Expose Les Salaire

Le chômage frictionnel, (ou chômage de mobilité,chomage naturel): les travailleurs employés sont en permanente mobilité. À tout moment, des individus quittent leur emploi pour changer d'entreprise, de région, de poste, de conditions de travail, de salaire. À la mobilité entre les différents emplois s’ajoutent les périodes de mobilité entre activité et inactivité. 2. Le chômage conjoncturel est lié à l’évolution régressive de l’économie, au ralentissement de l’activité. La trajectoire du PIB détermine

travail est une marchandise comme un autre, échangée sur le marché comme une autre. C’est donc le salaire qui joue le rôle de variable d’ajustement, dont les mouvements assurent le retour au plein emploi. Dans ces conditions, le marché du travail revient toujours à l’équilibre, et il n’y a pas de chômage involontaire. Les travailleurs sans emploi sont ceux qui ne veulent pas travailler au salaire en vigueur. Mais dans les économies modernes, le chômage est plutôt involontaire. Il y aurait tout

01/06 ; DM 01/07 Voir corrigé officiel + annales Nathan 2004 Etude du sujet : Lien coût du travail et chômage des travailleurs peu qualifiés : 2 termes clés à définir Déf chômage : cf cours déf BIT Coût du travail : salaire brut + charges sociales patronales : donc salaire net + les cotisations pour la sécu (le coin fiscal) Permet-elle : sujet fermé : ne porter l’analyse que sur ce lien et pas autres causes ou autres effets : tout ramener à effet réduction coût travail sur baisse du chômage

force de travail contre une rétribution (salaire). 19ème siècle: _ révolution industrielle: nouvelle source énergétique (pétrole) nouvel enjeu majeur dans le monde ouvrier: la sidérurgie. _profond changement social dans le mouvement ouvrier: mode de vie, condition de travail, implication politique, ... évolution = changement dans certains domaines, éco, social et politiques dans le monde ouvrier en Europe après la seconde révolution industrielle. Exposé centré sur les grandes puissances industrielles

Exposé sur les inégalités sociales La démocratisation de la société française n’a pas fait disparaître les inégalités dans tous les domaines. Certaines d’entre elles se sont perpétuées même si elles se sont souvent considérablement atténuées. L es inégalités sont des différences qui se traduisent par un avantage ou un désavantage. Pour autant, la question de leur légitimité fait toujours débat : Peut on concevoir une société sans inégalités ? Ne s’agit il pas de la conséquence inévitable

naturaliste de l’être humain. On peut affirmer qu’il est un naturaliste, car on lui doit la création du matérialisme historique et dialectique, donc il cherche avant tout de trouver des réponses réelles à ses hypothèses. Pour ce qui est de l’économie, Marx expose une thèse concernant le rapport entre la vie économique et la vie des sociétés. Cette thèse se résume en disant que le mode de production engage les individus dans des rapports sociaux qu’ils n’ont pas choisis, que les forces et les rapports de production

pour la « déconfessionnalisation » du syndicat - minorité devient majoritaire en 1961 - 1964 : l'évolution vers un syndicalisme laïc se concrétise → la CFTC devient CFDT - emploi de qualité pour tous - emploi pour les jeunes - emploi des seniors - salaire, rémunération et pouvoir d'achat : encadrer les rémunérations individuelles par des accords collectifs, généraliser l'épargne salariale, ... - fonction publique : assurer la qualité du service public en  mettant en adéquation les besoins des usagers

de leur appartenance, ces groupes instaurent une hiérarchie. Par exemple, la “classe ouvrière”, dont il est question, se situe en bas dans l'échelle hiérarchique du fait du peu de responsabilité dont elle dispose, du manque de qualification et des salaires bas qui la caractérise. Pourquoi la classe ouvrière connaît-elle un déclin depuis les trente dernières années ? Y aurait-il l'émergence d'une nouvelle classe ? Dans un premier temps, nous constaterons et expliquerons donc le déclin de la “classe

conception du manuel en ce qui a trait aux rapports entre la langue et la pensée. Si on s’arrête uniquement à notre vie de tous les jours, il se peut que nous ayons des exemples démontrant le contraire, où il nous est impossible d’avoir les bons mots pour exposer notre point de vue. Pourtant, comme le manuel le présente, plus qu’un simple moyen d’exprimer sa pensée, le langage est en fait l’achèvement de la pensée, « ce qui lui permet de se préciser et même de s’approfondir »1. Et ceci s’applique autant à

la gestion et des ressources humaines (politique salariale, classification, moyens de fidélisation, etc.). Dans la majorité des pays concernés, les salariés sont plus sensibles au salaire immédiat qu’au salaire différé (retraite, fidélisation). Les avantages annexes sont primordiaux dans certains cas, alors que le salaire de base demeure essentiel dans d’autres. Les titres et les grades peuvent revêtir une importance capitale ou secondaire. Pour apporter des solutions adaptées aux problèmes posés par