Expose Sur L Intégrisme Religieux

droit musulman de la famille et des successions à l’épreuve des ordres juridiques occidentaux, Publications de l’Institut suisse de droit comparé, Schulthess, Zürich, 1999, 353 pages. Ω Circoncision masculine — circoncision féminine : débat religieux, médical, social et juridique, L’Harmattan, Paris, 2001, 537 pages. Ω Cimetière musulman en Occident : normes juives, chrétiennes et musulmanes, L'Harmattan, Paris, 2002, 168 pages. Ω Les Musulmans en Occident entre droits et devoirs, L'Harmattan

indoeuropéenne d’origine orientale. Ainsi il a signifié « mettre sa confiance en qqn, en qqch », « confier qqch à qqn » d’où concrètement prêter (crédit) et « croire qqch, qqn ». Et c’est bien le christianisme qui va réattribuer au verbe son sens religieux premier, credo « je crois » traduisant alors le grec pisteuô et fides le grec pistis, de sorte qu’en pleine période romane (et cela mérite d’être souligné) fides s’est remis à servir de substantif à credere qui n’avait aucun dérivé pour remplir ce

étant responsable à l'égard de sa population. Cela signifie qu'il a la responsabilité de protéger sa population. S’il lui porte atteinte, on considère aujourd’hui qu’il perd sa souveraineté et peut alors être considéré comme défaillant et peut être exposé à des interventions de la communauté internationale. Ce concept s’intitule la « responsabilité de protéger » remplaçant le « droit d’ingérence humanitaire ». II. La reconnaissance internationale de l’Etat La reconnaissance est une

au vif et laisse percer ses vrais sentiments. Il se juge innocent et se voit condamné pour des motifs de divergence politique et religieuse avec le pouvoir. La rancœur est à peine déguisée contre le pouvoir royal et la justice, contre le pouvoir religieux suggéré par ces mots : «prêcher» - «mon fils» - «Saint-Paul» - «nos pères» - «mes frères». Les agents de ce pouvoir, tout en paraissant hypocritement doux et affables, traitent les gens comme des bêtes, sans égard pour eux. Ils sont les instruments

3 7 Configuration 1: Interdiction du Ribâ α > β, δ, λ, η Cette configuration qui accorde plus de poids au principe P1 (figure 4) est à la faveur de l'idée que: • la finance islamique est par essence une finance basée sur des principes religieux strictes dont les plus importants sont la prohibition de l'intérêt, de la spéculation et des activités illicites6. • du point de vue de la finance globale dominante, l'interdiction du ribâ constitue la principale différence entre la finance islamique

cura di), Cultura araba e società multietnica : per un’educazione inter- culturale, Torino : Edizioni Bollati Boringhieri, IRRSAE Piemonte, 1998, pp. 93-98 (voir p. 92). Pour une définition de l’“arabité”, voir JASSER, Ghaïss, “Voile qui dévoile intégrisme, sexisme et racisme”, Nouvelles Questions Féministes, vol. 25, n° 3, 2006, pp. 76-93. Pour une définition d’“être arabe”, voir MARDAM-BEY, Farouk ; SANBAR, Elias, Être arabe : entretiens avec Christophe Kantcheff, Arles : Éd. Sindbad-Actes Sud

rassemble les membres représentant l’Eglise. Place éminente car il y a un rôle important de la religion. Pilier de l’Etat monarchique, le sommet de la hiérarchie. La religion est une institution fondamentale. Le religieux de la politique ne font qu’un. La monarchie a un fondement religieux car elle est légitimée par l’église car le roi est considéré comme « l’élu de Dieu », « roi de droits divins », le pouvoir a donc une légitimité divine (cérémonie du sacre). L’église et le pouvoir sont alliés. Le

justice, de l'enseignement va déterminer un nouveau statut des Lettres à l'intérieur d'une nouvelle hiérarchie linguistique. En effet, si l'enseignement de l'arabe se maintient, c'est de façon rudimentaire. Il est plus ou moins confiné au rituel religieux. Et si la production littéraire, tant dans les langues populaires (arabe et berbère) qu'en arabe classique, se perpétue, c'est sous le signe de la résistance à la déculturation. Aussi le renouvellement des thèmes, plus sinon autant que celui des

rassemble les membres représentant l’Eglise. Place éminente car il y a un rôle important de la religion. Pilier de l’Etat monarchique, le sommet de la hiérarchie. La religion est une institution fondamentale. Le religieux de la politique ne font qu’un. La monarchie a un fondement religieux car elle est légitimée par l’église car le roi est considéré comme « l’élu de Dieu », « roi de droits divins », le pouvoir a donc une légitimité divine (cérémonie du sacre). L’église et le pouvoir sont alliés. Le

Clergé : premier ordre du royaume Le clergé est le premier ordre du royaume, il regroupe l’église qui est le premier ordre en dignité. L’église est une institution fondamentale, le pilier de l’état monarchique car à l’époque le politique et le religieux ne font qu’un. Ils sont étroitement mêlés. Le clergé est au sommet de cette société, le clergé matérialise l’alliance entre l’église catholique et la politique, ces deux domaines sont intimement imbriquées, et se complètent harmonieusement dans