Exposé Sur La Folie

science sans conscience n'est que ruine de l'âme» chapitre VIII de Pantagrue/). Ce n'est pas par hasard si, juste après les épisodes meurtriers de la guerre se trouvent dans le chapitre XXVII les lettres de Grandgousier à son fils Gargantua. Il lui expose (page 293) qu'il veut non provoquer mais apaiser, non assaillir mais défendre et il qualifie la colère de Picrochole de tyrannique. Il lui confie qu'il veut avant tout éviter les effusions de sang. C'est pour cette raison que, dans le chapitre suivant

les fous parlent en vérité (sont inspirés). La folie devient sagesse. - Illusion finaliste : fictions des causes finales. Interprétation pathologique. - Croire aux miracles. - Accomplir des rituels absurdes et infantiles. - Rejet de la raison, perte du sens commun. Cela n’épargne personne : l’expérience qu’on voit la superstition chez les autres mais peu chez soi. L’expérience est convoquée. Même Alexandre le Grand n’a pas échappé à cette folie. Toute personne dans une situation critique (quand

philosophie. Ici, dans son œuvre intitulée «Du contrat social», Rousseau, écrivain, romancier et philosophe des Lumières, se demande si, pour l'homme, il est possible de renoncer à sa liberté ? Tout d'abord, il répond à cette question par un «non», il nous expose sa thèse. Puis il applique cette thèse aux relations entre un maître et son esclave. Dans la première phrase, Rousseau affirme que l'on ne peut renoncer à sa liberté sans renoncer à être un homme. Or, renoncer à être un homme, par définition

« bonheur » (termes employés dans les deux textes) Passion abordée de façon générale « je dis des goûts, parce qu’on n’est pas toujours assez heureux pour avoir des passions » Marque du pluriel qui expose la généralité. Passion abordée dans un sens particulier -> passion amoureuse. L’auteur parle de « la douce folie que [lui] inspirait [son] amie » Les deux auteurs défendent la passion, et rejoignent le point de vue des Lumières, qui prônent la liberté de penser, la recherche du bonheur terrestre et l’importance

Pour exposer les idéaux humanistes des hommes de la Renaissance, pensez-vous que la forme romanesque soit la plus appropriée ? Les bouleversements intellectuels, scientifiques, historiques de XVème et XVIème siècles, donnent naissance à un mouvement littéraire et culturel, l’Humanisme, qui fait de l’homme lui-même le centre de sa recherche, et met tout en œuvre pour le défendre, le faire progresser dans la voie de la connaissance. Les humanistes étaient de grands intellectuels et pour beaucoup,

comment pouvez-vous nous définir votre réalisation qui est l’encyclopédie? Est-elle réellement achevée? - Denis Diderot : Tout d’abord « le but d'une encyclopédie est de rassembler les connaissances éparses sur la surface de la terre; d'en exposer le système général aux hommes avec qui nous vivons, et de les transmettre aux hommes qui viendront après nous. » Je pense donc qu’elle est un bon moyen de diffuser son savoir à travers le monde et ainsi le transmettre de génération en générations

Elle expose aussi les multiples aspects du fantastique à travers les siècles. Comme le dit si bien Barbara Sadoul dans son introduction, "Ainsi l'homme moderne marche-t-il toujours aux frontières incertaines du réel et de l''imaginaire. Et, si son esprit rationnel ne lui permet pas de franchir le pas, l'espace d'une lecture il peut accéder aux rivages du fantastique." S’ensuit treize nouvelles où se côtoient la raison et l’irrationnel. - L'homme au sable - E. T. A. Hoffmann : Entre folie et surnaturel

rôle de la science. La science joue le même rôle que les mythe ou la religion. Elle cherche a donné une explication logique et cohérente de la création de l'univers mais elle cherche a fournir des preuves. Dans le jeu des possibles, François Jacob expose deux éléments opposés : la science et la religion. On s'aperçoit que le philosophe se range du côté de la religion. On peut donc se demander quel est le meilleur point de vue à adopter : la science ou la religion. Pour cela, François Jacob introduit

instruire le lecteur de la réalité des couvents. À travers de nombreuses descriptions, il expose la vie quotidienne des religieuses. Il décrit aussi bien les rites, comme la prise de voile ou les messes, que les usages de la vie au couvent, par exemple les repas, le détail des tenues des religieuses ou leurs ustensiles de toilette. Mais Diderot dépeint aussi la réalité cruelle d’un monde clos, qui mène à la folie ou la mort et où les religieuses vivent dans la promiscuité, l’oisiveté et l’inutilité

est exprimée par un philosophe plus hardi « franc ». Antithèse, réplique qui expose une vision profondément pessimiste. Le narrateur par le biais du discours des philosophes fait la périphrase de la philosophie des lumières : « un petit nombre d’habitants fort peu considérés… » + tournure restrictive : « si l’on excepte… » : réflexion sur les philosophes mise en valeur et identifié comme un être à part. -> échappe à la folie humaine « tout le reste, assemblage… » métaphore + caractère négatif, société