Explication De Texte Spinoza Pensées Métaphysiques

Ce texte est extrait de la Hiérarchie Céleste écrit par Denys l’Aréopagite, de tradition néoplatonicienne, qui a pour thème une interrogation sur l’origine des choses, avec cette idée d’un tout organisé, hiérarchisé, dont la raison peut plus ou moins déterminer l’ordre. D’ailleurs, toutes les religions et toutes les mythologies ont raconté la naissance du cosmos en tant que monde ordonné et déterminé par une puissance, quelle qu'elle soit, organisatrice et toute-puissante. Le récit de la mise en

rien d’irréel. Ce jeu de double négation est présenté par Sartre dans L’imaginaire. Mais déjà au XVIIeme siècle Spinoza le mettait en évidence lorsqu’il écrivait dans l’Ethique : « …l’esprit imagine toujours les choses comme lui étant toujours présentes, bien qu’elles n’existent pas, à moins qu’il n’arrive des causes qui excluent leur existence présente » 1. En d’autres termes Spinoza semble vouloir dire que celui qui imagine un être de fiction a bien cette chose à l’esprit. Il sait qu’elle n’existe

philosophique, c’est-à-dire un exercice de questionnement, une construction visible de la pensée. Il part du principe que philosopher est un acte on ne peut plus naturel, même si de nombreux obstacles entravent ce processus – des habitudes déjà bien ancrées, induisant une certaine complaisance, qui nous font prendre pour acquises et certaines des opinions glanées ici ou là : à la télévision, à la maison, voire dans un cours. Pensées toutes faites qu’il ne vous viendrait plus à l’idée d’interroger, ne serait-ce

morale du terme → la faculté de distinguer le bien du mal et d'agir en fonction de cette distinction. (=en anglais=conscience) La conscience au sens psychologique de manière général, c'est la connaissance qu'a un être humain de ses actes, de ses pensées, de ses sentiments et du monde c'est d'ailleurs le sens étymologique du terme « cum-scientia » avec science, connaissance. 1ère colonne → La conscience immédiate ou spontanée (Action/réaction) (= awarcness) qui désigne la simple présence à soi d'un

de la deuxième colonne sont elles-mêmes susceptibles d’être abordées sur plusieurs registres : ainsi pour les échanges, pour l’expérience, ou pour la raison et la croyance, titre auquel pourront être abordées des questions d’épistémologie et de métaphysique aussi bien que les divers aspects du « fait religieux ». La mise en correspondance des notions de la deuxième colonne avec celles de la première et la présentation de certaines notions en couple n’impliquent aucune orientation doctrinale ; elles

raison et le réel. Le tome 2 porte sur La raison et le réel : la connaissance (le savoir et les savoirs). Le tome 3 porte sur La raison et le réel : la pratique (morale et politique). Le tome 4 comporte les œuvres étudiées : - les Méditations métaphysiques I et II de Descartes ; - le livre I du Contrat social de Rousseau ; - la conférence de Bergson : « La Conscience et la Vie », dans l’Énergie spirituelle Vous trouverez souvent, au début ou à la fin des cours, leçons ou études d’œuvre, le plan

INTRODUCTION On appelle philosophie moderne la pensée qui, en Occident, s'étend sur ce que les historiens appellent l'époque moderne (1492-1789), incluant une partie de la Renaissance, le  XVIIe  siècle, et le siècle des Lumières. La philosophie moderne est, d'une part, l'héritière de la pensée antique en bien des points. Les penseurs de l'époque moderne comme  Platon,  Descartes, Leibniz ou Hume, sont en effet loin d'avoir rompu tout lien avec la philosophie des Anciens. Ils les connaissaient

.......................... 3 1. Le collège. Les premiers écrits. Le rêve d’une science universelle et l’idée de méthode. ..................................13 2. L’œuvre scientifique ................................................ 38 3. La métaphysique ..................................................... 74 4. Les vérités mathématiques, le monde et l’homme 128 5. Les dernières années. La doctrine de la liberté, la théorie des passions, la morale. L’humanisme cartésien. .................

le socle de l’attitude religieuse ? Le texte de Freud présente la curiosité d’évoquer un autre auteur, pour ouvrir une discussion ; nous voyons là une pensée en acte, une pensée qui se nourrit de celle de l’autre. On le verra rapidement, l’intérêt du texte, mais aussi son enjeu, consiste à penser la religiosité comme attitude, avant de penser la religion comme ensemble de règles, de croyances, d’interdits ou de commandements. Une première partie du texte (l. 1 à 4), restitue la discussion entre

Spinoza TTP 2013. INTRODUCTION GÉNÉRALE. biographie (à vous de faire, on a déjà vu pas mal de choses sur Spinoza). Rappel : 1. le sujet : l’illusion du libre-arbitre (Descartes vs Spinoza) 2. Corrigé rédigé et donné : La liberté n’est-elle qu’une illusion ? 3. Envoi d’un dossier sur L’Appendice du Livre I de L’Éthique. I. LA FINITUDE INHÉRENTE A LA NATURE HUMAINE COMME POINT DE DÉPART. Ontologie (la nature c’est dieu, et tout est en dieu qui est tout y compris l’homme qui