Exposé Bâle Iii

BÂLE III : Décryptage, impacts et limites des nouvelles exigences réglementaires Juillet 2011 Conseil opérationnel en stratégie et management Etude réalisée sous la direction de Yoni Elmalem , responsable Practice Risque Management & Performance Avec la participation de : Mathilde Smonig, Paul Emile Dutilloy Aurexia 2011 Banque d’investissement Asset management & Banque privée Services aux investisseurs Banque de détail Introduction  Le secteur bancaire fait l’objet d’une

allons les qualifier sous formes de tableaux. Un attribut Une mesure Une norme Un horizon Objectifs Responsabilités environnementales et économiques Les fonds propres En milliards d'euros S’accommoder des réglementations en vigueur (Bâle 3) Financer l'économie Responsabilités civiques et sociales Les canaux de contact avec les clients Nombre d'appels reçus, nombre de mails envoyés, nombre de conseillers recrutés Label « service client de l'année 2013 das la catégorie banque »

LA REFORME DE BÂLE III RÉSUMÉ La crise financière qui a fortement impacté l’économie mondiale ces dernières années a mis en évidence les faiblesses du cadre réglementaire applicable et la nécessité de mettre en place un nouveau système de régulation financière avec une réforme de la réglementation tant microprudentielle que macroprudentielle. Une réforme du cadre prudentiel est voulue intégrale par le Comité de Bâle afin de l’adapter à un environnement bancaire devenu incertain

faillite. Qui plus est, les banques sont toujours fragiles depuis la crise de 2008. En effet, la Grèce compte 27.9 % de créances douteuses et la France 4.4 % sur le total des crédits. 2) Les activités bancaires vont être régulées par les accords de Bâle III publiés fin 2010 visant à garantir un niveau minimum de capitaux propres, afin d'assurer la solidité financière des banques. En effet, ces recommandations portent à la fois sur le niveau de fonds propres que les banques doivent détenir pour assurer

investisseurs en cas d’indisponibilité de leurs instruments financiers et des opérations en espèce qui leurs sont liées. Le mécanisme de garantie des cautions qui honore les engagements de caution pris par un établissement défaillant. La réforme dite Bâle III constitue une certaine réponse à la crise financière de 2008, visant notamment à prévenir le risque systémique, en renforçant le niveau et la qualité des fonds propre demandé ainsi qu’en mettant en place un ratio de levier, et à renforcer la résistance

total de leurs engagements pondérés par le risque associé à chaque type de crédit. Les banques se sont donc vues imposer une norme de fonds propres dits « prudentiels ». Cette réglementation bancaire n’étant pas suffisante, ont suivis les accords de Bâle II (2006) qui ont établis un nouveau ratio, le ratio Mc Donough. Ce ratio maintient la norme de fonds propres à 8% mais modifie le calcul reposant maintenant sur une évaluation plus détaillée des risques (les exigences en matières de fonds propres

était de 508 millions d’euros dont 54% en intermédiation, 32%. Le PNB généré par la collecte :   B) Le besoin de fonds propre pour la CEAPC 1)  Le contexte de crise 2)  L’intermédiation bancaire 3)  La règlementation prudentielle de Bâle III 1) Le contexte de crise Ces dernières années, la France a connu deux importantes crises économiques et financière. Les banques américaines ont massivement accordées des crédits hypothécaires à des ménages américains aux revenus modestes. Ces

banque par manque de liquidité pourrait ne plus honorer ses engagements notamment envers ces confrères au travers des marchés… c’est le risque systémique. Ainsi pour répondre aux risques, il existe de nombreuse norme prudentielles, les 3 piliers de bale, des autorités de contrôles a priori et posteriori. Pour le cas spécifique du risque systémique, il a été mis en place le PCA qui permet donc de déterminer quelle réaction doit avoir l’entreprise dans une situation extrême, avec la mise en place de

------------------------------------------------- 150 milliards de LL pour les banques islamiques 2- Ratio de solvabilité minimum * ------------------------------------------------- En conformité avec l'Accord de Bâle II.  Actuellement, les banques se préparent à appliquer de manière encore plus rigoureuse les critères de Bâle III, et comme suit:  Le Ratio actions ordinaires ( Common Equity) sur actifs pondérés doit atteindre 5% et 8% à fin 2012 et fin 2015 respectivement, et le Ratio Fonds propres de base (Tier I),

économiques mondiaux s’accordent sur le nécessaire renforcement de la règlementation et du contrôle des banques et des acteurs financiers en général. Cette exigence a notamment été exprimée par le FMI, le G20 et le Comité de Bâle. Ce dernier l’a concrétisé par les accords Bâle III sur la règlementation bancaire en prônant une amélioration qualitative et quantitative des fonds propres des banques. Ainsi, est mise en lumière la nécessité de mettre en place des outils macro-prudentiels. II/ Toutefois