Excédent budgétaire

à la politique budgétaire et à la politique monétaire. Le budget de l’État est utilisé soit à des fins de soutien à la croissance par un accroissement des dépenses budgétaires ou par une baisse de la fiscalité, soit à des fins anti-inflationnistes par des mesures inverses. Il exerce également un rôle de stabilisateur automatique conjoncturel qui résulte du fonctionnement du système des prélèvements obligatoires et de transferts. Les effets d’entraînement de la politique budgétaire font référence

années 1990 ? (Bordas, p66)
 Vous analyserez les conséquences des politiques budgétaires menées depuis 2008 sur les économies des pays développées. (Magnard p136) Comment les politiques conjoncturelles peuvent-elles agir sur les fluctuations économiques ? (Belin p77) Comment expliquer la récurrence des crises économiques ? (Belin p75)
 Peut-on encore faire face à un choc de demande négatif pat la politique budgétaire ? (Hatier p56)
 Les chocs de demande négatifs sont-ils devenus ingérables ?

chômage parce que la main-d’œuvre, le capital, la terre et l’entrepreneuriat ne sont plus utilisés à leur plein potentiel. Pour combler cet écart récessionniste, deux outils macroéconomiques sont employés : la politique monétaire et la politique budgétaire. Le but de ces politiques est explicite; il s’agit de stimuler la demande agrégée pour augmenter la quantité offerte de PIB et retrouver l’équilibre de plein-emploi au niveau du PIB potentiel. On pourrait penser que seule la demande agrégée doit

CHIANG Anaïs DUFOUR Marie GALLOUX Mathilde THEME : LA POLITIQUE BUDGETAIRE DE RELANCE Titre : Le pacte de stabilité et de croissance, un frein aux politiques budgétaire de relance. Problématique : Quels sont les effets du pacte de stabilité et de croissance sur la politique budgétaire de relance ? I. Un pacte contraignant, une politique budgétaire difficilement applicable à l’échelle européenne. Phrase d’explication : a) Le Pacte de stabilité et de croissance qui empêche les

en Europe. Le capitalisme concurrentiel à régulation marchande va péricliter au profit du capitalisme monopoliste. 1.1 Le capitalisme monopoliste A partir de 1929 : importance de l’Etat keynésien par intervention de l’Etat avec des politiques budgétaires + grands travaux pour atteindre le plein emploi. Pour maintenir le plein emploi des politiques de redistribution et de transfert sont mises en place et sont caractérisées par : Un rapport salarial monopoliste : le rapport salarial est négocié

publics Justice sociale et solidarité nationale Les objectifs : (selon Kaldor) La croissance Le plein emploi L’équilibre extérieur La stabilité des prix Les instruments : La politique de l’emploi qui va agir sur les salaires Politique fiscale et budgétaire : agir sur les revenus des gens Politique monétaire B. L’emploi : Le chômage est déséquilibre entre l’offre et la demande : l’O supérieur à la D O : émane des ménages et D entreprise ou l’état Conditions pour être considéré chômeur : 1) Etre sans

tendances suivies par les agrégats économiques , tels que la production intérieure brute, le chômage , l'inflation , les taux d'intérêts , et la monnaie 1.2) politiques macroéconomiques : budgétaire et monétaire. La politique budgétaire est sous le contrôle de l'état. Instruments de l'état pour la politique budgétaire : les impôts (T) et les dépenses publiques (G) .La politique monétaire n'est pas sous le contrôle de l'état, elle est menée par la BC. Pour cela la banque centrale dispose de plusieurs

Une politique de rigueur a pour objectifs la stabilité des prix et l’équilibre extérieur.   B – Les différents instruments politique monétaire : taux d’intérêts (pour la relance, baisse des taux – pour la rigueur, hausse des taux) politique budgétaire : dépenses publiques, investissements publics, grands travaux politique fiscale : impôts politique sociale : revenus de transferts politique de revenus : SMIC, indexation des salaires sur les prix   C – Les 2 grands courants de pensée Les

crise et de difficulté, tandis que dans les pays émergents tel que la Chine, Russie, Turquie sont en rehaussent et remontent très fortement la pente. Les pays développés ont un fort taux de chômage, une croissance très faible et des restrictions budgétaires restrictives qui mettent en avant les menaces de la déflation. On pourrait croire à un redressement inflationniste avec la hausse des prix des taux d’intérêts mais elle n’est qu’apparente. La réalité est qu’elle est faussée par l’intervention des

d’écarter le spectre d’une pénurie de crédits. Parallèlement à ces mesures, la politique monétaire a été considérablement assouplie, ce qui a permis la baisse sensible des anticipations et des risques d’inflation. En ce qui concerne la politique budgétaire, des mesures ont été élaborées dans de nombreux pays, notamment en France, et consignées dans des plans de relance économique, qui doivent contrer le recul de la demande et relancer la croissance économique. Problématique : Est-ce qu’il est