Exhortation apostolique

Le 12 avril 2015, le Pape François a prononcé le terme de « génocide », concernant les Arméniens tués il y a plus de 100 ans. Le mot a résonné dans la Basilique Saint-Pierre de Rome. La Turquie n’a pas tardé à répondre, et a convoqué le nonce apostolique du Vatican à Ankara au ministère des Affaires Etrangères. Le pays a été « profondément déçu » des propos tenus. Le premier ministre turc Ahmet Davutoglu a qualifié ces propos de «partiaux» et «inappropriés». Cette annonce n’arrangera en rien les

avoir à mener de combat, il montra dans l'exercice de ses fonctions, et notamment dans la gestion des troupes et des vivres, la supériorité de son esprit et un grand talent pour discipliner les soldats. Il se fit alors remarquer par le commissaire apostolique Jean-François Sacchetti. Le Traité de Monzon régla temporairement la situation sans que les troupes du Pape ne soient intervenues. En 1627 éclata en Italie du nord le conflit appelé guerre de succession de Mantoue. Il opposait d'une part, l'empereur

(art1-e). S’il s’agit d’une ambassade, celui-ci se retrouve en la personne de l’ambassadeur lui-même. Ceci est commun pour tous les Etats sauf en ce qui concerne le Saint Siège dont le titre que porte le Chef de mission est celui de « Nonce apostolique ». Pour les pays du Commonwealth, il s’agit d’un Haut-commissaire étant donné que la représentation diplomatique bilatérale au sein des pays membres s’appelle « Haut-commissariat » et non pas ambassade. Toutefois, il se peut que l’ambassadeur

et les vacances longues du siège pontifical reprennent, jusqu'à ce que Boniface VIII réinstaure le Ubi periculum. Depuis lors, toutes les élections pontificales ont eu lieu en conclave[14]. À partir du XVIe siècle et jusqu'à la constitution apostolique Commissum nobis du 20 janvier 1904 de Pie X, le droit d'exclusive est régulièrement employé par la France, l'Espagne et l'Autriche, ces États catholiques utilisant leur droit de veto pour exclure leurs candidats respectifs, si bien que le papable

problème de préséance s’est poursuivi, c’est pourquoi l’article 14 de la Convention de Vienne aborde cette question : selon cet article, la catégorie chef de mission se divise en trois classes : Une classe correspond aux ambassadeurs ou nonce apostolique accrédités auprès des chefs d’État. Une autre classe est celle des envoyés ministre ou inter nonce, également accrédités auprès des chefs d’État. La dernière classe est celle des chargés d’affaires qui sont ceux accrédités auprès du ministre des

jeunes sont parvenus au stade Félix Eboué. Ceux de l’axe nord de Brazzaville se retrouvaient à Sainte Marie de Ouenzé ; au centre de Brazzaville, à Saint Esprit de Moungali, au sud de Brazzaville, à la place de la Mairie Centrale et à la Nonciature apostolique, des personnes vivant avec handicaps. Libérant son homélie, Mgr Anatole Milandou s’est appuyé sur la vie de Jean Paul II, en invitant les jeunes à suivre ce grand pasteur qui sera bientôt bienheureux. «  Vous êtes venus nombreux de toutes les

était son Excellence Mgr Ligondé. Il était très critique envers son ancien clerc. Père Aristide, par sa candidature soulevait déjà des contrecœurs au sein de l’Épiscopat. Les déclarations faites par l’Archevêque et l’accréditation du Nonce Apostolique à l’époque sous le gouvernement de De Facto justifient le support de l’Église locale et la Nonciature dans le coup d’état d’Aristide. Pourtant Le St Siege avait une position contraire. On constate un revirement de la hiérarchie catholique par

volets : suite à la réforme de 1983, le Codex Iuris Canonici (CIC)[ii] s’est enrichi d’un autre code, destiné celui-là aux Églises orientales : le Codex Canonum Ecclesiarum Orientalium (CCEO), promulgué en 1990[iii] (on pourra lire la Constitution Apostolique « Les Canons Sacrés » de Jean-Paul II, en introduction au Code des Églises orientales, pour un historique détaillé de ce Code). Pour comprendre la nécessité du CIC, il convient d’abord de le situer dans le cadre de l’Église en tant qu’institution

catholique, parce qu'elle affirme avoir conservé la succession apostolique, et réformée parce qu'elle a adhéré aux principes nouveaux de la réforme protestante. De fait, l'Église anglicane ne se considère pas comme protestante, mais plutôt comme une Église catholique non romaine. Toutefois, l'Église catholique ne lui reconnaît pas cette qualité : l'encyclique Apostolicae Curae publiée par le pape Léon XIII déclare ainsi que la succession apostolique ne perdure pas au sein de l'Église anglicane et conteste

les Douze, " leur donna la forme d’un collège, c’est-à-dire d’un groupe stable, et mit à leur tête Pierre, choisi parmi eux " (LG 19). " De même que S. Pierre et les autres apôtres constituent, de par l’institution du Seigneur, un seul collège apostolique, semblablement le Pontife romain, successeur de Pierre et les évêques, successeurs des apôtres, forment entre eux un tout " (LG 22 ; cf. ⇒ CIC, can. 330). 881 Le Seigneur a fait du seul Simon, auquel Il donna le nom de Pierre, la pierre de son