Exposé Fmi

traités en publique comme des actions sur un marché. Il s’agit donc de produits financiers négociés hors bourse, hors bilan et qui échappent aux contrôles publics. Cela se traduit par une difficulté d’évaluation du marché des CDS. Ainsi, le FMI a évalué que seul 75% du volume de contrats de CDS était connu de la DTCC, organisme de contrôle financier américain. Il résulte évidemment de ce manque de transparence des abus. Le plus remarqué est la manipulation des prix. Nombres d’agents

Ces réactions ont commencé à produire leurs effets, comme en témoignent les dernières données conjoncturelles concernant l’activité dans certaines économies avancées dont la France. A cet égard, sur la base de ces prémisses de reprise d’activité, le FMI table sur une reprise en 2010 de 2,5%. Selon la même source, le commerce mondial devrait également connaître une légère reprise de 1% en 2010 rompant ainsi avec la baisse préoccupante qui devrait dépasser les 12% en 2009. Cependant, et malgré ces

les Philippines. Le Conseil de Stabilité Financière a classé les pays selon leur degré d’opacité avec les administrations étrangères. En bas de la liste figurent les Caraïbes, les îles Marshall, mais aussi le Lichtenstein et Chypre. Enfin, le GAFI expose 40 États sur des critères bien plus larges. En 1989, à l’initiative du G7, le GAFI (Groupe d’action financière) a été créé afin de lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Le GAFI vise à créer des normes non impératives

une part croissante de leur activité vers les opérations sur titres (émissions et achats de titres sur les marchés financiers) tout en conservant leur fonction d‘intermédiation traditionnelle (distribution de crédits et collecte de dépôts) qui les expose tout logiquement à des risques. C’est ce qui explique la moindre baisse du taux d’intermédiation pris au sens large (financements intermédiés / financements totaux : de 79% en 1978 à 68,9% en 2000) [2]. ( Définition des termes : - Le crédit est

Mathématique du Module A- Le Contenu de La Formule B- La Sélection du Portefeuille Efficient C- Simplification du Programme Chapitre III : La Gestion d’un Portefeuille de Devise en Présence de L’Euro introduction Section I : Exposé de la Problématique §-1 : L’Euro, Une Monnaie Quasi Sans Historique §-2 : Approche Ex-ante et Planification par Scénarios §-3 : Approche Ex-poste avec pondération de la série des données Section II : Application §-1 : Description

VAR : Vectoriels Auto Régressifs ECRI : Economic Cycle Research Institute PAMLT : Programme d’Ajustement à Moyen et Long terme PREF : Plan de Redressement Economique et Financier OCDE : Organisation de Coopération et de Développement Economiques FMI : Fonds Monétaire International CBO : Congressional Budget Office BM : Banque Mondiale NPI : Nouvelles Politiques Industrielles RFI : Radio France Internationale ANSD : Agence Nationale de la Statistique et la Démographie SOMMAIRE INTRODUCTION

bancaires en faillite ou proches de l'être (en particulier au Royaume-Uni, où huit banques ont été concernées). Les pays les plus exposés à la crise, en particulier parce qu'ils sont endettés en monnaie étrangère comme l'Islande et l'Ukraine, ont connu une forte dévaluation de leur monnaie et sont entrés dans une situation de cessation de paiement, qu'une aide financière du FMI a résolue. Cette aggravation de la crise financière a fortement accentué la récession entamée début 2008, visible par la dégradation

de corrélation. Nous détaillons les                                                         Les politiques d’intervention de court terme pourraient être par exemple des mesures d’isolement comme contrôle de capitaux, prêt en dernier ressort du FMI ou des banquiers centraux. Elles ne sont pas efficaces en cas d’interdépendance parce que l’origine de crise est une relation de long terme. 2 Une vérification ex post montre bien que les rendements des crises sont bien considérés comme queue négative

commerce mondial consécutif à la crise financière a sans doute perturbé le lien entre les performances commerciales et la compétitivité. Il est donc difficile de tirer des enseignements de l’évolution des soldes commerciaux en 2008 et 2009. Sources :FMI, données nationales, calculs OFCE. ration salariale et d’importants gains de productivité dans l’industrie (+2,4 % annuels sur la période, cf. tableau 1), secteur qui est le principal contributeur aux échanges commerciaux mondiaux. À l’inverse, la

d’émergence de classe moyenne et peu de démocratie. 4° Les ingérences de toute nature 3 types d’ingérences : - les ingérences officielles de ceux qui prêtent les aides financières pour dominer (Etats du nord, institutions internationales comme le FMI, la Banque Mondiale). Ingérence de la France dans l’UEMOA avec le franc CFA. - Les ingérences économiques des grandes entreprises internationales, surtout de pétrole (Total, Shell, ONDEO, groupe Bollore…). Les multinationales africaines sont rarissimes