Exemple De Diérèse

intrinsèque qu’entretiennent la muse, le langage et le poète. En effet, il revient sur la seule partie de l’anatomie qui soit le reflet de l’âme, sans considération du temps qui passe ; les yeux. Il les compare aux « puits », mot qui supporte la diérèse pour terminer l’hémistiche, à des « creusets » et leur prête la qualité essentielle au poète : « d’invincibles charmes ». Pour la première fois, Baudelaire utilise des points de suspension, comme si son sujet lui échappait et que le langage peinait

est valorisé → il apporte l’autosuffisance et la patience - b) Personnages A la fin de l’œuvre, tous les personnages ont évolués sauf Pangloss. Voltaire s’efforce de peindre des portraits beaucoup plus objectifs que dans l’incipit : exemple avec le portrait de Cunégonde « à la vérité bien laide » modélisateur qui met en évidence le souci d’objectivité du narrateur - Candide :n’est plus aussi naïf. L’extrait s’ouvre sur le portrait de Candide : »fit de profondes réflexions ». Il a

les sentiers, hémistiche césure hémistiche ➢ Rimes féminines = rimes à syllabe dite surnuméraire (e caduc final). Exemple : âme/femme ; nue/menue. ➢ Rimes masculines = rimes qui n’ont pas de e caduc final. Exemple : sentiers/pieds ; rien/bohémien. ➢ Une assonance : répétition d’une même voyelle dans la phrase. Ex : Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers

de césures. C’est ainsi que cette liberté établit une signature de Hugo qui attribue un sens particulier à chaque vers. Il en serait de même pour la césure des octosyllabes qui changent constamment d’un vers à l’autre, v2 hémistiche à 4+4 ou par exemple v12 à 2+6 ou encore v16 où l’on ne distingue pas de césure spécifique. De plus, notons aussi que ce poème est non seulement rythmé par les césures mais aussi soutenu par de multiples ponctuations qui donnent l’effet d’un monologue que le narrateur

magiques », de « féeries », de « prodiges », de « merveilles », autant de termes dont le pluriel accentue le pouvoir évocateur. Cette féerie est concrétisée par la présence de matériaux précieux, tels que le « marbre », « l'or », le « diamant », que la diérèse tend à grossir, des « pierreries », et « des pierres inouïes », c'est-à-dire tellement extraordinaires qu'on n'en a jamais entendu parler si l'on se réfère à l'étymologie de l'adjectif « inouïes ». Le langage analogique insiste aussi sur la richesse

est émerveillé par tout ce qu’il rencontre, la curiosité est grande et comme le dit La Fontaine il « va courir le monde ». Il y a beaucoup de procédés qui révèlent l’émerveillement du rat. Dans la première phrase du dialogue du rat on remarque une diérèse sur « spacieux » qui vient appuyer le fait que le rat soit étonné et aussi le fait qu’il découvre le monde. Ensuite il y a aussi une hyperbole, «  la moindre taupinée était mont à ses yeux » c’est à dire que la moindre petite butte lui apparaît comme

- La morale de l’histoire est présentée sous une forme embrassée (ABBA) avec deux alexandrins (la morale) « Ainsi certaines gens, faisant les empressés, » / « Et, partout importuns, devraient être chassés » qui entourent deux octosyllabes (des exemples) « S'introduisent dans les affaires : » / « Ils font partout les nécessaires » II - Le comique naît de la comparaison entre la légèreté de la mouche et la lourdeur du coche - Du vers 1 au vers 6, la dimension comique provient du contraste entre

serpe, instrument de dommage et laissez agir la faux du temps ». - Le ton du scythe est emphatique : un octosyllabe plus quatre alexandrins, on le remarque grâce à l’accumulation de figures de styles v14 « cette ruine » une hyperbole soulignée par la diérèse, on a également « ces pauvres habitants » au v15 il s’agit d’une personnification pathétique des arbres, puis la « faux du temps »au v17 , allégorie qui évoque la mort et au v18 « noir rivage » est une métonymie qui évoque les enfers. - Il y a une

Fiche bilan sur la poésie 2/6 -le hiatus : est formé lorsque deux voyelles sont en contact à l’intérieur d’un mot ou d’un vers. Deux possibilités de prononcer un hiatus : on peut faire entendre 2 syllabes, c’est la diérèse. Ex extrait d’alexandrins de V. Hugo : « A/veu/gle/s et/ boi/teux/ vin/rent,/ et/ leurs/ hu/ées Rail/laient /le /noir/ clai/ron/ son/nant/ sous/ les /nu/ées » On peut aussi ne faire entendre qu’une syllabe, c’est ce qu’on appelle une synérèse

il se prononce si le mot suivant commence par une consonne. -le hiatus : est formé lorsque deux voyelles sont en contact à l’intérieur d’un mot ou d’un vers. Deux possibilités de prononcer un hiatus : on peut faire entendre 2 syllabes, c’est la diérèse. Ex extrait d’alexandrins de V. Hugo : « A/veu/gle/s et/ boi/teux/ vin/rent,/ et/ leurs/ hu/ées Rail/laient /le /noir/ clai/ron/ son/nant/ sous/ les /nu/ées » On peut aussi ne faire entendre qu’une syllabe, c’est ce qu’on appelle une synérèse. Ex