Exemple De Monologue Intérieur

Il y a une interaction avec le public, on peut le faire participer au spectacle. B. Le théâtre de l’absurde La diversité dans le genre théâtral vise à montrer les libertés qu'ont pu se permettre les auteurs et les metteurs en scène. Prenons exemple sur l'idée du théâtre de l’absurde : la cantatrice chauve d’Ionesco, où la mise en scène est « complètement folle ! » On range d'ordinaire parmi les œuvres du théâtre de l'absurde les pièces de Ionesco, Adamov, et quelquefois celles de Beckett, Genet

classe et sur vos lectures personnelles. Vous pourrez vous intéresser à d'autres genres que le roman. Sujet 3 : écriture d'invention Réécrivez la dernière rencontre de Frédéric Moreau avec Mme Arnoux (texte 3), cette fois, sous la forme d'un monologue intérieur de Frédéric, qui dévoilera ses sentiments et ses pensées. Vous resterez fidèle au texte de Flaubert en vous gardant, toutefois, d'en recopier des passages. 1. Pelisse : manteau, doublé ou garni de fourrure. 2. Festonné : bordé. 3. Capote : chapeau

« Réfléchissez,| | | |voyons » à « malgré la poussée contraire que l’on devine »p.164. | | |Quatre lectures analytiques |4. Le monologue final : Acte 3, p.245, de « Je ne suis pas beau » à la | | | |fin de la pièce. | |

général, une focalisation zéro. En effet, le lecteur en sait plus que les personnages, notamment au sujet de leur passé. Par moment, cependant, il existe une focalisation interne, selon le point de vue d’un personnage en particulier, comme par exemple, lors du monologue de Nel. Nous remarquons facilement la division du texte, en deux parties, deux périodes, avec comme chapitres, les années. La première partie, de 1919 à 1927, présente la communauté et l’amitié fusionnelle entre Nel et Sula pour se terminer

enthousiasme : « Dans trois jours, membre A ! ». Ailleurs, les questions oratoires témoignent de sa fierté et de son étonnement : « Pas à dédaigner, hein ? » (l. 8.) ; « Est-ce possible ? » (l. 14). Des interjections comme « Eh oui » ponctuent ce monologue intérieur et contribuent à sa vivacité. L’apostrophe finale, au discours direct (« Trésor ! »), ajoute une note humoristique au portrait. Les propos et pensées du personnage nous révèlent donc ses émotions, sa vitalité, son bonheur. Tous ces procédés

la virulence d’un réquisitoire contre la société. I_ Une étrange plaidoirie 1/La composition de l’extrait met en valeur la plaidoirie _ 1er paragraphe introduction à la plaidoirie _Narration encadrée entre 2 discours indirect libre : monologue intérieur _1ère phrase : caractère ultime du discours : passage narratif préparation de Julien et du lecteur à ce qu’il va dire _Valorisation plaidoirie : parle après s’être parlé à lui-même _Changement d’énonciation : récepteur « Messieurs », « vous

L’extrait, sous forme de monologue intérieur, fait part des pensées de Julien, accordant ainsi au personnage une grande autonomie 1) Le narrateur s’octroie peu de place dans cette page -narrateur peu présent  introduit les pensées de Julien ( l18 /31/27)  constat des pensées de , Julien

que la figure de l'auteur (bien que celle-ci soit nécessaire), nous pouvons dire que l'identité du narrateur dans cet extrait est inconnue. En effet la voix narratrice n'a pas de nom, rien ne nous est dit explicitement quant au sexe biologique par exemple. Est-ce une femme ou un homme qui parle? Nous n'avons aucun signe dans l'extrait pour nous aider à identifier le narrateur, du moins d'un point de vue de l'identité sexuelle. On peut penser que cela est une volonté d'Annie Ernaux en ce début de

première fois en 1828, de manière anonyme puis deux autres fois en 1829 et 1832 sous son nom, avec des préfaces polémiques visant à justifier ses choix littéraires. Ce roman à thèse, prend l’apparence d’un journal intime dans lequel on découvre le monologue intérieur, à la première personne, d’un condamné à mort. Victor Hugo dans ce récit, fait une plaidoirie contre la peine de mort et montre l’aspect tragique de la condamnation à mort en suscitant de la compassion chez son lecteur. Au moment de la parution

À l’opposé du roman, il y a une accentuation sur les prénoms dans le film. Les personnages du film sont nommés de leurs prénoms. Le lecteur du roman ignore les prénoms des personnages, à l’excepté des personnages proprement historiques comme par exemple Henri II, Marie Stuart et Anne de Boulen. On ne connaît même pas les prénoms de Mme de Clèves, de M. de Clèves ou de M. de Nemours, les trois personnages principaux du récit. L’utilisation des prénoms dans le film montre une relation plus familiale