Exemple De Diérèse

évidence : - « mon esprit amer » définit l’âme des poètes (à la rime). « mélancolique » v.7 et 11 doublement insistant par sa répétition à la rime. « effroi » (rime) v.5 « folle » v.3 placé à la césure « inquiète » v.3 mis en évidence par la diérèse «  si tristement » avec l’adverbe d’intensité et répété v.18 et 22 3) Le regret Dans son effort de rédemption le poète formule ses regrets, ses remords et l’interrogation initiale et finale du poète peut être interprétée comme l’élan d’un repentir

pas) phrase courte, qui reflète l’effet de choque, qui remplace l’hémistiche. 2e échec qui redouble d’énergie dans son langage : « il fit parler les mort, … » énumération, diérèse, prosopopée, . l’idée cest de montré que l’orateur roudle d’energie dans son langage comme le montre l’effet d’énumération « ;;; », la diérèse violence par la met en valeur le mot dans le ves plus court. Qui savent exité les ames les plus lentes- antiphrase, qui sont a la fin d’emistiche. eLISION D4HYPERBOLE « tona

lignes) : -Bilan + Réponse [+] - Connecteurs logiques : ainsi, donc,c'est ainsi que, par ailleurs, par conséquent alors que dans ce txt. - Vers : .Strophes : distique/tercet/quatrain/quintil .Vers : octosyllabe/décasyllabe/alexandrin .Diérèse : 2 syllabe au lieu de 1 .Synérèse : 1 syllabe au lieu de 2 .Rimes : Plates(AABB) → Rythme neutre/Croisées(ABAB) → Rythme Pétillant/Embrassées (ABBA) → son du milieu mis en avant. .assonance : répétition d'un même son .allitération : répétition d'une

l'adoration mystique. Source : www.comptoirlitteraire.comC’est le premier exemple de femme-paysage dans ce recueil. 2 axes de lecture : la femme/le paysage Première strophe : Le poète compare le regard au ciel Allitération en r (...) comme le r de « brouillé » Deuxième strophe : Correspondance entre cette femme et une atmosphère où sont atténuées la lumière, la chaleur et la visibilité («jours blancs, tièdes [autre diérèse] et voilés»), il montre son effet nocif sur les gens faible d’esprit.

- Comparant avant le comparé => comparé mis en relief =>Dernier vers = noyau du poème = théorie des correspondances avec évocation de 3 sens. I] Ts = Mise en pratique de la théorie - Tercets = exemple de la mise en pratique de la théorie à l’aide des parfums. - Unité syntaxique (1 seule phrase), phonétique (rimes en [an]) et visuelle (rimes finissent par "s") =>Tout fonctionne ensemble pour explorer les correspondances qui naissent des sensations

une structure narrative animée. Elle est rendue vivante par l’aspect pittoresque de certains « tableaux ». En effet, il est facile de s’imaginer les scènes comme s’il s’agissait d’un film, d’un dessin animé ou quoi que ce soit d’autre. Comme par exemple la scène au début de la fable, soit l’anecdote de la mort de la lionne « La femme du Lion mourut : Aussitôt chacun accourut Pour s’acquitter envers le Prince De certains compliments de consolation, Qui sont surcroit d’affliction. » (Vers 1 à 5). De

de vers. Ex. : Tenait en son bec un froma(ge). / Il ou(vre) un large bec  Lorsqu’ une consonne est suivie d’un -I, d’un -OU ou d’un -U puis d’une autre voyelle, il faut généralement compter deux syllabes. On dit alors que l’on fait une DIÉRÈSE. Exemples : PROVISION : PROVISI / ON. ALOUETTE : ALOU / ETTE. 2 Les vers les plus fréquents  HEXASYLLABE : vers de six syllabes.  OCTOSYLLABE : vers de huit syllabes.  DÉCASYLABE : vers de dix syllabes.  ALEXANDRIN : vers

rejets (v.4,6,13) ; et un contre-rejet (v.13) ; tout est improvisé, décousu et traduits par des alexandrins dissymétriques, mal découpés, parfois boiteux comme le dernier alexandrin du premier tercet dont la longueur n'est sauvé que par une double diérèse douteuse, ti/è/de et colo/ri/é, par des rimes inhabituelles croisées ABAB au lieu d'embrassées ABBA pour les quatrains d'un sonnet, par un vocabulaire très familier " ce fut adorable", "celle-là", "tétons énormes". 2-Un bonheur simple Tout, dans

fin de vers, il peut compter comme une syllabe à la fin d’un mot et à l’intérieur d’un vers lorsque le mot suivant commence par une consonne. La diérèse consiste à prononcer, en poésie, une syllabe qui n’est pas prononcée en prose. Par exemple, dans Correspondances, de Charles Baudelaire, le mot expansion compte quatre syllabes. Il s’agit donc d’une diérèse : « Ayant l’expansion des choses infinies » La rime est le retour en fin de vers d’un, deux ou trois phénomènes semblables, ce qui entraine la

manière cubiste avec un zoom qui commence dès le début du poème.Développement :La revendication de la modernité vers 1 à 10-vers 1 : la scansion (le compte de syllabes) donne 12 syllabes si l'on fait la diérèse sur anci-en => avec l'alexandrin (vers noble de la tradition poétique) et la diérèse qui met le mot « anci-en » en valeur, on a l'impression que l'ancien est remarquable, mais c'est l'inverse qui est dit dans le vers : « tu es las de ce monde ancien » : le poète est fatigué de la tradition