Existe T Il Des Valeurs Universelles

vaudrait la loi, si elle se réduisait à une simple convention ? N’y a-t-il de lois que positives ? Le juste et l’injuste ne sont-ils donc que des valeurs « d’établissement », selon l’expression de Pascal ? La question nous confronte, semble-t-il, à un dilemme. Peut-on vraiment, à propos du juste et de l’injuste, parler de conventions, d’institutions, de valeurs simplement établies par les hommes, sans tomber dans l’arbitraire et le relativisme ? Mais, inversement, peut-on parler de « lois non écrites

que des valeurs ne sont pas les mêmes d’une culture à une autre et cette reconnaissance consiste alors à affirmer que toutes les valeurs ne sont pas identiques. Cela semble alors s’opposer à l’affirmation de l’existence de valeurs universelles qui revient à soutenir que ce ne sont pas les différences culturelles qui font les valeurs mais que ces valeurs sont reconnues indépendamment de ces différences. Tel est le sens ici de la notion d’universalité. Ainsi, on peut reconnaître que les valeurs diffèrent

y a pas de vérité sans accord entre les esprits. La certitude corrompt dangereusement ce critère fondamental de vérité. Celui qui est « sûr »rend la vérité impossible. Il met en péril la raison universelle. Or, les certitudes ne sont pas des démonstrations. Elles n’ont pas besoin de preuves pour exister. Elles puisent leur force dans un sentiment intérieur assez intense pour leur donner l’apparence de la vérité. Ici se pose un problème conceptuel : le doute n'est-il pas préférable à la certitude

nom de « culture »  n’a pas un contenu universel. Il existe des cultures, des peuples…Tout cela ne se présente que sous l’aspect de la diversité et de la multiplicité. Cet animal culturel qu’est l’homme a toutefois une autre propriété : il se soucie de la vérité. Personne en effet, n’aime être dupé, personne n’apprécie volontairement de faire des erreurs ni d’être ignorant. De même, la stabilité d’une société repose sur ce qu’elle croit vrai, sur les valeurs qu’elle érige en vérités. La vérité, le

Devoir Maison de Philosophie 1) Il est nécessaire d'avoir une raison universelle qui m'éclaire car il est important que chaque être humain est à peu près la même notion du bien et du mal, les mêmes valeurs et les mêmes principes. Nécessaire dans cette phrase signifie vital, indispensable car une personne n’ayant pas une raison universelle aurai d’autres valeurs, d’autres principes tels qu’il est noté dans le texte avec l’exemple du cheval et du cocher.2) L'exemple des Chinois symbolise que malgré

droit de vote ( cela dépend des pays), mais dans la majorité des cas c'est un droit qui est reconnu a tous; Alors une fois qu'on a le droit de vote comment peut-on voter? C'est toute la question de l'opposition suffrage universel et suffrage restreint. A. SUFFRAGE UNIVERSEL OU RESTREINT 1. SUFFRAGE RESTREINT Le suffrage est restreint lorsque les électeurs sont sélectionné en fonction de critères qui sont extrèmement direct, ce type de suffrage n'a en principe qu'un intéret historique en France

partie la mesure des valeurs, dans une seconde le moyen de circulation, et enfin dans la troisième partie, il sera question de la monnaie et de l’argent. 1ère PARTIE : MESURE DES VALEURS Dans cette première partie, Marx nous expose la mesure des valeurs, avec comme monnaie idéale l’or. Il nous informe des principales fonctions de l’or, pour mieux l’envisager sous l’angle de mesure. Pour lui, la première fonction de l’or est d’être une mesure universelles des valeurs, c'est-à-dire qu’il est

psychanalyse. Il étendit le domaine d’investigation psychanalytique à l’art, à l’ethnologie et à l’histoire des civilisations. Dans ce texte Freud étudie le problème suivant : comment la religion raisonne-t-elle ? Quelle est la valeur argumentative de la foi ? Existe-il une obligation fondée sur la croyance religieuse ? Dès lors le fonctionnement de la religion repose-t-il sur des choses fondées ? La foi est-elle un argument s’appuyant sur la vérité ? Sommes-nous obligés d’avoir la foi ou la

ce cas il est sans exception car tout devoir est absolu) ou si, au contraire, il est parfois moral de ne pas dire. La question est celle de la véracité. Faut-il toujours être vérace ou a-t-on parfois le droit de s'abstenir et alors quand ce droit existe-t-il ? Présupposé de la question Ici il n'y en a pas. Réponse spontanée Le mensonge par omission est un mensonge. Spontanément nous le condamnons. La réponse spontanée est donc négative. Plan rédigé Introduction. Toute une tradition

comme moi? Certes, l'autre est une conscience, un moi ; seulement, en rester au principe "c'est un moi" suffit-il à me faire connaître l'autre? Dans la coexistence de la vigilance, je rencontre un être singulier, Pierre, pas une idée abstraite universelle le "moi". Connaître l'autre n'est-ce pas le rencontrer dans sa singularité, dans sa différence? Or, si je connais le moi à partir de "mon" moi, ma vision de l'autre ne sera que la réplique de ce que je connais comme mien, et ma connaissance n'atteindra