Existe T Il De Mauvais Désirs

échange leur force de travail contre un rendu n'ayant aucun rapport : un salaire (faible) DE NOS JOURS le travail alienant L'homme ne travaille plus dans le but de satisfaire un besoin premier. Son travail lui sert la plupart du temps à assouvir ses désirs superflu et à gagner en confort. Aujourd'hui le travail dans le modèle capitaliste/libérale a un souci de profit/de Rentabilité l'homme doit être efficace, être rentable, faire du gain, S'il ne remplit pas ses objectifs il est licencié → l'individu

éduqués à être de bonnes personnes, et les bonnes personnes, ne peuvent que faire le Bien, n'ont pas le droit de se défendre, ne peuvent pas contester. Donc il faut être faible pour obéir aux lois de divines. Il faut faire abnégation de ses besoins, désirs, de sa propre personne pour le bien de notre âme pour le bien des autres. Mais si le faible pardonne et aide les autres et est souvent celui, qui se fait abuser soit par les autres, soit par les prêtres, vaut-t-il mieux être faible et ou forts??

jalousie est le signe d’un manque de confiance en soi, on ne se sent pas capable de garder l’être aimé mais c’est aussi un manque de confiance dans l’autre: on est plein de soupçons ; on épie, on échafaude des tas de théories où l’autre a toujours le mauvais rôle, on peut glisser vers la paranoïa avec des scènes plus ou moins violentes et même, dans les cas extrême, jusqu’au meurtre. Ce qu'on fait à partir de la jalousie peut être malsain. Lorsqu'elle est très intense, elle génère beaucoup d'agressivité

comprendre cela, Freud utilise l’exemple du « mot d’esprit » : dans la vie courante, nous connaissons des cas semblables d’expressions acceptables qui masquent une injure ou un mépris (exemple page 33 des commerçants et du tableau). - De même il existe des idées ou des fantasmes qui surgissent à la conscience mais qui demandent un effort d’analyse pour être compris (déguisement). - Freud rappelle la méthode qu’il suit : l’association libre : on laisse parler le malade en lui demandant de parler

l’Etre de chaque chose soit dans cette chose. » Aristote est Réaliste : Il y a un retour aux choses concrètes. Il créa le lycée. «  La vie est courte et ennuyeuse : elle se passe toute à désirer […] Un temps arrive qui nous surprend encore dans les désirs, on en est là quand la fièvre nous saisit et nous éteint ; et si l’un eût guéri, ce n’était que pour désirer plus longtemps. » La Bruyère, Les Caractères L’image de Platon : Le Tonneau des Danaïdes : « Le désir c’est un peu comme le tonneau des

pas être chômeur … En effet aujourd’hui nous travaillons également pour répondre à nos désirs. On veut plus de richesse afin d’augmenter nos propriétés, d’avoir le dernier téléphone sorti sur le marché, une belle voiture … car dans les sociétés ou règne l’échange, la richesse se réduit aux objets que l’on possède ou à leur valeur monétaire. L’Homme a évolué de manière à ce qu’il ressente de plus en plus de désirs, le travail est donc un moyen d’y subvenir. En effet, il peut ressentir un désir d’intégration

cela est à savoir. Seulement il faut éviter ici plusieurs erreurs que fonde le terme d’inconscient. La plus grave de ces erreurs est de croire que l’inconscient est un autre Moi ; un Moi qui a ses préjugés, ses passions et ses ruse, une sorte de mauvais ange, diabolique et conseiller. ». Pour Alain l’hypothèse de Freud est une illusion car tout ce qui est inconscient doit être ramené aux mouvements du corps. Croire en l’inconscient revient à se tromper sur soi même, et chercher des excuses pour nos

l'immédiat, etc., est toujours libératrice; n'est-elle pas paradoxalement créatrice de nouvelles chaînes ? se libérer du naturel, du spontané, de l'immédiat, c'est libérateur et créateur d'humanité, mais n'est-ce pas parfois aliénant de ne plus pouvoir exister de manière spontanée ? -c'est ici au fond s'interroger sur les vertus ou non de la réflexion philosophique : à force de trop prendre conscience n'accède-t-on pas à la folie ? Plan possible : I- La prise de conscience est libératrice car qui dit

Stoïciens s'accordent sur ce point : seule une vie juste et droite peut nous faire accéder au bonheur véritable, c'est-à-dire durable. Pour les Épicuriens, si le plaisir est essentiel au bonheur, certains désirs amènent plus de troubles que de réjouissances : il faudra les écarter, et se contenter des désirs naturels et nécessaires, parce qu'ils sont source de plaisir et faciles à satisfaire. Pour les Stoïciens, le bonheur ne saurait être durable s'il dépend des circonstances extérieures : je dois discipliner

Pourquoi vivre en démocratie ?« La démocratie est un mauvais système, mais elle est le moins mauvais de tous les systèmes. » annonce Winston Churchill en 1940 devant la chambre des députés britanniques. C’est dans un contexte de guerre que Churchill cherche à trouver des solutions pour son peuple. A première vue il semble que la démocratie semble être un régime idéal puisqu’elle invite le peuple à participer à la souveraineté en étant à l’origine du pouvoir politique auquel il se soumet. Ainsi la