Exposition coloniale

la veille de sa mort la monarchie avait mené ce pays à son apogée. Victoria, très populaire, sera « à la tête de la première puissance mondiale et d’un empire étendu sur le quart de la planète », en effet c’est en partie grâce à elle que l’empire colonial s’est largement étendu. Elle se mariera en 1840 au prince Albert, un de ses cousins, et ils formeront un couple exemplaire offrant au peuple britannique « l’image idéalisée du bonheur conjugal », Albert mourra en 1861 entraînant le deuil définitif

le plus expérimenté en ce domaine et forme un véritable Empire en 1914.  La France construit un nouvel Empire colonial à partir de la prise d'Alger de 1830 et forme en 1914 le second Empire colonial.  L'Allemagne et l'Italie peinent quant à eux à satisfaire leurs ambitions coloniales. À partir des années 1870 et 1880, les nations européennes exportent leurs rivalités en terres coloniales et l'Afrique devient la source de graves tensions. C'est le temps de l'impérialisme : pour les nations européennes

(ethnographique ou linguistique) 6 et il restreint son champ d'étude aux populations exotiques, en privilégiant l'espace colonial et en créant des spécialisations « géographi ques » (avec, à cette époque, une dominante africaniste perceptible aussi bien dans l'enseignement que dans les missions de recherche ou les publications). Au sein de l'Institut, l'africanisme et l'ethnographie coloniale ont d'ailleurs un représentant prestigieux en la personne d'Henri Labouret, ancien administrateur du pays lobi et

La France en 1914 En 1914, La France entend s’affirmer la quatrième puissance mondiale et le deuxième empire colonial, de là vient l’expression « La belle époque » .Cette expression est née après la 1ère guerre mondiale, celle-ci désigne une période vue comme des années de prospérité, d’insouciance, c’est « La France heureuse ». Durant cette période, la France connait donc une prospérité économique, sociale et internationale. Nous allons nous demander si « La belle époque » est un fait ou si

Le rayonnement culturel de Paris à la Belle Epoque Paris est la capitale politique de la France qui est un pays dominant à la belle époque de part son industrie avancée et sa grande puissance coloniale. Paris, de la fin du XIXème siècle à 1914, est un grand centre culturel mondial. Durant cette période, la ville de Paris est très attractive pour les intellectuels et est en constante évolution et est un modèle de modernité dans le monde, jouant un rôle considérable dans les domaines des arts et

siècle est aussi marqué le triomphe de l’idéal colonial. Après un temps d’arrêt au début du 19ème siècle, la colonisation retrouve de nombreux partisans avec les missionnaires, les militaires, les chambres de commerce et les sociétés de géographie. Ces puissants groupes de pressions encouragent les explorations, organisent des expositions et diffusent des récits de voyage enthousiastes pour pousser les hommes politiques à rejoindre le « partie coloniale » (partie qui regroupe dans différentes associations

été surproduits : un nouveau marché économique s’est donc ouvert pour la métropole. La France est donc fière de ses conquêtes, c’est pourquoi le Président Gaston Doumergue décide d’organiser dans les bois de Vincennes à Paris en 1931, une exposition coloniale représentant les différentes parties du monde ayant été colonisées par la France. Cette démonstration est un franc succès et a attirés quelques huit millions de personnes. L’exaltation des colonies cache cependant des relations quasi inexistantes

culturelle », cette publication semble en effet tomber à point nommé. 2. Et s’impose déjà un constat : si plusieurs chercheurs ont consacré de brillantes études à la manière de penser l’Autre dans un cadre muséal2, si encore récemment une passionnante exposition a été organisée au musée du quai Branly sur l’histoire du regard3, force est toutefois de constater que le sujet ne bénéficiait pas d’une étude synthétique et générale. Et nombreux sont ceux qui, unanimes, partagent l’idée que le travail de Benoît

la Cité de l'Immigration (1931) Historiquement, la Cité de l'Immigration était le Palais des Colonies pour l'Exposition Universelle. Le bâtiment est classé aux monuments historique. Dans les années 1920, l'Etat à la volonté de monter une exposition universelle sur les colonies afin d'exposer et d'expliquer, aux bon peuple français, la place de la France dans le monde ainsi que les bienfaits de la colonisation. La Cité est le pavillon d'accueil de l'exposition. Dès le départ, il fut conçu

monde surtout en Afrique. En 1997, il s’est rendu en Nouvelle Calédonie, car on lui avait demandé d’instruire les jeunes des écoles à la lecture. C’est là qu’on lui a conté ce qui s’était déroulé en 1931, avec les kanaks envoyés à l’exposition coloniale et les conditions dans lesquelles ils ont vécu. En 1997, pour les 150 ans de l’abolition de l’esclavage il participa à une émission de radio avec pour thème « Des Canaques à Paris » dont il s’inspira pour son œuvre Cannibale en 1998. Il a également