Euthanasie Vincent Humbert

trottoirs où sont les passants, et les rues où circulent les véhicules. La rue devient un espace interdit. Du coup, le simple fait d’occuper la rue devient une transgression. Il y a une signification politique au fait de transgresse l’ordre quotidien. -Vincent Robert, dans Les chemins de la manifestation, s’aperçoit de modifications d’importance. Il existe des cortèges protestataires qui n’ont pas les mêmes parcours que ceux que nous connaissons aujourd’hui quand nous manifestons. Il va montrer par exemple

statuer sur ce problème car dans notre société il existe un certain nombre d’associations qui réclament le droit à l’euthanasie. Elle est intervenue suite à « l’affaire Vincent Humbert ». Le procureur de Boulogne-sur-Mer a menacé les médecins de les poursuivre pour assassinat s’ils accédaient à la demande de la mère de Vincent Humbert. La loi a retouché certains articles du CSP. La solution de M. Prothais, retenue par la commission, était de dire que la qualification de l’infraction n’est que le 1er

plupart du temps y’a soit une relax, ou pas de condamnation du tout, ou bien un condamnation avec des peines avec sursis. Cependant il faut que se soit une euthanasie véritable. Exemple : les hypothèses de mères qui donne la mort à leurs enfants car ceux-ci sont en grande souffrance. Dans certaines affaires telle que celle de Vincent Humbert, le procureur a laissé tomber les poursuites ce qui peut ouvrir sur une hypothèse d’euthanasie. Le droit français n’ignore pas pour autant la situation des

anti-douleur à double effets, avec une mort certaines pour une personne en phase terminale. Toute personne à droit aux soins palliatifs même si ca entraine la mort. Après la médiatique affaire Vincent Humbert, on s'est posé la question du droit de mourir décidé par le patient. Peut-on demander à être euthanasié comme c'est le cas dans certains pays notamment les Pays-Bas. Cela est interdit en France, cependant tout malade peut demander l'arrêt du traitement. En rédigeant des directives anticipées

distingue de cette euthanasie passive, l’active. C’est le faire mourir. C’est-à-dire que l’on demande à un tiers d’agir en administrant une substance qui provoque la mort. C’est une distinction qu’on voit souvent dans les livres de droit mais que les médecins réfutent. Les médecins refusent qu’on qualifient d’euthanasie l’euthanasie passive et considèrent qu’il n’y en a qu’un type car ils ne veulent pas faire croire aux malade que quand ils rentrent à l’hôpital, ils peuvent être euthanasiés. A la suite

d'euthanasie passive, c'est-à-dire la limitation des traitements par les médecins. Ils s'y opposent car ils ne veulent pas laisser croire aux patients, lorsqu'ils rentrent à l'hôpital qu'ils peuvent être euthanasiés. Pour les médecins il n'existe donc que l'euthanasie active. A la suite de l'affaire Vincent Humbert, lors de laquelle un patient gravement malade demande d'être tué, une loi est publiée le 22 avril 2005 relative au droit des malades et à la fin de vie. Dorénavant, le médecin peut laisser mourir

l’article 2 de la Convention européenne des droits de l’homme ne saurait être interprété comme conférant un droit diamétralement opposé, l’euthanasie est donc interdite. En France, le débat a été relancé après deux faits médiatiques : L’affaire Vincent Humbert, qui avait 20 ans et était tétraplégique, qui avait écrit un livre à Jacques Chirac, Je vous demande le droit de mourir : Réponse négative Affaire Chantal Sébire (tumeur évolutive des sinus qui provoquait des souffrances atroces, et une déformation