Examen psychologique

dans un profond coma, il sera ensuite pris en charge par le Docteur Chaussoy, qui décide d'arrêter toute réanimation et administre à son patient du chlorure de potassium, entraînant son décès. En 2004, Marie Humbert et le Docteur Chaussoy sont mis en examen et ensuite aquittés en 2006. Cette affaire enflamme le débat en France, et Jean Leonetti a pour mission de créer une loi qui s'accorderait avec les problèmes du moment; la loi Leonetti sera adoptée en Avril 2005. Cette loi a pour points principaux:

donner, il saisie la juridiction de jugement. Le juge d'instruction lui à un rôle différent, il n'intervient pas en pratique pour les contraventions, mais intervient pour certains délits et crimes. Il constitue un dossier sur une personne mise en examen et avant le procès il recherche les preuves mais normalement il instruit ( faire le dossier ) à charge et à décharge ( preuve contre lui et pour lui ). C'est aussi ce juge qui va décider si il faut arrêté la personne et la mettre en détention provisoire

médiatisation -En février 2001, l'information judiciaire commence. Elle est ouverte pour viols, agressions sexuelles, corruption de mineurs et proxénétisme. Ce sont tout d'abord, Thierry et Myriam Delay ,les parents des enfants agressés, sont mis en examen et emprisonnés. Ensuite sept autres habitants sont mis sous les verrous durant les trois mois suivants. En novembre 2001, six nouvelles personnes sont arrêtées et une vingtaine d'enfants étant victimes sont identifiés dont ceux de trois couples inculpés

cela d'un grand éventail de pouvoirs d'enquêtes: il peut procéder à des constatations matérielles: en auditionnant des témoins, d'après l'article 101 du Code de proédure pénale, mais surtout en procédant à l'interrogatoire de la personne mise en examen, acte indispensable à l'instruction. Il peut auditionner la partie civile, de même. Ces constations matérielles peuvent aussi prendre la forme de perquisitions, saisies, et autres mesures contre la propriété, l'activité professionnelle et la vie

voulu changer de terme et on l’a remplacé par « mise en examen ». Terme encore changé le 15 juin 2000 : on a crée la notion de « témoin assisté ». pour que ce soit évocateur d’une certaine innocence. Pour tenter d’éviter de pointer l’attention sur cette personne encore présumée innocente, on a créé le terme de mise en examen. Mais, les médias ont automatiquement fait le lien en disant que la personne inculpée est désormais mise en examen. Ils ont rendu le terme péjoratif. De ce fait, on a encore

GASTRIQUE Principes : - Technique qui consiste à introduire une sonde dans l’estomac par voie nasales ou buccale dans le but d’étudier le contenu Intérêt : Diagnostic de la tuberculose (BAAR crachat ou BK crachat) Inconvénients : - Examen invasif et gênant pour le patient Méthode : Introduction d’une sonde dans l’estomac dans le but de prélever le contenu Matériel : paires de gants stérile, sonde à tubage, cupule + seringue avec sérum physiologique, stéthoscope+lubrifiant, flacon

de l’acte. * Document 3 : Les mesures de sureté échappent-elles au principe de non-rétroactivité de la LP ? Implicitement, il n’y a pas de rétroactivité. Les faits en l’espèce : un individu qui présente des troubles psychiques est mis en examen pour assassinat, violences et tout ce qui s’en suit en novembre 2005. Mais en 2008 le juge estime qu’il y a tout de même responsabilité. Le dossier est transmis à la chambre d’instruction et pendant ce temps, une loi nouvelle intervient. C’est une

mise en examen : Sommaire : Introduction ( page 2 ). I. Des conditions et des phases préalables à la mise en examen ( page 3 ). A. Les conditions préalables à la mise en examen ( page 3 ). B. Les deux phases préalables à la mise en examen ( page 4 ). II. La mise en examen et les droits du mis en examen ( page 7 ). A. Naissance de droits issus des principes de la convention européenne des droits de l'homme ( page 7 ). B. Les droits procéduraux de la personne mise en examen ( page

témoin assisté » n'existant pas encore, a effectivement admis avoir remis une somme de 100 000 F pour, selon lui, « faire peur » au mari, mais il a nié avoir donné pour instruction de se livrer à des violences physiques. M. Brusco a ensuite été mis en examen ; et a été entendu par un juge d'instruction en présence de son avocat. Lequel a demandé, sans succès, que les déclarations incriminantes faites lors de la garde à vue soient retirées du dossier. M. Brusco a fait l'objet d'un arrêt définitif de condamnation

pourraient plus le faire devant le Tribunal Correctionnel. Le but est d’exclure des conclusions d’incompétence déposées par le prévenu ou les parties civiles devant le Tribunal Correctionnel. L’article 186-3 CPP autorise ce recours : « La personne mise en examen et la partie civile peuvent interjeter appel des ordonnances prévues par le premier alinéa de l’article 179 dans le seul cas où elles estiment que les faits renvoyés devant le tribunal correctionnel constituent un crime qui aurait dû faire l’objet