Examen Corrige En Droit Marocain

memoire final de finalInstitut Supérieur de Commerce et d’Administration des Entreprises - ISCAE COMPARAISON NORMES MAROCAINES/NORMES IFRS DANS LA MISSION D’AUDIT SADDY GAÏCHA MEMOIRE DE FIN D’ETUDES JUIN 2009 1 SOMMAIRESOMMAIRESOMMAIRESOMMAIRE REMERCIEMENENT……………………………………………………………………………………………………………….3 DEDICACES……………………………………………………………………………………………………………………………4 INTRODUCTION ........................................................

appliquer des méthodes modernes de management stratégique public. Ces techniques , qu’il faut adapter au contexte socio-économique marocaine , ont déjà connu beaucoup de succès en occident. L’objectif escompté et de montrer l’apport du marketing territorial (marketing des villes et des compagnes ) pour le développement et la modernisation des collectivités territoriales marocaines . L’importance du monde rural n’est plus à démontrer. Son retard en terme d’indicateurs de développement est clairement prouvé

(Moussahama) par différents intervenants du monde financier, dont la Banque Populaire. Depuis 1999, les sociétés de capital-investissement se sont multipliées. Ces professionnels se sont réunis en 2000 autour d'une association : l'AMIC (Association Marocaine des Investisseurs en Capital). Parmi les principaux intervenants du secteur, on peut citer Moussahama, CFG Group Capital, Uplines Securities et Capital Invest (groupe BMCE Bank). A noter que tous ces fonds investissent essentiellement dans des sociétés

les conditions, les critères et les précisions qui suivent. CONDITIONS D’EVALUATION  individuellement.  A partir des données actuelles du commerce international..  A partir des informations, supports et documents des autorités et associations marocaines.  A partir d’étude de cas et note de conjoncture. CRITERS GENERAUX  Analyse cohérente et argumentée de l’environment international.  Synthèse pertinente  Clarté et concision des documents produits. ISGI, Khouribga Complexe khouribga 3 Document

MAROC A LA LUMIERE DE CERTAINES EXPERIENCES INTERNATIONALES (BENCHMARKING).....................10 INTRODUCTION DE LA PARTIE I..........................................................................................................11 CHAPITRE 1. EXAMEN DE L’ACTIVITE DU CAPITAL-RISQUE AU NIVEAU INTERNATIONAL ..............................12 Section 1. 1. 2. Section 2. 1. 2. Section 3. 1. 2. Le capital-risque américain connaît un fort développement................................................

explicite : “ Fraude : le risque mal maîtrisé ”. Cette enquête révèle que plus de la moitié des personnes interrogées estiment qu'elles devraient davantage protéger leur entreprise contre la fraude. « Le CAC face à la fraude dans les entreprises marocaines de petite et moyenne taille» 5 Introduction Elle conclut, d’une part, que non seulement les directions échouent dans la gestion du risque de fraude au sein de leur entreprise, mais de plus, elles ne tirent aucun enseignement de leurs erreurs

conditions, les critères et les précisions qui suivent. CONDITIONS D’EVALUATION • individuellement. • A partir des données actuelles du commerce international.. • A partir des informations, supports et documents des autorités et associations marocaines. • A partir d’étude de cas et note de conjoncture. CRITERS GENERAUX • Analyse cohérente et argumentée de l’environment international. • Synthèse pertinente • Clarté et concision des documents produits. ISGI, Khouribga Complexe khouribga

ratios c-Etude des moyens dont dispose l’entreprise Structure Trésorerie Risques liés aux choix effectués par les dirigeants de l’entreprise d-Etude du fonctionnement de l’entreprise Activité Rentabilité Risque encourus liés aux choix effectués e-Examen de la situation financière par la méthode des ratios f- Synthèse Forces et faiblesses Préparation de la prise de décision. 3 PLAN II-Besoins de l’entreprise et financement Besoins structurels Crédits à long et moyen terme Besoins cycliques d’exploitation

application. Cette situation a fait que le domaine de l’urbanisme se trouve actuellement largement réglementé. Cela étant, le processus et l’exercice de planification et de la gestion urbaines, tels qu’ils sont adoptés par le système administratif marocain, révèlent de nombreuses difficultés, d’ordre juridique (ex. la rigidité des contenus des lois, ou le cas échéant, l’absence de textes), technique (ex. la centralisation de l’approbation et la longueur des périodes de validité des documents d’urbanisme

................................ 4 C. opérations exonérées................................................................................................... 5 a) Exonérations sans droit à déduction ..................................................................... 5 b) Exonérations avec bénéfice du droit à déduction : ......................................... 6 D. Régime de suspensif : ................................................................................................... 7