Existe T Il Des Valeurs Universelles

plutôt qu’au mal et à l’indifférence. Or, l’idée de bien n’est pas nécessairement compatible avec l’idéal du bonheur et le conflit paraît inévitable entre les deux. La morale visera donc à les harmoniser. La morale pose un idéal de l’esprit, qui est universel ; et le bonheur pose un idéal de l’imagination, qui est particulier. En effet, c’est un être qui est heureux, qui a son histoire et sa vie. Avec le bonheur ce n’est pas la forme (l’universel) qui dirige l’action mais bien la matière (les objets)

V) Conclusion Morale : ensemble de valeurs collectives. Ordonne / Commande / Oblige L’éthique : conseil / suggère/ propose. Cours du 30/09/09 : « La morale est collective ». Il est donc impossible d’être amorale (qui est étranger à la morale, qui ne l’attaque ni ne la défend, qui se place en dehors d’elle), mais c’est possible d’être immorale (qui contraire à la morale.). « Le Bien est --- Le mal c’est l’absence de bien » Il existe des interprétations de la morale mais la

raison universelle, c’est a dire valable pour tous, partagée de manière identique par tous les hommes. Il distingue alors le fait de consulter la raison et d’avoir ses raisons afin de montrer que seule la raison universelle fait de nous des êtres raisonnables et des êtres capables d’atteindre la vérité. C'est donc un texte qui produit l'existence : – une raison universelle – une morale universelle susceptible de transcender toutes les positions particulières. a)cette raison universelle se vérifie

abondantes et la mort de nombreux hommes. Nous pouvons prendre aussi comme exemple, les guerres de religions, notamment avec les groupes extrémistes, tel qu’Al-Qaïda, ou les guerres d’idées telles que la guerre d’Irak, où les valeurs occidentales sont en grand conflit avec les valeurs orientales. On peut donc voir que la culture et l’humanité semblent être un des grands points de discorde entre les civilisations. Par conséquent nous pouvons dire que dans le monde cosmopolite, dans lequel nous vivons

SOCIOLOGIE Raymond BOUDON Le Sens des Valeurs Année scolaire 2011/2012 SOMMAIRE Introduction Partie 1 : le contexte l'oeuvre de boudon, vision, demarche I Pourquoi nous nous sommes nteressés a l'ouvrage ? II Un changement de ses conceptions vis à a vis de ses théories ( individualisme methodologique + cognitive) III Problème theorique : comment certains individus en apparence croit en quelque chose qui semble invraisemblable pour d'autres ? Partie 2 : Analyse de

», est ce que vient avant. Le contraire de ce mot latin est « a posteriori » soit ce qui vient après. D’un point de vue juridique, le fondement est une valeur sur lequel repose un système juridique ou bien encore une institution. Un fondement est donc un ensemble de valeurs qui justifie à juste titre son essence, et non une action. Le statisme, quant à lui est l’État de ce qui est statique, qui n’évolue pas, il est possible de le mettre en opposition à l’évolution

« Le Contexte historiquede la Déclaration universelle des droits de l’homme »par Serge Bernstein, Professeur à l’Institut d’Études Politiques de Paris Le 10 décembre 1948, les 56 pays membres de l'Assemblée générale de la toute jeune Organisation des Nations Unies , qui est née en 1945, adoptent par 48 voix et 8 abstentions une Déclaration universelle des droits de l'homme qui fait figure de charte morale du monde nouveau que l' Organisation des Nations Unies vise à mettre en place. La seconde guerre

raisonnable des forêts pour en permettre un usage par les générations suivantes. . - En 1987, le rapport Bruntland a permis de définir la base universelle du développement durable, en le définissant comme le « mode de développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs » . - Cette base universelle devait servir par la suite à la mise en place d’une stratégie applicable aux économies développées autant qu’aux économies en voie de développement

Depuis sa création, l’homme a réalisé qu’il avait besoin d’une certaine autorité le gouvernant pour mener une vie « bonne ». Or il existe des autorités différentes selon chaque pays. Mais existe-t-il une justice universelle pour tout le monde ? Ce texte, écrit par Platon (427-347 avant J.-C.), est un dialogue entre Calliclès et Socrate qui a pour thème la justice en soi selon la pensée de Calliclès. Il pose la question suivante : la justice en soi doit-elle être liée aux lois de

et de s’en inspirer. Mais par l’existence même de plusieurs sens, l’Homme se questionne sur l’importance des ces notions les unes par rapport aux autres. Car l’Homme a ce défaut de vouloir tout comparer, en commençant par lui-même ; le fait qu’il existe plusieurs sens à une même notion lui fait penser que l’un est maître sur un autre, qu’il est plus fort, plus important, plus grand. Aussi, une question marquante liée à la culture est de savoir ce qu’est une grande culture. A travers cette question