Exercices Corrigés Gestion De Trésorerie

Chapitre II : LE BUDGET DES APPROVISIONNEMENTS ET LA GESTION DES STOCKS I. DEFINITION DU BUDGET ET DES APPROVISIONNEMENTS  Dans la restauration, le budget des approvisionnements comprend les consommation de matières.  Les achats de nourriture et boissons (coût matière) occupent 30% du CA d’un restaurant. Remarque : En comptabilité générale les matières premières correspondent à deux comptes. 6011 « Denrées périssables » 6012 « Denrées non périssables » II. LES APPROVISIONNEMENTS

PLAN Introduction 2 Chapitre 1 : Les méthodes patrimoniales d’évaluation des entreprises 4 I- Actif net comptable : 4 II- Actif net comptable corrigé: 5 III- La Valeur Substantielle Brute : 14 IV- Les Capitaux Permanents Nécessaires à l’Exploitation 15 V- Goodwill. 15 Chapitre 2 : Approches fondées sur les flux 21 I- Approche par les bénéfices : valeur de rendement 21 II- Approche Par Les Dividendes : Valeur De Rentabilité 24 III- Actualisation des cash-flows disponibles

rappel des principes comptables fondamentaux justifiant ces travaux dans l’objectif de l’image fidèle. ❖ Constater les dépréciations de l’actif immobilisé (amortissement ou provision) ❖ Constater les dépréciations de l’actif circulant et de la trésorerie ❖ Constater les provisions pour risques et charges ❖ Régulariser les comptes de charges et de produits ❖ Passer les écritures de regroupement et de détermination du résultat ❖ Etablir les états de synthèse ❖ Procéder à la clôture des comptes

97 État des variations des capitaux propres 106 Informations à présenter dans l'état des variations des capitaux propres 106 Informations à présenter dans l'état des variations des capitaux propres ou dans les notes 106A Tableau des flux de trésorerie 111 Notes 112 Structure 112 Informations à fournir sur les méthodes comptables 117 Sources d'incertitude relative aux estimations 125 Capital 134 Instruments financiers remboursables au gré du porteur classés en capitaux propres 136A

DCG 9 Introduction à la comptabilité CAS PRATIQUES Charlotte DISLE Anne-Marie BOUVIER Agrégée d’économie et gestion Docteur en sciences de gestion Enseignant chercheur à Grenoble École de management (GEM) Agrégée d’économie et gestion Professeur en classes préparatoires au DCG © Dunod, Paris, 2008 ISBN 978-2-10-053910-9 ISSN 1269-8792 Sommaire CHAPITRE 1 Définition et principes de la comptabilité 1 CHAPITRE 2 L’écriture comptable 8 CHAPITRE 3 Actif

……………………………………………………………………P.7 CHAPITRE 1 : PRINCIPES COMPTABLES FONDAMENTAUX………………… ....P. 9 • • • • • • • • Aspects généraux Le principe de continuité d'exploitation Le principe de permanence des méthodes Le principe du coût historique Le principe de spécialisation des exercices Le principe de prudence Le principe de clarté Le principe d'importance significative CHAPITRE 2 : ORGANISATION DE LA COMPTABILITE…………………….. ...P. 13 • • • • • • • Objectifs de l'organisation comptable Structures fondamentales de la comptabilité

principales corrélations. Ces rapports aident le personnel d'une institution de microfinance à analyser l'information, et à s'en servir pour prendre des décisions concernant la gestion de l'institution1. Le modèle produit les trois principaux types d'états financiers (le compte de résultat, le bilan et le tableau de flux de trésorerie), ainsi qu'un compte de résultat retraité faisant apparaître la rentabilité de l'institution après prise en compte des subventions et de l'inflation. Le modèle génère également

comme suit : Le Gérant Le secrétariat Le chef comptable Le Gérant supervise et contrôle le travail du fiduciaire ainsi que de la gestion du personnel. Il entreprend, réalise toutes les opérations d’ordre juridique, donne de conseil à ses clients, certifie des comptes, vérifie les différentes méthodes de travail utilisées par ses clients pour garantir une bonne gestion de leur patrimoine, et de l’entreprise, accompagne et assiste ses clients lors de création de leurs entreprises. Le service est assuré

NORMALISATION 11. HISTORIQUE Jusqu’au milieu du 20ème siècle, la comptabilité a été considérée comme un outil d’information destiné à remplir des obligations juridiques et fiscales, sans pour autant constituer un véritable système d’information de gestion au service des opérateurs économiques. Cependant avec le relèvement du niveau de culture générale, le rapprochement des peuples, le développement des échanges physiques et financiers entre les nations, et l’interpénétration des économies, le système

sortir du compte de résultat pour les mettre dans le bilan. C’est une faculté, non pas une obligation car dans certains secteurs, il peut y avoir une longue période de temps entre les frais et les rentrées. Il est donc possible qu’à la fin du premier exercice, on ait des revenus de 10000 euros et des frais de 100000, cela signifie que l’on a une perte de 90 000 euros et en droit belge il faut, dans ces cas là, normalement convoqué une assemblée extraordinaire et voter la continuation ou non de l’activité