Exposé Bâle Iii

Bâle III, ce qui change     Le nouveau cadre réglementaire publié par le Comité de Bâle semble finalement moins contraignant que prévu initialement : les banques devront avoir plus de fonds propres en face de leurs engagements, mais elles auront plusieurs années pour les constituer.
Pour que la mise en place des normes Bâle III ne s'accompagne pas des restrictions du crédit et pour limiter le volume de fonds nécessaires, le Comité de Bâle a aménagé des périodes de transition dans l'application

Bâle II Les normes Bâle II (le Nouvel Accord de Bâle) constituent un dispositif prudentiel destiné à mieux appréhender les risques bancaires et principalement le risque de crédit ou de contrepartie et les exigences en fonds propres. Ces directives ont été préparées depuis 1988 par le Comité de Bâle, sous l'égide de la Banque des règlements internationaux et ont abouti à la publication de la Directive CRD. Les normes de Bâle II devraient remplacer les normes mises en place par Bâle I en 1988 et

financements. C'est pourquoi elles sont contraintes de respecter des ratios financiers comme le célèbre ratio d'adéquation des fonds propres; le ratio Mac Donought (anciennement ratio Cooke) issu des directives Bâle II et qui va encore évoluer suite aux recommandation issues de Bâle III . Certains pays ont organisé des fonds interbancaires de garantie, permettant de rembourser les clients en cas de défaillances II) Un rôle économique majeur d'un point de vu empirique : La gestion de l'argent

Bâle III Le Comité de Bâle a été créé en 1974 par les gouverneurs des banques centrales et des organismes de réglementation et de surveillance bancaires des pays du G10 ; et compte aujourd’hui 27 membres parmi les pays les plus industrialisés. Il est hébergé par la Banque des Règlements Internationaux (BRI) basée à Bâle, dont la création remonte à l’année 1930. Le comité de Bâle se réunit quatre fois par an. Sa mission est d’œuvrer en faveur d’un dispositif plus robuste et harmonisé en matière

les parts sociales ne peuvent faire l’objet de plus-value) (cf article alter eco) b. Bâle III et la nouvelle réglementation Le Comité de Bâle qui se concentre sur la supervision bancaire pourrait bien faire planer une menace sur la conservation du modèle mutualiste tel qu’il existe actuellement. L’inquiétude des banques mutualistes repose sur trois questions. La première concerne les relations intra-groupe. Bâle 3 considère que les activités intra-groupe tel que le refinancement des caisses régionales

Nouvelles Dispositions de Bâle III Les banques Centrales et les régulateurs bancaires ont adopté le dimanche soir un plan prudentiel communément appelé « Bâle III ». Objectif Cette reforme a pour objectif de : Constituer un amortisseur financier efficace Relever les fonds propres des établissements financiers Eviter un effondrement du système bancaire comme la faillite de la banque américaine Lethman Brothers en 2008 Rendre le système financier mondial plus résistant à de futurs chocs éventuels

http://www.finyear.com/La-gestion-bancaire-ALM-stressee-par-les-evenements_a16882.html La gestion bancaire ALM stressée par les événements La gestion actif-passif des banques commerciales subira certainement les effets de Bâle III. Mais pas seulement. Cyril Demaria La gestion actif-passif des banques commerciales est devenu un exercice délicat. En effet, la gestion des risques a été bouleversée par l’assèchement soudain des liquidités au plus fort de la crise, mettant en question les modèles

BALE 3 Les impacts de Bâle III sur l’économie Le but premier de Bale 3 est de réguler le secteur bancaire en réduisant considérablement les risques d’une crise future et ainsi les conséquences pour les banques centrales et pour toutes personnes soumises à l’impôt. Cependant, le changement des règles de fonctionnement des banques à de nombreux impacts sur l’économie. * Impact sur la capacité et l’offre de crédit. En effet, Bale 3 implique le renforcement de la

principales failles de ces mesures. I LES MESURES APPLIQUEES PAR LES ETABLISSEMENTS DE CREDIT A/ La surveillance prudentielle • Le Comité de Bale = suite faillite bque Herstatt, BRI favoriser l’harmonisation des regles et contrôle des operations bancaires. Dés 1988 Ratio COOKE « Bale I » = niveau engagements /fd propres = 8% Dès 2006 Bale II ratio de solvabilité ou MCDonough = prise en compte risque marché, crédit et operationnel (amelioration methode calcul risques). Ratio décomposé

Bale I A- Les premiers accords de Bâle. Le risque de liquidité Le risque de taux d'intérêt: Le risque de crédit ou de contre partie: ratio COOKE RISQUES Figurant au Bilan : RISQUES Hors bilan: BALE I B- Quelles limites aux accords de Bâle? Premièrement L'évaluation des engagements de crédit est mal adaptée pour mesurer les différents risques: La deuxième limite est l'augmentation des produits dérivés et de la titrisation depuis les années 80. Troisièmement, selon les risques vus précédemment