Évapotranspiration

température Variations latitudinales et altitudinales (Dajoz, 2000) S. Gombert 3. Facteurs écologiques Facteurs abiotiques – Les précipitations ● Quantité d'eau annuelle ● Bilan hydrique − − ● Différence entre apports d'eau et pertes par évapotranspiration Importance de la répartition de la pluviosité en fonction des saisons (cf période végétative) Influence sur la répartition des organismes  hygrophiles  mésophiles  xérophiles 3. Facteurs écologiques S. Gombert Grands facteurs écologiques

Observatoire, Environement - Population de l’écosystème oasien Sommaire | Problématique Les conditions climatiques de la wilaya d’Adrar, font de l’eau une denrée rare dans la région. La faiblesse des précipitations (11mm par an), l’intense évapotranspiration et la sécheresse des sols ne permettent pas à l’eau un écoulement en surface. Cette pauvreté en eau de surface est composée par ce que J. Savornin a appelé le plus grand appareil hydraulique. Il s’agit du gisement aquifère du continental intercalaire

permettent la vie. L'eau des océans et des mers, chauffée par le soleil, s'évapore : c'est ce que l'on appelle l'évaporation. Les lacs, cours d'eau ainsi que la plupart des terrains et leur végétation rejettent également de l'eau par évapotranspiration. Cette eau rejoint alors l'atmosphère sous forme de vapeur d'eau. L'air chaud et humide s'élève. En s'élevant, il se refroidit : les gouttes d'eau se regroupent pour former des nuages, c'est l'effet de la condensation. Cette eau, contenue dans

nouveau et la tourbe s'y dépose. La tourbière est rajeunie. | Les types de tourbières Notre région possède les conditions nécessaires à la formation des tourbières : * apports en eau (précipitations, ruissellement) supérieurs aux pertes (évapotranspiration, écoulements). * importance de la topographie (dépression, présence de dolines : détournement des eaux de ruissellement). * imperméabilité du sol (couche isolante) avec eau non calcaire indispensable.   | 6 000 ans av. J.-C. - Tourbière

de l’eau est perpétuel. Dans les parties aériennes et racinaires, interconnectées entre elles par un tissu conducteur, ce mouvement coordonnera l’assimilation de l’eau avec les parties distantes, les feuilles, qui exerceront quant à elles une évapotranspiration assez importante. Le rôle de cette eau sera également de transporter les nutriments, essentiels à la croissance de la plante. Nous aborderons donc dans ce cours la caractérisation du transport de la nutrition minérale ainsi que la capacité incidente

= 21,5 m3/h - Pression du service = 4,5 bars II. BESOINS EN EAU : - Besoin brut (Bb) en eau d’irrigation : Kc : Coefficient cultural ET0 : Evapotranspiration de référence Kr : Coefficient de réduction dépendant du taux de couverture du sol par la culture Ea : Efficience d’application de l’eau à la parcelle (90%) AN : pour un kc =1 et kr=1,22 et Et0 =

Cette évaporation est d'autant plus efficace qu'on est proche de la surface du sol. Puis s'il subsiste dans l'atmosphère une zone non saturée, apparaît alors la reprise évaporatoire. Celle-ci est favorisée par la remontée capillaire. b) Les évapotranspirations : Enfin, la transpiration des végétaux intervient, on parle d'évapotranspiration. Le cycle décrit ci-dessus est essentiellement géochimique. En réalité, les êtres vivants, et plus particulièrement les végétaux ont une influence sur le cycle

Introduction Grandeurs caractérisant le climat et importantes en bioclimatologie Rayonnement incident et émis Température Précipitations Vent Humidité atmosphérique & sol Rn = Rin – Rout T°C Demande évaporative Humidité atmosphérique Vent Évapotranspiration Eau de pluie interceptée et reévaporée Rayonnement réfléchi et émis Rout (a*Rs+RLout) T°C Conductance de surface Conductance aérodynamique SYSTÈME SOLPLANTEATMOSPHERE Rayonnement incident Rin (Rs + RLin) Photosynthèse respiration Eau du

faire ses racines – offre une précocité de 15 jours à la récolte) - irriguer le matin au moment de la rosée Stades critiques pour irriguer - du stade 3 feuilles au stade 9 feuilles Gestion de l’irrigation en fonction du climat - ETP (évapotranspiration potentielle) : valeur climatique optimale calculée par les services météorologiques - kc (coefficient cultural) : établi expérimentalement Valeurs du coefficient cultural (kc) lors des différentes phases de développement de la plante Coefficient

cette matière minérale en matière organique (autotrophie) permettant ainsi aux autres espèces consommatrices de se nourrirs ce qui représente un transfert de matière et d’énergie naturel et nécessaire dans les sociétés. Ainsi qu’une meilleure évapotranspiration, un ruissèlement plus faible, un réseau fonctionnel… Pour poursuivre À l’aide du document 6 et 7 nous en déduisons que si le rendement économique des écosystèmes augmente en fonction du nombre de services