Exister Est Ce Seulement Vivre

bureau et ses fidèles. Seulement une religion ne doit pas être un motif d'enfermement, elle doit au contraire être une ouverture sur le monde, a supposer que le dogme détienne la vérité ou du moins une vérité sur le monde, ne peut on pas le remettre en question? En effet le dogme est entendu comme étant une vérité incontestable et par extension dans une religion une vérité incontestable dans laquelle on a foi. Seulement il est légitime alors de poser une hypothèse: peut il exister une religion sans dogme

Sujet de Philosophie : Faut-il vivre pour le plaisir ? Définitions : Falloir (=devoir, nécessiter):  *Être nécessaire, être obligatoire, être dicté par le devoir. *Faire besoin (le sens étymologique de falloir étant manquer). Ex : Il lui fallait cent francs. Que vous faut-il encore ? J'ai le cheval qu'il vous faut. Vivre : *Exister, être en vie. *Se développer, subsister (=continuer d'être, d'exister, se maintenir (=il signifie

qu’apporte le temps subjectif et finalement on verra la question religieuse. 1) La tragédie de l’écoulement du temps La question posée demande premièrement de définir le temps. On peut donc remarquer qu’une définition classique du temps existe déjà: Le temps est un écoulement irréversible, successif et continu d’instants. Si on admet cette définition on accepte que la réponse à notre question soit positive : le temps est un écoulement. En plus on trouve une définition pour le « ce »

Cette maladie s’appelait « la dépression ». Elle avait une telle envie de vivre que je n’ai pas compris le geste qu’elle avait commis. Je savais qu’un an auparavant elle avait attenté à sa vie et qu’elle avait pu ainsi être hospitalisée dans un établissement psychiatrique, où elle fut très bien suivie. Cependant elle ne pu en guérir. Elle disait très souvent qu’elle n’arrivait pas à dormir tellement elle était pressée de vivre la journée de demain. C’est vrai que dans mes souvenirs je n’ai que des

arrive lorsqu’une personne ne peut satisfaire ses besoins les plus élémentaires, les plus simples, les plus nécessaires, que sont la communication, l’attachement et l’affection". C’est n’être rien pour autrui et poussé à l’extrême, c’est ne plus exister. Et parce qu’il faut du courage pour examiner ce sentiment dans notre vie, c’est trop souvent un sentiment que nous passons sous silence, un compagnon que nous ignorons ou du moins que nous voulons ignorer, que nous réprimons et que nous cherchons

Lorsque Brigitte Boréale prit cette décision, il fut le seul en mesure de décider comment aller être son avenir : soit mener une vie qui ne lui correspondait point ou vivre pleinement sa vie sans se soucier du regard des autres. Ainsi en effectuant ce choix, il a décider de son future et donc, il est devenue l’auteur de sa vie.

se divertissant, se détourne de questions telles que la mort et la misère de sa vie. Ces divertissements sont des choses futiles qui n'apportent pas le bonheur, on peut se demander si Pascal n’a pas tranché trop hâtivement sur ce sujet, peut être existe t’il des divertissements ayant un but propre ? Pourquoi cherchons nous à fuir l’idée de notre condition ? N'y a t'il pas un moyen de l’accepter au lieu de passer sa vie à essayer de l'oublier ? Pascal se place en observateur de genre humain, de

définit le vivant en tant que tel, son principe de vie (à cet égard, le De anima est un traité de biologie générale). Le phénomène « psychique », autrement dit, est le phénomène de la vie dans toutes ses occurences, de la plante au dieu, et non pas seulement la manifestation d’actes mentaux ou intellectuels strictement réservés à l’être humain. C’est le vivant comme vivant qu’il s’agit d’abord d’expliquer. Et c’est en tant qu’elle est constitutive de la vie qu’Aristote considère la psuchè. L’âme n’est

quelque chose dont on a envie mais qui ne nous serait pas nécessaire pour vivre, est en fait une condition au bonheur. Les désirs empêchent-ils d’être heureux ? Ou bien, au contraire, doit-on réaliser certains désirs pour être heureux ? Est-ce une obligation de renoncer à nos désirs pour atteindre le bonheur ou bien peut-on l’atteindre en réalisant ou pas nos désirs selon des choix personnels et singuliers ? Mais peut-on seulement vivre sans désirer ? Toutes ces questions posent un problème assez clair

Le romancier authentique crée ses personnages avec les directions infinies de sa vie possible, le romancier factice les crée avec la ligne unique de sa vie réelle. Le vrai roman est comme une autobiographie du possible, le génie du roman nous fait vivre le possible, il ne fait pas revivre le réel.". Le personnage romanesque va souvent se voir attribuer des caractéristiques particulières comme un destin exceptionnel ou une personnalité hors du commun ce qui va susciter chez le lecteur l'envie de s'y