Expose Sur Phedre

recurrents: _Antiquite : Chiron (Homme/Bete) Esope (Ésope est un précurseur de l'anti-héros, laid, méprisé, sans pouvoir initial, mais qui parvient à se tirer d'affaire par son habileté à déchiffrer les énigmes.)(grec) Phedre (inspire d'Esope) _Contemporain :Alexandre VI (Attirer l'attention du lecteur) Mieux convaincre II) Une lecon de realisme politique : a) Les princes et les hommes: Comparaison : Relation de domination justifier (le comportmement des

que l'on retrouve dans toute tragédie. Les analyses de Racine sur la passion amoureuse et ses tourments dans Phèdre par exemple, sont émouvantes par l'acuité de l'auteur. Un bon acteur retranscrit donc fidèlement la complexité du psychisme. Le théâtre, pour créer l'illusion, joue avec la mise en scène de conflits et de problématiques réels. L'illusion vient aussi du fait que le théâtre expose des problématiques sociales ou politiques inspirées directement du réel. L'acteur met alors son jeu au service

Exposé Andromaque fr Auteur : Illustre représentant de la tragédie classique, Jean Racine (1639-1699) est considéré, avec Molière et Corneille, comme l'un des plus grands dramaturges français. Orphelin dès son plus jeune âge, il est recueilli par ses grands-parents puis sa marraine, religieuse au couvent de Port-Royal. Il y reçoit une très bonne formation intellectuelle, faisant de lui l'un des rares écrivains de son époque à pouvoir lire dans leur langue les tragiques grecs, sa principale

premier succès et qui lui permet d’avoir le soutien du roi Louis XVI. Il meurt en le 22 avril 1699 âgé 60 ans. Il laisse comme héritage de nombreux chefs-d’œuvre comme : Andromaque en 1667, Britannicus est 1669, Bérénice en 1670, Iphigénie en 1674, Phèdre en 1677. Il est connu comme l’un des plus grands dramaturges français de tragédie de la période classique de la France de Louis XIV.

principal de la scène est Sganarelle, et c'est lui qui détient l'information. Il fait un portrait à charge (péjoratif) de Dom Juan, Les scènes d'expositions commencent très souvent par un dialogue : Mariveau (XVII°) Les Fourberies de Scapin (XX°) Phèdre (Racine) (XVII°) dans ces deux personnages, il y en a un qui détient les informations et qui les donne à l'autre (Double énonciation, donner des informations au public) Sganarelle fait son portrait en faisant celui de Dom Juan, peut être même

vraie sans l’ être réellement. Une certaine vision de la réalité : les classiques, obéissant à Aristote, veulent avant toute chose instruire leurs lecteurs. Or, pour instruire, il faut décrire la vérité. C’est pourquoi le classicisme s’attache à exposer la complexité de la vie psychologique et à analyser sans complaisance les comportement des hommes. Cependant la réalité est idéalisée, simplifiée pour plaire et frapper les esprits. Donc, « Plaire et instruire » était l'un des buts de la littérature

Les dix années suivantes furent fécondes en chefs-d'œuvre : Andromaque (1667), qui fut un triomphe, Les Plaideurs (1668), son unique comédie, puis Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et enfin Phèdre (1677), qu'une cabale fit échouer sans affecter sa gloire. Cette même année , et malgré les succès remportés auprès du public et de la Cour, Racine renonça au théâtre pour occuper la charge d'historiographe du roi et épousa Catherine de Romanet.

en soi, la conceptualisation de la pensée. Or, celle-ci doit dégager des faits empiriques les lois qui permettent d'en comprendre la genèse et de leur donner un sens. Pour l'historien, les "Pensées", "Andromaque", "Britannicus", "Bérénice" et "Phèdre" sont des matériaux qu'il faut bien sûr restituer dans leur intégralité et leur authenticité par la critique textuelle. Mais ces matériaux restent lettre morte si on ne dégage par leurs liens structurels avec les données historiques. Pour Goldmann

réponses possib e une question entes soulèv différ les tation – Les différentes ent le sujet de disser ge successivem sition d’un point Quel qu’il soit, Le devoir envisa se unique ni l’expo entes réponses. présente donner différ nd ni une répon d’un exposé, les. On n’atte à la manière ge les réponses possib Ainsi, le plan analytique, dialectique envisa nel. sujet. Le plan de vue person ndés dans le posé. points dema les différents se au problème ctives de répon perspe es divers 86 La poésie II La

sculpteur et d’une mère sage-femme. On le dit fort laid : chauve, le nez épaté et peu soigneux de sa personne physique. Alcibiade, dans Le Banquet, le décrit de la manière suivante : “Je déclare que Socrate est tout pareil à ces silènes qu’on voit exposés dans les ateliers des sculpteurs et que les artistes représentent un pipeau ou une flûte à la main; si on les ouvre en deux, on voit qu’ils contiennent, à l’intérieur, des statues de dieux”. Ce personnage devait repousser les Athéniens pour qui la