Euthanasie

incurable n’a plus d’espoir thérapeutique et que la souffrance reste inexorable. Le 22 avril 2005, la loi a été modifiée, elle a juste encadré les conditions de la fin de vie. Cécile Prieur souligne les conditions dans son article « Fin de vie et euthanasie : le débat est-il clos ? » dans le journal le Monde le 22 novembre 2008 qu’elle faut rejeter l’acharnement thérapeutique, d’autoriser le « laisser mourir » quand le patient refuse la poursuite des traitements et que les médecins peuvent donner des

Dissertation : L’euthanasie. Introduction : Le mot euthanasie est formé de deux éléments tirés du grec, le préfixe eu, « bien », et le mot thanatos, « mort » ; il signifie donc littéralement « bonne mort», celle qui délivre des souffrances intolérables. Pour ne pas être comparée à un suicide, cette mort, doit être procurée par un tiers. Ce tiers compatissant déclenche donc la mort d’une personne atteinte d'une maladie très douloureuse et incurable. Aujourd’hui, dans un système comme le notre

leurs familles. • Euthanasie ou fin de vie digne Euthanasier = l’acte qui met fin à la vie d’une autre personne pour lui éviter l’agonie => visant à provoquer le décès mais dans le cadre d’une maladie incurable. Et si cette maladie lui implique des souffrances morales et physiques. Aide du corps médical. -Suicide assisté (conscient) décès assisté par le médecin (2 possibilité : une action mettre un produit soit par omniscient de soins ne plus le nourrir ect) -Euthanasie volontaire personne

-2012-2062305.php 4. Euthanasie À l'origine, l'euthanasie désigne le fait d'avoir une mort douce, que cette mort soit naturelle ou provoquée. Aujourd’hui, elle désigne l’acte médical consistant à provoquer intentionnellement la mort d’un patient afin de soulager ses souffrances physiques ou morales considérées comme insupportables. Le code pénal français condamne indifféremment euthanasie active et passive.  On distingue communément à cet égard l’ « euthanasie active » (geste d'un tiers

suicide à deux où l’une des personnes survit, des cas plus anciens de duels, des cas plus rares où une personne demande à une autre de la tuer alors qu’elle n’est pas malade (Cd’Ass, Bourg en Bresse, 19 oct 1994), ou des demandes dans le sens d’une euthanasie, dans tous les cas, la personne qui aura tué sera poursuivie pour meurtre, assassinat ou empoisonnement, sans qu’elle puisse neutraliser la répression en arguant du consentement de la victime comme fait justificatif, ou sans que le mobile qui l’a

qui peuvent sembler toutefois identiques. Dans un second temps nous étudierons les lois conformes à la fin de vie, afin de voir dans un troisième temps la fin de vie à l’échelle de nombreux pays et des différentes religions. I) Définitions : Euthanasie, Suicide médicalisé, Refus de traitement 1.1 L’euthanasie - Ethymologiquement, "euthanos" signifie la "bonne mort". - Au sens moderne du terme, l'euthanasie signifie : provoquer ou hâter la mort pour abréger les souffrances. On distingue: 

L'euthanasie comme pratique et concept En Grèce antique, le principe ne posait généralement pas de problèmes moraux : la conception dominante était qu'une mauvaise vie n'est pas digne d'être vécue, c'est pourquoi eugénisme (par exposition) et euthanasie pouvaient, en général, ne pas choquer. Cependant certains, tel Hippocrate, avaient une conception autre des choses et, dans le Serment d'Hippocrate, il est interdit aux médecins toutes les formes d'aide au suicide: « je m'abstiendrai de tout mal

aussi le suicide assisté. Ce qui est très dangereux pour notre société car beaucoup de personnes ont des dépressions, quelles soient très profondes ou non, avec des envies suicidaires. Ici est le problème, si cette loi est acceptée, on devrait euthanasier tous les dépressifs, la situation de la société deviendrait dramatique alors que la médecine permet de soigner ces cas. Il ne faut pas oublier que l’euthanasie tue le malade. En tant que chrétien, je pense que la vie est un don donné par Dieu.

serait donc utile de développer des structures pour aider psychologiquement les malades pour que les proches se déchargent de leurs angoisses. II y a, quand même une majeure partie de familles qui jamais n’envisageront l’idée de demander que l’on euthanasie leur proche. Le corps médical leurs explique qu’en l’absence de places disponibles dans les centres de soins palliatifs, ils prennent le problème en charge, grâce entre autres au centre de la douleur de l’hôpital. L’entourage familial, dans le cas

Luxembourg, la Belgique, certains États américains et la Suisse, l'euthanasie est déjà pratiquée pour soulager la souffrance et faire en sorte que le patient meure de la façon la moins douloureuse possible. Ceci a permis de mettre fin à de nombreuses euthanasies clandestines et de donner la possibilité aux malades souffrantes à choisir une morte digne. L’ Argentine peut se baser donc sur ces modèles pour faire passer son projet de loi. Les détracteurs de cette proposition affirment qu’ il existe une autre