Exemples De Dilemmes Moraux

et une orientation déontologique appliquée 3 2. Eclairages: exposition du principe de Pareto et de l’équilibre de Nash 3 3. La justice sociale comme équité rationnelle 3 CONCLUSION 3 Préambule  Domaine d’analyse: la politique Exemple de sujets-Bac : « Le droit n’est-il que l’expression d’un rapport de force ? ». « Toutes les inégalités sont-elles injustes ? ». « La loi est-elle toujours juste ? ». Travail collectif : recension critique des expressions en rapport avec la notion

elle valide l’idée d’un monde partagé entre les « performants » d’un côté, les malades ou réfugiés de l’autre. Contribuant à la mise en place d’un apartheid planétaire, ces stratégies du désastre s’inscrivent dans une mise sous tutelle, globale, morale et sécuritaire. »[6] Que l’humanitaire véhicule une forme de nihilisme bien en phase avec une forme de néo-libéralisme technoscientifique contemporain nous semble parfaitement clair, mais il s’agit selon nous surtout d’une conséquence de l’appréhension

aux passions ; il faut faire preuve de raison. Descartes = cartésianisme = rationalisme Exemple : Le fumeur D’après la raison, le tabagisme 7 beaucoup de conséquences mauvaises pour la santé (cancers, dents jaunes, doigts jaunes, …) Pour arrêter, il faut de la volonté. D’après Descartes, Raison + Volonté = Générosité .Pour combattre les Passions : Exemples : * « Le cid » de Corneille Le dilemme : aucunes des solutions ne sont satisfaisantes * « Princesse de Clèves » de Madame de

à la lecture de la loi divine et à l’exécution du châtiment divin. Il est aussi important de relever la notion de la morale qui régit les comportements des hommes en considérant le bien et le mal, et qui donc influe sur la Justice. Une telle morale peut-elle être divine ? Quelle serait alors la distinction entre la morale divine et la loi divine ? Qu’arrive-t-il quand deux morales, l’une humaine et l’autre divine, s’opposent ? La nécessaire intermédiation humaine. Il est difficile de définir Dieu

la tragédie moderne naissante au milieu du XVIIe siècle. Aux prises avec la mise en place des règles classiques, il a marqué de son empreinte le genre par les hautes figures qu'il a créées : des âmes fortes confrontées à des choix moraux fondamentaux (le fameux « dilemme cornélien ») comme Rodrigue qui doit choisir entre amour et honneur familial, Auguste qui préfère la clémence à la vengeance ou Polyeucte placé entre l'amour humain et l'amour de Dieu. Si les figures des jeunes hommes pleins de fougue

Le philosophe PASCAL dans les «Pensées », s’interroge sur le moi. Il se demande si aimer quelqu’un pour ses qualités physiques, morales, ou pour autre chose, est-ce vraiment l’aimer. Quelles sont les veritables raisons de notre amour ? Ainsi on aime une personne plutôt qu’une autre pour quelque chose mais quoi ?En déchiffrant la logique de Pascal nous répondrons a la question nous trouverons une réponse sur la raison de notre amour et donc de la signification du « moi ». PASCAL Qu'est-ce que

car, sous le règne de Louis XIV, le roi devait se situer au centre de toutes choses. Les personnages ainsi que l'intrigue deviennent plus vraisemblables, ce qui entraine une perte de fantaisie dans les romans. L'intrigue du roman détient donc une morale. Comme le laisse deviner le titre, ce roman doit posséder un conflit sentimental qui n'est pas spécialement riche en action mais qui est idéal pour une analyse psychologique et sociologique approfondie. Le but étant de constamment rappeler au lecteur

2 types de conscience : - Morale -> connaissance du bien et du mal, faire et ne pas faire. Rousseau explique que chez l’H il y a un sentiment de pitié & compassion Psychologique -> possibilité d’avoir connaissance de soi & du monde, elle ns permet de percevoir & d’imaginer. La faculté de la csce fait de l’H un sujet, pas un objet. Objet = ce qui se trouve devant un sujet et posé sous son regard. Bergson dit chaise ds classe vide n’existe pas car on sait pas. Dilemme = Cas de csce (Antigone, Choix

pouvons tous connaître la loi morale rationnelle qui nous dicte de façon absolue (impératif catégorique) ce à quoi notre volonté doit se conformer: ainsi nous pouvons tous savoir que mentir, voler ou tuer est contraire à cette loi. Par conséquent, celui qui dédaigne son devoir sait véritablement où est le bien. Simplement, la connaissance de ce qui lui est profitable est commandée par la raison prudente (imp. hypothétique) alors que la connaissance de ce qui est moral est commandée par la conscience

encore, un but moral ? Cela nous amène donc à nous demander : ruser par la parole, est-ce nécessairement tromper ? Tout d’abord, si la parole désigne le langage qui permet aux hommes d’échanger entre eux et de s’exprimer, elle n’en demeure pas moins un instrument de vérité, mise au service de la morale. De plus, elle sert à dire le monde tel qu’il est. Cependant, si l’on « altère » cet outil moral par la ruse