Évapotranspiration

permanents : on parle de couplage. Des phénomènes physico-chimiques et des processus biologiques interviennent dans ces cycles. interviennent dans ces cycles: a)- le cycle de l’eau Rappel doc évaporation – condensation évapotranspiration Les phénomènes d'évaporation et de condensation engendrent le cycle de l'eau. L'évapotranspiration des végétaux fait passer d'importantes quantités d'eau de la lithosphère à l'atmosphère. b)- le cycle du dioxygène Ex 2 p

liquide/solide/gazeux. Eau est en perpétuelle changement du à la météo donne changement de réservoir échange lieux au niveau interface surface de la mer sol … retour perpétuel océans continents source eau douce sur continent du surtout à évapotranspiration océanique (zone tropicale surtout) 4/5 eau évaporé océans 1/5 continent cause vent Une partie des eaux exclue car dans nappes phréatiques ou glace Eau circule en permanence temporairement présent atmosphère/cours d’eau. Circuit plus long

un minime captage des racines au passage. ->Eau de capillarité : Essentiel de l’eau qui s’infiltre. Elle est retenue par les limons, les sables et les argiles dans la microporosité des sols (Réserve utile), c’est la terre mouillée. ->Evapotranspiration ->Eau hygroscopique, impossible à récupérer quand la force de succion est insuffisante. 5-Le complexe adsorbant Eau absorbé : retenue mécaniquement par les sols Eau adsorbé : retenue par la force physico-chimique, la propriété physique

ensemble fragile à travers les réseaux trophiques. Quelques exemples d’adaptations Les plantes succulentes comme les cac- tées ont une tige énorme gorgée d’eau et des feuilles très fines en forme d’épines de manière à limiter les pertes d’eau par évapotranspiration, leurs racines sont très développées. Le dromadaire, par oxydation de la graisse contenue dans sa bosse, fabrique de l’eau. Les animaux des grands fonds océa- niques ont adopté le gigantisme pour supporter des pressions considérables et des

grande perméabilité. L’eau de pluie rejoindra alors les nappes souterraines et les rivières dans lesquelles sera prélevée l’eau potable. L’eau de pluie pourra aussi bien être utilisée par les végétaux qui la retransmettront à l’atmosphère par évapotranspiration. D’autre part, en milieu urbain, toujours d’après le document 1, les eaux de pluie ruissellent à 78% et en outre se chargent fortement en plomb et zinc selon les documents 1 et 2. En effet, l’eau ruisselle avant tout sur les toitures (à 54%)

être classées de la manière suivante : * biogéographiques (latitude, longitude, altitude, biome, ) * climatiques et microclimatiques (caractéristiques des influences du climat et de ses interactions avec le couvert végétal (ombre, vent, évapotranspiration, rosée, albédo, etc.) * pédologiques (caractéristiques physico-bio-chimiques du sol) * géologiques (caractéristiques du sous-sol, qui influent sur l'hydromorphie) * hydrographiques (distribution des eaux dans l'espace) * hydrologiques

Essentiellement les ressources alim (RA) Régions tempérés, Facteurs de variation de la disponibilité des RA : variations saisonnières de la T°C (fait changer la disponibilité en eau indispensable à ts les ê- vivants) Chute des feuilles = interrompt évapotranspiration (ralenti la circulation de la sève brute ds les vaisseaux du Xylème) Absence de feuilles = plus activité photosynthétique -> plus prod° MO Tt les régions, gde conséquences sur les chaines alim lors de la disparit° totale de l’appareil

alimentant l’évaporation directe et la transpiration des végétaux. Les fortes précipitations des périodes hivernales engendrent une infiltration profonde qui alimente les nappes souterraines. Sur les continents, les quantités d’eau qui s’évaporent (évapotranspiration) sont inférieures aux quantités d’eau reçues par les précipitations, à l’inverse pour les océans l’évaporation est supérieure aux précipitations. L’excédent en eau des continents retourne aux océans par les rivières, les résurgences de nappes

d’un gazon de 10 cm alimenté exactement selon ses besoins. Diveres formules permettent de donner une approximation correcte selon le site, la plus classique étant celle de Penman (1948). 2.1.2. Demande évaporative de la culture  2.1.2.1. Evapotranspiration (ETM) Quand le couvert végétal atteint son plein développement, l’évapotranspiration atteint des valeurs sensiblement supérieures à l’ETP. Sur une parcelle, L’évapotranspiration maximale (ETM) varie donc dans le temps avec le couvert

disponible pour les activités humaines. 2-Le cycle de l’eau L’énergie solaire anime en permanence un gigantesque volume constant d’eau (liquide, solide ou gazeuse). Transferts d’eau : Précipitations, transpiration, condensation, évaporation, évapotranspiration, infiltration Réservoirs : Océans, glaciers, atmosphère, lacs, rivières, nappes phréatiques, sol, biosphère. Cycle de l’eau = transfert de l’eau entre les différents réservoirs A-Bassin versant Raisonner à echelle de la terre : trop