Excommunication

de Trente, de 1545, les fiançailles demeurent un contrat mais la force de l’engagement est affaiblie puisque l’influence de l’église est affaiblie. La rupture des fiançailles, sans juste motif, entrainait a la fois des sanctions religieuses (excommunication), et les sanction civiles (domage et interet). En cas de rupture ou de décès, les fiançailles créaient une alliance spirituelle qui faisait obstacle à un éventuel mariage de l’un des fiancé avec les proches parents de l’autre. La troisième étape

allemand réunit un concile d’évêques qui va déposer le pape Grégoire VII : il va être qualifié de pape destructeur de la paix de l’Eglise et du Peuple Chrétien. La réponse du pape est l’excommunication de l’empereur Henri IV. En plus de cette excommunication, le pape dépose l’empereur allemand. Une partie des princes, des évêques allemands vont abandonner l’empereur : ce dernier va devoir céder au pape et subit une terrible humiliation. L’empereur est condamné à se rendre à la résidence du pape à

comme étant un mode de contrôle ordinaire soumis à l’autorité religieuse d’Europe. Texte de 1504, « une bulle » qui défend aux imprimeurs d’imprimer aucun écrit qui n’aura été préalablement donné à l’archevêque. Le tout sous une menace lourde : excommunication, amende fixée arbitrairement. Cette bulle n’est pas respectée d’où la multiplication de ces mesures au 16ème s, c’est donc l’Eglise qui organise ces mesures dans un premier temps. C’est d’ailleurs l’Eglise qui va d’abord la première engagée une

droit civil ou en suivre les leçons. Que celui qui contreviendra à cette interdiction, non seulement soit exclu pour l‟instant de la défense des causes, mais encore, qu‟après citation par l‟évêque du lieu, il soit enchaîné par le lien de l‟excommunication. Vous, cependant, mes frères et mes fils, observez avec diligence ces prescriptions et faites-les observer avec soin par les autres ; pour que, vrais amis de l‟Epoux, vous puissiez être approuvés à bon droit, dès l‟instant que vous aurez pris

obtint de Pascal II un accord selon lequel le pape renonçait à l’investiture par la crosse et l’anneau après des « élections libres ». Les réformateurs menacèrent de déposer le pape. Henri V continua à investir des évêques. Après une nouvelle excommunication de l’empereur en 1116, suivie d’un schisme pontifical en 1118, Calixte II, réformateur convaincu élu pape en 1119, décida de négocier avec le roi. Cette négociation aboutit au concordat de Worms en 1122 : l’empereur renonçait à l’investiture

(1632-1677) est le fils de commerçants juifs d'Amsterdam qui eurent des revers de fortune. Il appartenait à la communauté de sa ville natale dont il fut exclu par un acte solennel, le herem, prononcé le 27 juillet 1656. Les causes exactes de cette excommunication sont controversées: avait-il exprimé, sur l'interprétation de la Bible, des opinions hérétiques ou lui fut-il reproché ses relations amicales avec des chrétiens dissidents, notamment mennonites? Il apprit le latin auprès d'un ex-jésuite venu de

zoologique, vrai musée d'histoire naturelle. Il circulait alors un pamphlet incendiaire intitulé « Les trois imposteurs » ( Moïse, le Christ et Mohammed ) et la tradition veut que Frédéric II en ait été l'auteur. À Rome on ne décolère pas et les excommunications pleuvent, sans succès cette fois, tant est grand le prestige de l'empereur philosophe. En 1250 son petit-fils Conradin lui succède. Il n'a que 15 ans. Avec la fougue imprudente de la jeunesse, il veut de suite porter le coup décisif aux troupes

utilise pour garantir ces règlements, la contrainte psychique par dispensation pour refus des biens spirituels ou refus (le pouvoir de l’église au Moyen-âge vis-à-vis des fidèles, les fidèles qui devaient obéir à l’autorité sous la menace d’une excommunication). L’autre nom c’est le pouvoir de commandement tel qu’un officier de l’armée exerce sur les soldats, tel qu’un ministre exerce sur les fonctionnaires qui lui sont subordonnés. f) Le pouvoir d’influence Le pouvoir d’influence

rationalisation et à l’excommunication (Habermas). Rationalisation parce qu’il y a occultation au moins partielle des logiques et des intérêts propres à l’organisation pour valoriser au contraire un message d’intérêt général, voire universel. Excommunication parce que les croyances, savoirs et pratiques diffusés supposent toujours l’exclusion d’autres croyances, d’autres savoirs et d’autres pratiques ; au nom de la science ou de la raison, de l’éthique ou du politiquement correct… La socialisation

allemand réunit un concile d’évêques qui va déposer le pape Grégoire VII : il va être qualifié de pape destructeur de la paix de l’Eglise et du Peuple Chrétien. La réponse du pape est l’excommunication de l’empereur Henri IV. En plus de cette excommunication, le pape dépose l’empereur allemand. Une partie des princes, des évêques allemands vont abandonner l’empereur : ce dernier va devoir céder au pape et subit une terrible humiliation. L’empereur est condamné à se rendre à la résidence du pape à