Exemple De Diérèse

Les généralités permettant de définir quelque chose de précis, au même titre que les nombreuses comparaisons dans le poème. 6. De plus, le sonnet prend la forme d’une leçon constituée de deux quatrains de théorie et de deux tercets d’exemples, les exemples étant les différents parfums. B. Mise en évidence de la fonction symbolique de la poésie 1. Le poème se fonde sur une philosophie Platonicienne de l’Univers, c’est-à-dire que le monde sensible ne serait que le reflet d’une réalité supérieure. 2.

coupés en deux hémistiches symétriques (6|6) à l’exception du vers 8. Dans le dernier vers (14), l’extase exprimée est rendue par l’équilibre parfait de l’alexandrin : 3|3|3|3 : « Qui chantent | les transports | de l’esprit | et des sens ». - La diérèse du vers 12 traduit par son effet d’allongement le pouvoir de dilatation des parfums : « Ayant l’ex|pan|si|on des choses infinies ». Les assonances (= répétitions de voyelles identiques) : au vers 5, la notion d’écho est suggérée par la répétition

terrains vagues, un lieu marginal. Le poème commence par trois vers isolés, séparés par un blanc (=monostiche). Vers 1. Le premier vers est déroutant : il s’agit d’un alexandrin classique (élément de tradition poétique) mais comportant une diérèse en fin de vers sur ancien, comme si l’adjectif se brisait, offrant une décomposition du mot (cf technique cubiste). Il comporte également une contradiction, un paradoxe, dans la mesure où les premiers mots sont conclusifs « à la fin ». Ce poème écrit

prononce si le mot suivant commence par une consonne. -le hiatus : est formé lorsque deux voyelles sont en contact à l’intérieur d’un mot ou d’un vers. Deux possibilités de prononcer un hiatus : on peut faire entendre 2 syllabes, c’est la diérèse. Ex extrait d’alexandrins de V. Hugo : « A/veu/gle/s et/ boi/teux/ vin/rent,/ et/ leurs/ hu/ées Rail/laient /le /noir/ clai/ron/ son/nant/ sous/ les /nu/ées » On peut aussi ne faire entendre qu’une syllabe, c’est ce qu’on appelle une synérèse

surtout sonore. En effet, nous pouvons observer quʼun travail notable a été effectué sur les sons au sein ce poème. Par exemple, lʼallitération en [p] et en [f] au vers 2 pourrait représenter les crépitements émis par le feu. Cela accentuerait la vivacité recherchée dans les deux premiers quatrains. De plus, on a une assonance en [i] au vers 7, accentuée par une diérèse au terme « religieux ». Le [i] est un son très aigu. Il constitue une sorte de point culminant sonore. Ce caractère culminant

le désire et l'amour. Page 381 : dans les deux premières sont suturés sous la forme suivi dans les 4 derniers vers rime embrassées, c'est un sixain « étoile », « voyez », « valser », « faites », « lune », « verse »,... sons sens. La diérèse met en valeur sur le mot « diamant » donne une impression de luminosité qui brille encore plus fort. Une allitération est une répétition d'1 même sons de consonnes. Une assonance est une répétition d'1 même sons de voyelles. Ex2 : c'est un

mystérieux (est-il bleu, gris ou vert ?) », « Alternativement tendre, rêveur, cruel, », « Tu rappelles ces jours blancs, tièdes et voilés, » « Qu'allument les soleils des brumeuses saisons... ». L’aspect de confusion et de trouble qu’on retrouve par exemple dans les phénomènes météorologiques (la brume, les jours blancs, tièdes et voilés) ou encore dans les changements de regard (Alternativement tendre, rêveur, cruel) y est expressément définit. Ciel brouillé ne se limite pas uniquement à une remarque

l'énonciation démontre cette modernité. Une énonciation originale Les repères sont brouillés (de temps, de personne), il n’apparaît pas d’ordre logique dans le déroulement du poème « zone » Dans « le pont mirabeau », Un calembour est composé par la diérèse vi-o-lente = vie-eau-lente et évoque la lenteur de la vie qui passe. le christianisme est personnifié et Appolinaire s'adresse directement à lui à la deuxième personne du singulier dans Zone. . Indices temporels : "Ce matin" est employé à

Lecture linéaire n°11 « Harmonie du soir », Spleen et Idéal, n°43, Les Fleurs du Mal , Baudelaire (1857) Baudelaire : entre romantisme et symbolisme ; on peut dire « post-romantique ».« Harmonie du soir » : 48e poème des FDM, dans « spleen et idéal »Entre « aube spirituelle » et « le flacon » : un passage du recueil où Baudelaire explore les moments qui font émerger un souvenir, une émotion (aube, crépuscule). Il s’intéresse à ce « glissement

le sonnet 178. Pétrarque et Labé expriment, de la même façon et à l’aide des mêmes images, deux sentiments contradictoires. Le lyrisme du sonnet et son caractère hyperbolique, révélateurs de la poésie pétrarquiste, y sont aussi très présents, par exemple : « extrême » (vers 2), « trop » (vers 3), « à jamais » (vers 7). D’autres éléments comme la personnification de l’amour, l’érotisme et la soumission du poète à la toute-puissance de l’Amour sont significatifs d’un lyrisme inspiré de Pétrarque[footnoteRef:8]