Expose Conflit Des Passions Dans Antigone

dérèglements du sexe, jeux d’argent, avec toujours de bons motifs. Ils ne dégradent pas seulement le corps, ils détruisent l’homme tout entier, et même « la vie, dont l’amour paraît si fort et si naturel » (Pascal, 29). « Les ennemis de l’homme sont ses passions » (270). Plaisir sur le moment, ensuite amertume et confusion du ridicule. On dit : il faut que jeunesse vive sa vie, prétexte à n’importe quelle expérience, parfois destructrice. Grande tristesse de voir des personnes brillantes, pleines d’avenir

dits " arts de seconde rhétorique ", se fixent d'ailleurs aux XIVe et XVe siècles la poésie comme sujet de réflexion. | Les XIVe et XVe siècles sont également le temps des recueils, dans lesquels le poète dispose son œuvre, en fixe l'ordonnance, expose parfois sa conception de l'art poétique dans un prologue. La chanson courtoise est délaissée au profit de genres poétiques à forme fixe. Guillaume de Machaut donne enfin au dit, forme plus souple qui existait dès le XIIIe siècle, une impulsion nouvelle

développement de cette force universelle qui est l’objet des représentations de l’art. Sans doute elle apparaît aussi dans le monde réel, mais confondue avec le chaos des intérêts particuliers et des circonstances passagères, mêlée à l’arbitraire des passions et des volontés individuelles. L’art dégage la vérité des formes illusoires et mensongères de ce monde imparfait et grossier, pour la revêtir d’une forme plus élevée et plus pure, créée par l’esprit lui-même. Ainsi, bien loin d’être de simples apparences

Saint-Barthélemy (1572). de trouvailles diverses, il y met en scène des géants à l’appétit démesuré, pour la nourriture et le sexe autant que pour la culture et la réflexion critique ; aux prises avec la société de l’époque, ses guerres et ses conflits, ces héros associent l’obscénité et le grotesque aux idées humanistes. L’« humanisme » : une étiquette a posteriori Le terme humanisme ne désigne pas spécifiquement la pensée du xvie siècle. Créé en 1765 en plein siècle des Lumières, il signifie

développement de cette force universelle qui est l’objet des représentations de l’art. Sans doute elle apparaît aussi dans le monde réel, mais confondue avec le chaos des intérêts particuliers et des circonstances passagères, mêlée à l’arbitraire des passions et des volontés individuelles. L’art dégage la vérité des formes illusoires et mensongères de ce monde imparfait et grossier, pour la revêtir d’une forme plus élevée et plus pure, créée par l’esprit lui-même. Ainsi, bien loin d’être de simples apparences

on a de butins, plus on a de pouvoir, plus on a de pouvoir, plus on est reconnu des autres. C’est son erreur qui provoque la crise dans laquelle va se dessiner l’Iliade. Car c’est parce qu’il a pris Briséïs, la captive d’Achille, qu’il provoque le conflit. C’est un bon stratège, soucieux des hommes, endurant à la souffrance quand il est blessé. C’est un homme avec ses défauts et des qualités mais c’est un chef de valeur. - Ménélas : Il pourrait être ridicule puisqu’il est le cocu de service. Il

également les lois mais par simple acclamation. La plupart de ces sociétés connaissent une crise sociale conclut par une période de tyrannie qui a rétablie un équilibre entre les différentes forces sociales. Ces crises ont pour origines un conflit qui opposait l’aristocratie et la bourgeoisie naissante. Dans ces cités grecques, il y a eut toute une série de réformes : 1. Les purges (à l’origine des réformes de Spartes, Dracon 621 et Solon 594-591 av. J-C) 2. Nomos (Nomoï = lois fondamentales

de la cité.   Les Grecs ont affirmé les premiers la dignité de la personne humaine, en inventant la notion du droit naturel (lois inscrites dans csce au nom desquelles on peut faire objection de csce = lois non écrites) que l’on retrouve dans Antigone.   Inversement, les Grecs ont connu l’attitude du respect de la loi, allant jusqu’au sacrifice de la vie, mm si la loi est injuste (cf. Socrate).   Les Grecs sont des grands scientifiques : géométrie (Pythagore, Thalès, Euclide), médecine (Hippocrate)

Section II. Les institutions de l’église : la tentation diabolique de la théocratie pontificale 284 Paragraphe 1. La libération de l’église de la féodalité : la réforme grégorienne 285 Paragraphe 2. Le conflit entre le pape et l’empereur ( 1074-1250 ) 287 Paragraphe 3. Le conflit entre le pape et le roi de France ( 1288-1305 ) 291 Paragraphe 4. Les nouvelles relations de l’Eglise et des Etats 2 Section III. Les institutions municipales 2 Paragraphe 1. Les

la part de Socrate : il affirme la dignité des lois. Si les lois sont respectables, il faut qu’elles soient conformes à un droit idéal. 1) Les lois soumises à des règles supérieures Exprimés de manière remarquable dans une tragédie de Sophocle (Antigone). Elle a dû obéir à des lois supérieures, éternelles, divines… Question étudiée par Socrate et Platon. Les lois éduquent le citoyen, elles font régner la vertu et la justice mais doivent être conforme à la raison. Les philosophes devraient donc normalement