Patagons

avons l'impression que l'homme est impressionné pas les Patagons, et ils les décrit de façon méliorative , comme nous le démontre ces passages du texte « Ce géant », « personne fort gracieuse et aimable, aimant à danser et sauter », « il avait une voix terriblement grosse et forte », « quatre géants », « chacun d'eux était peint de diverse sorte »et « des baraques faite de la peau des susdites bêtes de quoi ils se vêtent ». Les Patagons et le roi de Moluques sont décrit de façon très différentes

Terre de Feu : Les Patagons : " [...] Ils étaient couverts de peaux et couraient à toute jambe.... selon le rapport des espagnols, la nation qui habite cette partie de La terre de Feu n'a rien des mœurs cruelles de la plupart des sauvages." Bougainville poursuit son récit en faisant l'éloge de ces Indiens qui font preuve de sympathie et d'un sens de l'hospitalité remarquable. Il s'attarde sur leur description physique, sur leur grande taille ( Magellan les avait appelés " Patagons", nom d'un géant

la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe : je me suis trouvé dans les deux cas. C'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe. Cependant, lorsque ma mère me vendit dix écus patagons sur la côte de Guinée, elle me disait : " Mon cher enfant, bénis nos fétiches, adore-les toujours, ils te feront vivre heureux, tu as l'honneur d'être esclave de nos seigneurs les blancs, et tu fais par là la fortune de ton père et de ta mère. "

impressionné par la grande taille des Patagons. Dans un premier temps il crée des liens avec eux, leur enseigne son langage et sa religion. Il apprend à connaître leurs coutumes et reste impressionné. Il a au final une attitude de colonisateur car il en embarque 2 sur le bateau (apparemment sans leur accord) et veut les ramener en Espagne pour leur apporter sa civilisation,tout en cherchant à ne pas créer de conflits. 4/Pigafetta, l’auteur du document 7, décrit les Patagons comme des géants qui se logent

meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe : je me suis trouvé dans les deux cas. C'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe. Cependant, lorsque ma mère me vendit dix écus patagons sur la côte de Guinée, elle me disait : " Mon cher enfant, bénis nos fétiches, adore-les toujours, ils te feront vivre heureux, tu as l'honneur d'être esclave de nos seigneurs les blancs, et tu fais par là la fortune de ton père et de

Vanderdendur l.6 ; écus patagons l.15) L’Afrique (côtes de Guinée) L’Amérique (Surinam sucre) b) Un commerce « Ma mère me vendit 10 écus patagons » = l’homme a une valeur marchande, il est une marchandise Cet esclavage est rentable pour les Européens « c’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe » Le commerce est rendu possible par deux choses : la naïveté de la mère « il te feront vivre heureux » et la relative misère des familles africaines, pour eux 10 écus patagons représentent une fortune

description de ce personnage « un caleçon de toile bleu », « il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite ». L’auteur nous donne des indications sur la vie de ce personnage « J’attends mon maître » , « Ma mère me vendit dix écus patagons » ce qui montre que c’est un esclave et qui renforce l’aspect d’un personnage fictif et sans identité avec un faible description. Un discours qui est naïf , la parole est donné à l’esclave, un constat résignant et étonnant. Pour la première élocution

provient d’ici : lors d’une escale durant l’expédition de Magellan en direction du détroit qui porte son nom , un indien de haute stature embarqua. Et le capitaine de s’exclamer devant ses arpions qu’il était patagon ( doté de grands pieds). Du coup les habitants de la region devinrent tous des patagons, et leur contrée devint Patagonia , limitée au Nord par la Pampa et au sud par la Terre de Feu. Petit Moreno / Glacier Viedma : Le glacier du petit Moreno et le Glacier Viedma sont deux des treizes

contrairement à ce que la mère de l’enfant voudrait lui faire croire. De plus, l’enfant est vendu pour une somme dérisoire lignes 10-11 : « me vendit dix écus patagons » ce qui renforce l’absurdité des propos tenus par la mère ligne 13 : « tu fais par là la fortune de ton père et de ta mère », car nous savons que ce n’est pas avec 10 écus patagons que ses parents vont devenir riche. Voltaire va aussi montrer a quel point le bonheur de certains, ici les européens, va rendre les esclaves malheureux ligne

conte efficace 1) Un récit fictif Titre : « Surinam » Cela représente un nom inconnu complètement fictif De plus « Le fameux négociant Vanderdendur » Les sonorités sont inconnues et burlesque. « Singes et perroquets » : animaux exotiques « écus patagons » : système de monnaie différent Ces éléments dits exotiques créent une certaine distance entre les faits évoqués et le lecteur 2) La nariété des discours « vendu sur la côte de Guinée » : esclavage Ces fictions exotiques permettent à Voltaire de