Exemple De Diérèse

termes  répugnants :  « pourriture,  carcasse,  putride,  squelette,  ordure,  infection… »  Ce  qui  peut  étonner  le  lecteur  c’est  le  fait  que  le  poète  parvient à extraire de la beauté de cette laideur,  une beauté  insoupçonnée marquée par  exemple  par  l’emploi  d’oppositions   « carcasse  superbe »  (oxymore)  ou  de  comparaisons : «   comme  une  fleur  s’épanouir » ;  « comme  une  vague » ;  « comme  l’eau  courante  et  le  vent ».  La  provocation  s’accroît  dans  les  derniers  vers 

de Molière » ; « La tragi-comédie de la cour du Duc de Saint Simon » ; « Tartuffe, acte 1 scène 5 en 1664 de Molière » et «  Lorenzaccio, acte 2 scène 4 en 1834 de Alfred de Musset ». Ces trois poètes, sont assez différents les uns des autres, par exemple Molière a vécu au XVIIème siècle (1622-1673), c’était un dramaturge, un comédien mais aussi un auteur de comédie. Durant son métier, il appartenait au mouvement du classicisme. En revanche, le Duc de Saint Simon, appelé également Louis de Rouvroy

écoute cette morale cynique. Les propos de Tartuffe parodient en la détournant la casuistique des jésuites qui consistait à analyser la gravité d’un péché au cas par cas, en tenant compte d’éventuelles circonstances atténuantes. Par exemple, il pouvait exister des mensonges excusables. Mais ici, les propos de Tartuffe sont proprement scandaleux : le rapprochement à la rime de offense et silence et le chiasme du vers 5 cristallisent

romanciers y recourent à certains moments du roman, en particulier au début pour créer un effet d’énigme qui attire la curiosité du lecteur. On la rencontre surtout dans les romans contemporains, en partie sous l’influence du cinéma. En voici un exemple : Toute vie cessa pendant un instant, puis deux hommes débouchèrent du sentier et s’avancèrent dans la clairière, au bord de l’eau verte. Ils avaient descendu le sentier à la file indienne, et, même en terrain découvert, ils restaient l’un derrière

les égales des hommes dans l’ordre social que la nouvelle constitution établit. Particularité éventuelle du texte Fait penser à la DDHC (pastiche critique car De Gouges considère qu’elle est incomplète) 3. Lecture de l’extrait Points de vigilance (diérèses, mots difficiles…) -Légitimité= reconnaissance officielle -Opprobre= humiliation -Carcan= assujettissement 4. Piste / projet de lecture (= problématique) Comment les modifications apportées par Olympe de Gouges aux articles X à XIII de la DDHC intimement-elles

protocole bien réglé. Et tout se passe en effet comme prévu car «chacun s'y trouva ». Les lamentations elles-mêmes sont sans surprise et suivent le protocole de la hiérarchie sociale. D'abord, «Le Prince aux cris s'abandonna », puis «On entendit à son exemple / Rugir en leurs patois Messieurs les Courtisans ». Et la morale arrive: «Je définis la cour... ». On croirait une histoire avortée. Fausse piste : tout cela n'était qu'une situation initiale stable, la mort de « La femme du lion» faisant en fait

langage commun comme un terme propre ("figure éteinte") il devient le seul terme convenable pour désigner l'objet. Les ailes du moulin. La plume du stylo chiasme, M - (disp.) = disposition inversée (Sujet-Verbe puis Verbe-Sujet, par exemple). http://www.lettres.net/files/chiasme.gif Les mariniers me voient vieillir Je vois vieillir les mariniers. (J. Brel) Voir cette figure en langage iconique ? L'antanaclase est une variété de chiasme dans

--------------------------------------------------------------------- 1. Le décompte des syllabes Quelles sont les deux règles à observer pour compter correctement les syllabes d’un vers ? Notez un exemple de décompte pris dans un des textes du corpus au choix. Qu’est-ce qu’une diérèse ? Notez l’exemple du manuel. 2. Les types de vers les plus fréquents 12 syllabes -> 10 syllabes -> 8 syllabes -> Qu’est-ce qu’un vers régulier ? Quel est son contraire ? 3. Les strophes dites

syllabesOctosyllabe = 8 syllabes Quatrain : Strophe de 4 vers Tercet : Strophe de 3 vers Assonance : Répétition d'une même voyelle, à l'intérieur d'un vers ou d'un groupe de vers successifs. Allitération : Répétition d'une même consonne.. Diérèse : Séparation d'une syllabe en deux par vocalisation d'une spirante LE GENRE ROMANESQUE Schéma du texte : Situation initiale : C'est le début de l'histoire. Elle présente le lieu et l'époque de l'action ainsi que la situation des personnages

qui m’entoure  » : la malédiction est un topos de la tragédie. Comme dans de nombreuses pièces du même genre, le héros porte en lui la malédiction, il ne peut rien contre, c’est souvent même un héritage familial.(la malédiction d’Œdipe en est un exemple). Non seulement la malédiction est sur lui mais elle se répercute sur les autres(Œdipe avec sa malédiction a tué son père et épousé sa mère, mais Antigone sa fille portera également la malédiction) Amoureux de Dona Sol, son souhait est de lui éviter