Exemples De Dilemmes Moraux

classicisme ne sont Pierre C ar R pas encore tres bien définis au théatre. Sa Médée est donc encore tres baroque : dans la démesure de son personnage, ’ a représentation finale de la mort de Jason sur scéne, ou encore dans le merveilleux trés present par exemple, ou dans! (Médée est une magici : didactiques de Corneille sont les mé! au phénoméne de catharsis. J enne qui senfuit a la fin sur un char tiré par deux dragons ailés). Néanmoins, les objectifs ‘ mes que ceux de Racine : sa tragédie doit avant tout

être enterrée vivante. Mythe : Récit qui se veut social, qui présente et explique certains aspects de la société. Il contient une morale implicite, i.e une leçon de conduite universelle Beaucoup d’œuvres répondent au nom d’Antigone : des pièces de théatre. 2 évocations artistiques retiennent particulièrement notre attention : Sophocle et Anouilh. Quelle est la morale du mythe d’Antigone ? Quelle est la vision du mythe chez Sophocle et Anouilh ? I° A) L’opposition Antigone/Créon Créon représente

exprime son désespoir et demande à Rodrigue de le venger. Au cours de « stances », dans une lutte douloureuse avec lui-même, il se plaint du dilemme dans lequel il est placé. Acte II Sur la place publique, Rodrigue aborde le comte qui refuse une réparation. Rodrigue le provoque en duel. L'Infante réconforte Chimène qui est soumise, elle aussi, à un dilemme. L'Infante voudrait empêcher le duel, mais les deux hommes sont sortis en se querellant. Elle reprend espoir, car ce combat éloigne Rodrigue

lois universelles et immuables qui rendent compte des phénomènes au delà des apparences changeantes. Si nous revenons au dilemme, au paradoxe de l'idée du changement : ou bien nous acceptons le principe d'identité de soi à soi et non refusons l'idée de changement ou nous acceptons le changement, le devenir et nous refusons le principe d'identité. On peut trancher ce dilemme, le résoudre, en comprenant que changer ce n'est pas cesser d'être soi, c'est être soi autrement. Une identité demeure malgré

ou de comprendre la morale que l'auteur fait passer à travers son oeuvre. Alors que jouées, des pièces comme L'avare de Molière, qui est une histoire banale et simple car la morale est devinée tout au long de la pièce ; ou encore Le Cid de Corneille, qui raconte une histoire ne reposant que sur le dilemme entre l'amour et la raison, seront plus faciles à la compréhension par un spectateur. Cette compréhension repose également sur le travail du metteur en scène. Par exemple, quand le Cid de Corneille

présentation qu’on donne du réel (faits, chiffres, conséquences, définition, le fait rapporté, l’économie, la comparaison, le droit)· Pas éthique : par l’exemple (prendre, un exemple et en faire une généralité) 2 – Les arguments par la communauté : adhésion préalable à une norme admise comme commune, à des valeurs (morale, religion, tradition, liberté, égalité, fraternité, la promesse)· Pas éthique : par le bon sens (manque de rigueur) se repère grâce à des adverbes 3 – L’argument d’autorité : qui

par son comportement irresponsable (se saouler). Par ailleurs, on peut remarquer durant ce film une impuissance dans de l'ordre de la trivialité, l'impossibilité de se contrôler soi-même et de contrôler son corps pour Saint-Jean, avec plusieurs exemple notables. L'impuissance face à son corps est évoquée dans la scène où, sur le chemin du retour du lieu de l'accident, celui-ci est obligé de s’arrêter pour vomir. Le fait que le réalisateur ai choisi que cette séquence, qui aurait tout à fait pu être

Bérenger apparaît négligé, en retard, conciliant, en marge par son alcoolisme et son mal-être. Les tableaux suivants feront apparaître une inversion des rôles. Le deuxième tableau de l'acte II montre la métamorphose de Jean, aussi bien physique que morale, sous le regard effrayé et impuissant de son ami Bérenger. Le texte révélant sa brutalité, son impudeur, son laisser-aller avec le passage du vouvoiement au tutoiement, la dislocation de la syntaxe, montre qu'il perd progressivement ce qui faisait

concepts Vocabulaire : Ils sont synonymes Ethique (du mot grec : ETHOS) = mœurs, habitudes Moral (du latin MOS ou MORES) = façon de vivre Moral | Ethique | Discours normatif et impératifRésultant de l’opposition bien / malEn tant que valeurs transcendantes absoluesEnsemble de devoirsRépond à la question : « que dois-je faire ? »UniverselleTend vers la vertuCulmine dans la saintetéLa morale commande | Discours normatifRésultant de l’opposition bon / mauvaiseEn tant que valeurs relativesEnsemble

être conscient: l'assertion est fausse, il y a intention de le tromper. Si on avait voulu cette signification on aurait demandé: peut-on se mentir à soi même? (Voirl'aide N°76 Peut-on mentir? sur ce sujet). -Si peut-on signifie doit-on, le problème moral est posé (que dois-je faire?). Est-ce juste de mentir à autrui? Peut-on faire à autrui ce que nous ne voulons pas qu'il nous fasse? On peut donc prendre le deuxième sens.  => Recherche des idées et du plan.  Pour une première partie... -Si le devoir