Exposé Mucius Scaevola

est entre les mains d’un citoyen laïc. Ils ont perdus leur pouvoir, le procès leur échappe et c’est la naissance d’un nouveau droit : le droit prétorien. §2 : le rôle du droit prétorien Il y a deux cas de figures possible : → Le droit particulier exposé par le préteur entre dans les règles du droit civil classique (la loi des 12 tables), c’est un cas qui existait avant (non payé, vol, etc). Il était réglé par le droit civil ancien, alors le préteur rappel la règle ancienne. → C’est un cas nouveau

Doctrinale (abstraite) : La doctrine juridique est née et la fondation du Droit civil romain est associée à 3 noms de juristes : Manlius Manilius, Junnus Brutus et Publius Mucius Scaevola. Le fils du Publius est présenté comme le premier à organiser le Droit Civil en introduisant une classification nouvelle et en joignant un exposé des règles applicables. C’est à partir de ce moment là que la doctrine classique romaine s’est développée. Pour la première fois, des traités de Droit (très théorique) ont

des garanties. Les traités : ce sont des exposés sur le droit. Le premier traité a été rédigé à Rome par un juriste, Quintus Mucius Scaevola (-140 à -82). Il emploie, dans son traité, ce qu’il a appris des grecques : les mot juridiques précis et définis, la rationalité des règles et l’organisation le droit. Il prend le droit de Rome et la pensée de Grèce. Il nécessite 18 livres pour organiser le droit. Les jurisconsultes veulent, eux aussi, exposer le nouveau droit : le droit prétorien. Entre

période, on peut noter un certain nombre d’anciennes familles, les anciens juristes sont appelés les veteres et parmi eux, deux membres de la famille des «scaevola » un juriste et son fils : « plublius mucius scaevola » c’est un juriste important qui a été consul et son fils « Q. (uintus) » qui lui aussi a été consul, il a été le premier à écrire un exposé méthodique sur le droit civil. Le recrutement se modifie à la fin de la république les juristes n’appartiennent plus forcément de la famille scincerdotale

leurs avis, que va se développer la doctrine. La tradition place au milieu du IIème siècle av. J.-C. l'apparition des premiers jurisconsultes laïcs et attribue la fondation à trois d'entre eux : Manlius Marcilius, Marcus Junius Brutus et Publicus Mucius Scaevola. Ces juristes sont avant tout des praticiens que l'on consultait sur des questions concrètes, des hommes prudents aptes à découvrir les solutions les meilleures grâce à la connaissance des lois et à leur sagesse, d'où le nom de jurisprudence

dévasté par les razzias. Le riche, lui aussi, devait servir et lui aussi courait le risque de voir son domaine en proie aux incursions ennemies. Mais ce domaine, plus ou moins vaste et n’étant pas nécessairement d’un seul tenant, pouvait n’être pas exposé également dans toutes ses parties ; il était cultivé, en l’absence du maître, par ses esclaves, par ses clients ; et enfin, le riche avait des avances qui lui permettaient de faire face à ses pertes. Tite-Live et Denys d’Halicarnasse, dans une

du droit en général »), sont l’objet du titre I du livre préliminaire. Elles se distinguent, premièrement, des autres lois/règles qu’on pourrait dire ordinaires, que Domat appelle souvent simplement règles (par exemple dans L.C. I, II, I, XV, où il expose la « règle » empruntée au droit romain – D. 50.16.135 – selon laquelle la naissance d’un monstre profite aux parents lorsqu’elle peut leur permettre d’obtenir un privilège ou une exception, ou dans L.C., I, XV, où il parle des « règles des procurations

législation. Le juge va qualifier les faits, il va interprété et appliquer. La liste des citoyens pouvant être juges regroupe l'élite sociale. En effet la société romaine est une société inégalitaire. II- Le rôle du droit prétorien Si le cas concret, exposé par le plaideur, rentre dans le droit civil (loi des 12 tables), alors le préteur va indiquer que le droit civil s'applique. Si le cas n'est pas prévue pas les 12 tables le préteur va inventer une nouvelle règle (ex : vol des étrangers qui étaient

procédure. Au milieu du –IIe siècle on change la procédure c’est la Loi aebutia. Dorénavant le procès va se diviser en 2 phases : * Devant un magistrat (=administrateur) de la cité. Ce magistrat reçoit les 2 membres des parties et ils vont exposer librement leurs points de vue et il va apprécier l’opportunité d’ouvrir un procès. Le magistrat : Ce magistrat est principalement le préteur et spécialement le préteur urbain mais cela peut être aussi le préteur pérégrin (= s’occupe des habitants

étudiants qui se lancent dans les études juridiques. Ils forment une sorte de bloc pégagogique. Ils fournissent un exposé liminaire et offrent une initiation au droit, qui permet d’entamer l’étude de ses diverses branches. Tous trois apportent, chacun dans son esprit, une réponse à la difficile question de la définition du droit et de la justice ( I. ). L’Introduction historique au droit, exposé liminaire et initiation au droit, constitue une introduction générale au droit par l’étude de son histoire