Exposé Hard Discount

des sources 3 IV. L’OFFRE 5 1. Les tendances générales de l’offre : 5 2. Les produits/ les concurrents 5 3. Les circuits de distribution 6 a.Les magasins spécialisés bios 6 b. Les GMS (Grandes et Moyennes Surfaces) classiques et discounters. 6 c. la vente directe 7 d. Les circuits d’importation 7 V. LA DEMANDE 7 1. Qualitative 7 a. La recherche permanente de prix 7 b. Mais aussi la recherche de produits sécuritaires, bio. 8 c. Et également une recherche de produits

synthèseDans un contexte de baisse du pouvoir d’achat un bon nombre de ménages effectuent leurs courses dans des magasins de hard discount qui offrent des produits à prix bas comparé à ceux pratiqués par les grandes marques nationales vendues dans les supermarchés ou hypermarchés. Mais ces prix bas sont-ils pour autant synonyme de qualité médiocre ? Une majorité de magasins de hard discount tels que Aldi, Lidl, Norma … vend des marques spécifiques à leur enseigne, alors que d’autres magasins vendent des

de fréquentation des grandes surfaces. Certaines ont fait le choix de se rabattre sur des surfaces de vente plus petites (comme le groupe Casino), d’autres de s’exporter à l’étranger (Carrefour en Chine), certaines se sont développer dans le hard discount (Carrefour avec Simply Market), et d’autres encore se sont spécialisées dans la vente de produits particuliers (Casino avec Casitalia). Au niveau de la grande distribution, Leclerc reste leader, avec 17,5 % de parts de marché, devant Carrefour

s’élève à 1000. 3 La grande distribution agro-alimentaire I) Les fournisseurs Il existe trois sortes de distributeurs agro-alimentaires : hypermarchés : surface supérieure à 2500m² supermarchés : surface comprise entre 400 et 2500m² Les hard-discount inférieure à 1000m² et moins de 1000 références Les : surface Les Il y a 4 groupes français parmi les 100 premiers fournisseurs. Les principaux sont américains en possédant 43% des parts de marché. -Etude de cas : Président Directeur Général

6,8% (6,6%) Anisés : 28,5% (29,1%) 2010 (2009) *hors départements d’outre-mer Les chiffres ci-dessus sont intégralement issus du Panel IRI qui prend en compte les ventes en grande distribution [hypermarchés (HM), supermarchés (SM) et hard-discount (HD)], taxes incluses. •4 3 Ventes en CHR* : une nouvelle année de baisse Les chiffres 2010 • 56,1 millions de litres : consommation de spiritueux en CHR (-2,6 %) • 149 000 : nombre total d’établissements Calvados : 1,05% (1,05%) Armagnac

circuits représentent 86% des ventes de jouet. Part de marchés des circuits de distribution en 2009 : Circuit de distribution Part de marché en 2009 Spécialistes jouet 44,90% Hypermarchés et supermarchés 40,90% VPC + Vente à distance 5,70% Bazars, discount 2,00% Grands magasins 1,30% Autres distributeurs 5,20% 1) Les spécialistes Enseignes Part de marché en 2009 Chiffre d’affaire 2009 Toys'R'Us 11,30% 505 millions La Grande Récré 10% Jouéclub King jouet 8% 246 millions • Le

Activité principale et(code NAF) :Discount Alimentaire Structure et organisation Implantation Plus de 1200 magasins en France 21 Directions Régionales Activités, produits, marché Leur réussite repose sur un concept performant développé dans les années 1970 autour d’une idées simple : distribuer des produits alimentaire de qualité à des prix imbattables, dans des magasins de proximité. Aujourd’hui, nous sommes le numéro un incontesté du discount alimentaire en France avec plus de

distribution) n'a connu qu'une régression de 2,6% en volume. Cette relative résistance masque une évolution des habitudes de consommation. Les magasins de proximité ont vu leurs ventes reculer de 5,9%, à 1,44 million d'hectolitres, alors que le hard discount a vu les siennes progresser de 2,6%. Les hyper et supermarchés limitent la casse (-1,8%, à 8 millions d'hectolitres). Bières spéciales Dans ce contexte, les brasseurs s'en sortent plutôt bien. Les chiffres de la production sont restés stables

du gros électroménager dans le futur. • Au niveau de la concurrence -Les Grandes Surfaces Spécialisées perdent du terrain vis-à-vis des hypers qui multiplient les promotions sur ce marché pour attirer les consommateurs. Des distributeurs « hard discount » et des soldeurs se développent également. -Notre principal concurrent se situe à quelques kilomètres.

départementales d’équipement commercial (CDEC) ; le fonctionnement des CDEC a été interrompu jusqu’à la fin de l’année 1996) et la loi Raffarin ont rempli leur objectif de barrière à l’entrée en empêchant non seulement le développement rapide, en France, du hard discount mais également en stoppant la croissance de tous les formats de vente. La création ou l’extension de magasins classiques ont été limitées au profit des grands groupes français de distribution déjà en place. La réglementation introduite dans les