Exposé Sur La Délinquance Juvénile

la notion de jeunes en difficulté a été appréhendée sous l’angle juridique : protection administrative et judiciaire au sens du code des familles et de l’action sociale, protection judiciaire entendue au sens du code civil, traitement de la délinquance au sens de l’ordonnance de 1945. La mission de l’IGAS s’est appuyée sur de nombreux travaux de recherche, des missions d’enquête parlementaires, des auditions, des études de cas ou d’itinéraires de jeunes pour aborder cette problématique en montrant

n: Jeunes face à la violence Dossier Analyse des représentations de professionnels impliqués dans deux parcours de sujets dits « incasables » Résumés Cet article expose les premiers résultats d’une recherche portant sur les trajectoires institutionnelles de jeunes dits « incasables ». A partir de la reconstitution sur dossier de deux parcours en protection de l’enfance et d’entretiens menés avec les professionnels concernés, nous esquissons un tableau des troubles et de l’environnement familial

l’armoire 1 à la lettre B, classé au numéro 78 ; LIV/ … : LIV/034567, livre classé au numéro 34567 ; REV/ … : /074115, revue classée au numéro 115 ; MEM/92 … : MEM/920023, mémoire classé au numéro 23 ; MEM/94 … : MEM/940010, mémoire sur la délinquance juvénile classé au numéro 10 ; COL/95 … : COL/950125, colloque classé au numéro 125 ; THE/96… : THE/960013, ouvrage développant un thème précis classé au numéro 13 ; RAC/97… : RAC/970027, rapport d’activités classé au numéro 27. L’inscription, le prêt

en 1892 mais a surtout été développé et explicitement introduit par H.Hyman en 1942. Pour lui, le groupe de référence est rattaché à la psychologie sociale et peut donc expliquer les comportements politiques, mais aussi l’acculturation, la délinquance juvénile ou encore les maladies mentales. Le groupe de référence peut également être positif ou négatif. Dans le premier cas, on parle de groupe normatif puisque l’individu cherche à intégrer le groupe et suit donc les normes établies par le groupe

l’écoute active de l’enfant en revenant sur les faits accomplis les jours précédents. Il reconnait ces actes et donne des explications quant aux motifs qu’ils l’ont poussé à agir de la sorte. L’éducatrice et le psychologue font un résumé des faits exposés durant ce premier échange afin de légitimer les motifs de la demande de cette famille. A ce stade, ils tentent de définir les problématiques qui émergent. Il en ressort trois axes de travail dans le cadre d’un accompagnement de l’enfant qui sont :

la famille étant alors, comme nous l’avons vu, la relation mère/enfant. Il est intéressant de constater que ces deux tendances propres à la population noire se retrouvent aujourd’hui : 1-populations pauvres urbaines : fort taux de délinquance, notamment juvénile, et nombre élevé de familles monoparentales (Exemples et détails.) 2-classe moyenne et supérieure : elles suivent le modèle de référence avec une famille réduite et des enfants autonomes (Exemples et détails.). D’autres types ont existé

et acceptable que la femme soit battue par son mari, la fille par son père ou son frère même plus jeune. L'utilisation démagogique de la religion permet de renforcer l'exploitation et l'aliénation de la femme, son asservissement. Nous n'avons exposé là que quelques traits de la double exploitation de la femme, peut-être les plus frappants mais en tout cas pas les seuls. Notre but n'est pas de faire une analyse théorique sur la situation de la femme. Nous voulons, sans trop d'ambition, sans

qu'ils ne partagent pas la même conception du fait social et de la sociologie. Deux grandes écoles antagonistes : les durkheimiens et l'ethno-méthodologie (Schutz, Husserl, Simmel, -allemands- Cicourel, Garfunkel-américains). Référence de la délinquance et et le suicide (2 phénomènes de déviance). Durkeim, 1897, Le suicide * politique, historique, sociologique : l'idée centrale est qu'aucune statistique n'est neutre. La neutralité correspondrait à une réalité qui leur pré-existerait

sont grandes. L’impossibilité d’accéder aux biens et aux filles les amène, selon leurs orientations et leur profil, à rejoindre l’un de ces groupes armés. L’absence de toute opportunité économique pour ces jeunes risque de les maintenir dans la délinquance, chemin tout tracé vers le banditisme et de maintenir les filles dans leur position opportuniste aux regards de ces jeunes gens via la prostitution déguisée ou le statut de compagne officielle. Force est alors de constater que le problème de la

retrouvent dans la rue. Selon certaines études, l'abandon du milieu scolaire entraîne une hausse des activités délinquantes de même qu'une augmentation de la consommation d'alcool et de drogues. Le décrochage scolaire peut donc parfois mener à la délinquance. Le décrochage a aussi d'énormes conséquences sur le plan économique, une incapacité de recruter de la main-d'œuvre qualifiée etc. Par ailleurs, les décrocheurs ont souvent des emplois précaires et sous-payés ou encouragent l'activité du " travail