Euthanasie Vincent Humbert

années 2000 à l’occasion du cas « Vincent Humbert » à la suite duquel une « mission d’évaluation sur l’accompagnement de la fin de vie » est créée au sein de l’Assemblée nationale sous la présidence du député Jean Leonetti. Vincent Humbert était un jeune homme qui a eu un grave accident de la route, le 24 septembre 2000, il ne supportait plus cette vie sans espoir de guérison, il a donc entreprit de nombreuses démarches pour obtenir le droit d'être euthanasié. Il écrira au président de la République d'alors

Pays Contre L’Euthanasie A- La France En France, nous ne pouvons pas bénéficier légalement d'une euthanasie. D'une part, car nous ne pouvons pas disposer librement de notre corps (principe d'indisponibilité du corps humain) et d'autre part, car l'euthanasie est pénalement réprimée. Une personne qui demande une euthanasie, tel Vincent Humbert, ne peut pas être poursuivie car le suicide n'est pas réprimé. En revanche, une personne qui réalise l'euthanasie sur autrui peut être poursuivie pour

désire la mort et celui qui doit en décider. La science est capable de maintenir artificiellement des personnes en vie bien quelles soit condamner ceci peut être qualifier d'inutile car le traitement n’empêchera pas le patient de mourir. Le terme euthanasie vient du grec ''eu'' qui signifie ''bon'' et thanatos'' : la mort l'euthanasie désigne l'acte médicale de donner la mort de manière intentionnelle d'un patient dans le but de soulager ses souffrances physiques et morales. Selon le dictionnaire

entoure cette « mort médicalement assistée ». Et, peu de temps avant que Luc Ferry et Axel Kahn publient leur ouvrage, de nombreuses affaires amenées devant les tribunaux comme les cas Chantal Sébire en 2008, Christine Malève en 2005 ou encore Vincent Humbert en 2003, ont relancé le débat concernant le droit à donner la mort. C’est donc dans ce contexte particulier, où la légalisation de l’euthanasie été un sujet récurent et son traitement médiatique particulièrement exacerbé que les auteurs ont tenté

son acceptation sont générateurs de puissantes controverses et débats d'idées. euthanasie active, qui suppose qu'un tiers administre à un malade une substance létale dans le but de provoquer sa mort, ou d'euthanasie passive, qui consiste à stopper un traitement, à arrêter l’alimentation ou l’hydratation artificielle, ou à plonger le patient dans un coma pouvant provoquer la mort au bout de quelques jours. Euthanasie volontaire : lorsqu'un individu a la capacité mentale et physique de demander

mort au combat, d’une mort pour des valeurs,ou d’une mort couronnant une belle vie. Puis ce terme a pris le sens d’une mort sans douleur, et aujourd’hui celui, presque exclusif, d’une mort provoquée volontairement. Il existe plusieurs formes d' euthanasie : L’euthanasie active c'est le fait de prescrire une substance provoquant la mort. L’euthanasie passive est le fait d'arrêter un traitement pour provoquer la mort d'un patient. L’euthanasie indirecte est l’administration d’un produit mortifère

à l'équité, au droit naturel, à l'esprit de la loi plutôt qu'à la lettre de la loi ». Prenons comme autre exemple l'affaire Humbert : Le 24 septembre 2000, Vincent Humbert est devenu tétraplégique à cause d'un grave accident de voiture. Vincent qui ne supportait plus cette vie sans espoir de guérison, entreprit de nombreuses démarches pour obtenir le droit d'être euthanasié. Il écrira au Président de la République d'alors, Jacques Chirac, auquel il demandera en vain un «droit de mourir» alors que

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La France pays signataire de CEDH dont l'article 2 dispose que la mort ne peut être infligée intentionnellement à quiconque. Le Code pénal, envisage l'euthanasie active comme un homicide volontaire. Cela afin d'éviter des déviances : euthanasies abusives → Affaire Christine K. L'euthanasie active est interdite, mais les médecins la pratique quand même. Selon une enquête menée par The Lancet, publiée dans le quotidien Le Monde le 8 mai 2002, l'euthanasie active est belle et bien pratiquée

ne plus soigner un malade, cela est une inaction mais si il consiste à débrancher la machine qui maintient le patient en vie nous avons alors là une euthanasie car en effet comme nous le verrons par la suite l’euthanasie consiste à conduire à la mort un individu malade. Là est la difficulté à différencier non acharnement thérapeutique et euthanasie .   Transition : Ainsi après voir vu entre autres le point de vue moral de la religion sur le suicide on pourrait donc penser que le suicide est moralement