Exemples d'espaces vectoriels

(grec moderne) Logo : 1. Langage (équivaut pour tout le monde) 2. Le discours (ce que fait chacun du langage, donc unique à chaque individu) 3. Etude (dans le but de se constituer un savoir) 4. Le savoir lui-même (conceptuel, enseignable, exprimable) Exemples : mathématiques, technique artistique mais pas génie Sophia : savoir (intuitif, non exprimable, strictement personnel) « Philosophie »vient du grec « sophia ». Platon : « Amour immodéré du Savoir ». De la sagesse, de la vérité Au XIX, il y avait

LES EXEMPLÉS STIPULES DANS LES PRÉSENTES SONT FOURNIS TELS QUELS ET PEUVENT ÊTRE MODIFIÉS SANS PRÉAVIS. HEWLETT-PACKARD COMPANY N’OFFRE AUCUNE GARANTIE CONCERNANT CE MANUEL, Y COMPRIS MAIS NON LIMITÉE AUX GARANTIES IMPLICITES DE COMMERCIALISATION, DE NON-VIOLATION ET DE D’APTITUDE À UN EMPLOI PARTICULIER. HEWLETT-PACKARD CO. N’ENDOSSE AUCUNE RESPONSABILITÉ QUANT AUX ERREURS OU DOMMAGES INDIRECTS OU ACCESSOIRES LIÉS À L’APPROVISIONNEMENT, LA PERFORMANCE OU L’EMPLOI DE CE MANUEL OU DES EXEMPLES QU’IL

démarche réfléchie sur l’ensemble des éléments contenus dans le dossier. Chaque fois qu’un candidat, dans la synthèse, se réfère à un ou plusieurs documents du dossier, il doit citer entre parenthèses le ou les numéros du ou des documents concernés (exemple : doc. 1, doc. 2...). SUJET Doc. 1 : Doc. 2 : Doc. 3 : Doc. 4 : Doc. 5 : Doc. 6 : Doc. 7 : Doc. 8 : Doc. 9 : Déclaration universelle des droits de l’homme, 10 décembre 1948, articles 25 et 27. Debelleix Emmanuelle, Barthelemy Simon, « Demain

de lui, dans un monde o` les forces u ´taient personnifi´es et o` chaque chose exer¸ait une influence sp´cifique.1 e e u c e On peut affirmer que la magie a rempli un rˆle utile d’organisation et de pr´servation des o e connaissances pratiques. Par exemple, le rite magique associ´ au solstice d’hiver n’´tait peut-ˆtre e e e pas n´cessaire pour que les jours ralongent effectivement, mais il avait au moins le m´rite de e e codifier et de pr´server la connaissance du solstice. Par contre, les explications

point matériel. • Première loi : principe d’inertie Il existe une classe de référentiels, appelés référentiels galiléens par rapport auxquels un point matériel isolé est en mouvement rectiligne uniforme. Dans un référentiel galiléen, la somme vectorielle des forces appliquées à un point M de masse m et son accélération sont liées par : ➞ d p (M) ➞ F →M = = ma (M). dt Les forces d’interaction exercées par deux points matériels M1 et M2 l’un sur l’autre sont opposées et colinéaires à l’axe (M1M2)

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67 Exercice 56. Synthèse : nombres aléatoires et histogramme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68 Exercice 57. Synthèse : calcul vectoriel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70 Exercice 58. Synthèse : utilitaires pour des tableaux de tableaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 Exercice 59. Synthèse

. . . . . . . . . . . . . . Calcul de l’espérance pour une variable aléatoire à densité . . . . . . . 4.5.1 Un résultat général fondamental . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5.2 Calculs d’espérances dans le cas avec densité . . . . . . . . . . Exemples fondamentaux de variables à densité . . . . . . . . . . . . . 4.6.1 Variable aléatoire uniforme sur [a, b] . . . . . . . . . . . . . . 4.6.2 Variable aléatoire exponentielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.6.3 Variable aléatoire de loi gamma

modélisation, permettant de représenter tout type de système et d’application logicielle. L’apport de MDA est de permettre d’exploiter ces modèles pour simuler, estimer, comprendre, communiquer et produire. Le présent ouvrage présentera de nombreux exemples illustrant l’aspect production, en montrant comment un modèle peut être exploité pour produire différents codes. Le code ne devient dès lors qu’une conséquence, une dérivation mécanique du modèle. MDA contient en germe une progression considérable

. . . . . . . . . . . . . . x e e e Liste des symboles utilis´s . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xiii e CHAPITRE PREMIER. Le langage des probabilit´s . . . . . . . . . . . . . . . . . . e Un exemple. Le triplet fondamental. Suites infinies d’´v`nements. e e Compl´ments et exercices. e CHAPITRE 2. Les ´v`nements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e e Les alg`bres. Les tribus. Les syst`mes de Dynkin

 et un écran pour  afficher les résultats. Il permet à l’ordinateur d’être interactif.  Les instructions du programme sont présentes dans la mémoire. L’unité de contrôle va prendre la première instruction  du programme et l’exécuter. Si l’instruction est par exemple d’additionner deux nombres, elle va demander à l’UAL de  prendre ces deux nombres en mémoire et de les additionner et éventuellement de placer le résultat dans une nouvelle  case.  Puis  l’UC passe à l’instruction suivante. Si elle consiste à afficher ce résultat