi que si la mort pouvait devenir un dernier cadeau, elle en serait ainsi

suivante : "situation où un tiers met intentionnellement fin à la vie d’une personne à sa demande, afin de faire cesser une situation qu’elle juge insupportable". - Si certains font parfois la distinction entre euthanasie active eteuthanasie passive, d’autres contestent l’expression "euthanasie passive", dans la mesure où elle désigne l’arrêt des traitements et correspond à l’interdiction de l’acharnement thérapeutique (cf. II-A). - Le "suicide assisté", quant à lui, est le fait de fournir à une personne

et des idées préconçues freinent encore le recours aux morphines et autres opïoides. Ces substances soulagent effectivement la souffrance, mais peuvent aussi abréger la vie. Il en va de même du refus ou de l'interruption de traitements de survie (euthanasie passive). Ce qui fait débat, c'est de savoir à quel stade de la maladie on peut envisager une suspension des traitements de survie : cela ne doit-il être possible qu'en phase terminale quand la mort devient inéluctable, ou plus tôt ? Depuis quelques

« mort » est encadrée principalement par deux lois : la loi de 2002 sur le droit des malades et la Loi Léonetti du 22 avril 2005 relative aux droits des patients en fin de vie. L'idée générale est de favoriser les soins palliatifs, d'interdire l'« euthanasie active » et d'empêcher le médecin de pratiquer une « obstination déraisonnable » dans le soin des malades en fin de vie. Un équilibre est aussi recherché entre le fait d'éviter des souffrances jugées inutiles à un patient qu'on estime voué à la

observée depuis que certaines personnes ont marqué l’actualité en se suicidant volontairement du fait d’un refus du gouvernement à administrer par exemple à Chantal SEBIRE , patiente ayant une tumeur incurable lui déformant le visage , ou comme Vincent HUMBERT , tétraplégique dont la mère a volontairement administré un produit dans sa perfusion visant à faire mourir son propre fils selon les désirs de celui-ci .En effet des lois comme celle de 2005 ont avancé l’idée que l’euthanasie était possible

médecin cardiologue et homme politique membre du Parti radical (parti dit de centre-droit rattaché au groupe UMP au sein de l’échiquier politique, et dont le président actuel est Jean-Louis Borloo), fut mandaté en 2003 dans le cadre de l’affaire Vincent Humbert, par le président Chirac et le gouvernement Raffarin, à réfléchir sur les questions éthiques de l’accompagnement en fin de vie. En 2004, Jean Léonetti préside une mission parlementaire sur l’accompagnement de la fin de vie, qui a conduit à l’adoption

bonnes conditions" ou encore "bonne mort". De nos jours, l'euthanasie est l'acte visant à provoquer la mort pour mettre fin aux souffrances d'un malade. L'acte euthanasique consiste en une injection léthale (DLP ou potassium). Pour qu'il y ait euthanasie, deux conditions doivent cependant être réunies: la mort doit être provoquée et le sujet euthanasique doit être une personne vivante. On distingue deux formes d'euthanasie: - L'euthanasie active: qui désigne un acte visant à abréger volontairement

sur de nombreux faits divers il révèle en 2002 la lettre que Vincent HUMBERT a écrite au président Jacques CHIRAC. Il devient ainsi son confident et écrit pour lui son livre « testament ». Les propos du jeune Vincent sont recueillis grâce à ses mains reliées à celle du journaliste. Cela permet de retranscrire au mieux les émotions. Les personnages principaux sont Vincent et sa mère Marie HUMBERT, a qui le livre est dédié. Vincent HUMBERT (1981-2003) est un jeune homme devenu tétraplégique après

monde du 17/02/12Marie de Hennezel|Comment appliquer la loi avant de débattre sur l’euthanasie ?Le personnel soignant doit respecter les droits des patients en fin de vie|Il s’adresse aux citoyens| LIvre :Je vous demande le droit de mourir de Vincent Humbert publié le 13/05/2004|L’histoire vraie d’un jeune homme devenu tétraplégique suite à un accident et qui demande le droit de mourir|Il s’adressait à Jacques Chirac (Président de la République à l’époque des faits) |

Le droit de choisir… Le thème du suicide assisté dérange dans un pays où, malgré le débat ouvert par l'affaire Humbert, le législateur n'a même pas le courage d'aborder avec franchise la question de l'euthanasie. Face à vous aujourd’hui, nous plaidons. Nous plaidons en faveur de la liberté de choix, celle de nous tous face à la mort. Car si la déclaration universelle des droits de l’Homme de 1948 stipule que « tous les êtres- humains naissent libres et égaux », elle reste muette sur le droit