Existe T Il Une Juste Violence

misérable de l’homme à l’état de nature (quand les hommes ne sont pas soumis à un pouvoir commun). Ce texte trouve place après la démonstration par Hobbes de l’égalité naturelle (qui ouvre le chapitre) ; égalité naturelle dont découlent les causes de la violence généralisée entre les hommes. Objet Le texte qui nous intéresse a pour objet la définition et la description de la GUERRE qui caractérise l’état de nature, qui n’est pas associée à une prétendue méchanceté naturelle des hommes, ni à proprement parler

ont pu être résolus grâce à des solutions réglées mais dans d’autres cas, ces conflits aboutissent à des conflits majeurs appelés « guerres ». On connaît l’histoire des guerres du monde, mais dans ce dossier on s’intéressera à la notion de « guerre juste » attribuée à beaucoup de ces guerres. Cette guerre est acceptée par la société car elle a des raisons morales. C’est le cas par exemple des guerres religieuses (les croisades), menées par l’église catholique pour lutter contre les hérétiques (non

passion. Tandis que la justice est loi, la vengeance est désir. D’un côté, la justice est une institution : elle est garante de l’Egalité, de l’Equité et de la Liberté. Elle est la norme du droit. Selon Aristote, dans son Ethique à Nomarque, « Le juste est ce qui est conforme à la loi et ce qui respecte l’égalité ; et l’injuste est ce qui est contraire à la loi et qui manque d’égalité. ». D’après cette approche, nous pouvons répondre que la vengeance est injuste, dans la mesure où elle n’est pas

Punir, du latin punire, signifie châtier pour un acte délictueux ; pour une faute . La notion "droit de punir" renferme donc un aspect double. Tout d'abord, l'idée qu'il existe une punition qualifiable de légitime, puisqu'elle est exercée dans le registre du droit, i.e. de ce qui est juste. Cependant, ce droit n'est détenu que par un individu : l'Etat, en sa qualité d'autorité souveraine. Il convient donc de se demander comment fonder l'idée d'un "mal" punissable, et surtout pourquoi l'autorité étatique

* le glaive : courte épée , symbole de la force et de la violence . la regle de droit est obligatore et assortie d'une sanction * la balace : instrument de mesure , symbole de la justice car ke terme " juste" designe l'harminoe et l'équilibre . * Le bandeau : véhicule une idéé d'impartialtée , la justice ne sera pas influencer ou sujette des pressions . Le droit tend a etre un instrument de contrainte au service de ce qui est juste , sans contrainte le droit ne peut atteindre son idéal . sans

plus raisonnable et plus juste possible. Cependant, seul « L’État dispose du monopole de la violence légitime », selon Max Weber, une violence qui doit donc être légitime et au service du bon fonctionnement de la société, pour que l’État remplisse sa mission principale. Mais dans ce cas là nous pouvons nous demander si l’État et toujours pacifique et raisonnable, et si il respect toujours les libertés de chacun et le bon fonctionnement de la société. En effet, il existe un régime politique qui tends

discrimination est un comportement défavorable envers les membres d’un groupe donné. Le préjugé est une attitude souvent négative à 95% envers les membres d’un groupe donné. La théorie de l’identité sociale postule le biais de favoritisme pro-endogroupe. Il existe des modèles individualistes d’explications : « la personnalité autoritaire ». Adorno, Frenkel-Brunswik, Levinson et Stanford (1950) : la personnalité serait influencée par les modèles éducatifs familiaux  une éducation autoritaire favoriserait le

interrogation est aussi vieille que la civilisation même car depuis l'Antiquité les philosophes, les politiques (etc.) se sont toujours interrogés sur les fonctions du Droit. Méthode Socratique (relatif à la maïeutique socratique) : Pourquoi le Droit existe dans toutes les sociétés humaines ? A quoi sert le Droit ? Quelle est sa fonction ? Quelles sont les finalités du Droit ? 1- D'un point de vue historique, aussi loin que l'on remonte nous pouvons dégager un constat : celui de la permanence de

Chapitre 1 : La Formation du contrat Introduction : Nous allons étudier le contrat qui est l’acte juridique le plus répandu. Il est défini à l’article 1101, plus simplement, le contrat est une convention génératrice d’obligation. Il existe une multitude de contrats que nous allons tenter de classer (séance 1 classification des contrats). Nous allons voir dans ce chapitre comment se forme valablement un contrat. On conclut des contrats quotidiennement, certains sont bref (achat baguette de pain)

concerne la question de l'organisation de la cité ainsi que celle du pouvoir qui en garantit le fonctionnement pacifique. Ces deux questions sont nécessairement liées à celle de l'usage légitime de la violence et de la domination pacificatrice, afin de préserver l'ordre public du risque de la violence privée et généralisée. Comme science théorique, la politique se définit plutôt comme la science de l’idéal ou de la doctrine à partir desquels le gouvernement doit régler son action. Ainsi, la politique