Exposé Sur Le Piratage Informatique

BLACKMARKET, PLACE DES ÉCHANGES Parmi les infractions cybercriminelles, on peut recenser le vol ou le détournement de données personnelles, le vol d’identifiants bancaires, la falsification de papiers d’identité, l’espionnage, l’organisation d’actes de piratages destinés à désorganiser des entreprises, des médias, ou encore la diffusion de logiciels malveillants. Pour réaliser ce type de méfaits, il est rare de disposer de toutes les compétences et ressources requises. Pour cela, les cybercriminels peuvent

économie complexifiée, force est de constater que les productions de biens matériels continuent à augmenter et qu’en parallèle, l’économie immatérielle se développe au profit du support électronique. Dans cette deuxième économie, les pirates informatiques arguent que pirater c’est partager, comme si la contrefaçon était un acte résistant dans une économie globalisée très inégalitaire. Malgré cette conception basée sur le partage, au sens premier, c’est-à-dire la transformation d’un élément en

Économie de la propriété industrielle Introduction Depuis quelques années, le développement rapide du piratage et de la contrefaçon sont susceptible de réduire les incitations à créer et à inventer. En parallèle, on assiste à un renforcement du droit de la propriété intellectuelle, qui pourrait limiter la diffusion des œuvres et l'usage des innovations. Quel est le bon équilibre? Cet ouvrage présente les avancées de l'analyse économique sur cette question, qui n'est étudiée par les économistes

touchant même à la santé et à la sécurité des consommateurs, qui fait des ravages et qui s’attaque à tous les domaines : du médicament aux pièces détachées industrielles, aux produits ménagers, aux jouets, aux produits culturels, aux logiciels informatiques et aux produits de luxe. Toute création peut être contrefaite, copiée et illégalement importée. En effet, la contrefaçon engendre des profits considérables. C’est un fait immoral car reposant à l’origine sur la faute intentionnelle de la personne

dernières années. La toile, riche de connaissances, d’échanges sociaux et commerciaux, est aussi devenue riche en vulnérabilités. Et certains n’ont pas perdu de temps pour exploiter ces failles nombreuses du Web à des fins malveillantes. I. Piratage des applications web : Les vulnérabilités au sein des applications Web sont désormais le vecteur le plus important des attaques dirigées contre la sécurité des entreprises. L’an dernier, près de 55% des vulnérabilités dévoilées concernaient des

Internet et d'agir en cons￩quence. Dans certains cas, la sanction peut ￪tre le licenciement. c) Au plan ￩conomique " L'internet entraine le sous-d￩veloppement ￠ travers le cybercrime (activit￩ dans laquelle les syst￨mes et les r￩seaux informatiques sont un outil, une cible ou un milieu pour r￩aliser des activit￩s criminelles). Exemple : Entre 1997 et 2004, les sommes d￩tourn￩es par la corruption au Cameroun atteint 2OOO milliards de FCFA. Quant au Gabon, les affaires jug￩es depuis avril 2009

Marketing séance 7 La Fnac est une chaîne de magasins spécialisée dans la distribution de produits culturels (musique, littérature, cinéma, jeu vidéo) et électroniques (Hi-fi, informatique, télévision). Il s’agit du plus grand distributeur européen de livres, de gadgets électroniques, de cédéroms et de jeux vidéo. Son chiffre d’affaires pour l’année 2008 s’élève à plus de 4 milliards d’euros, pour 15 millions de clients et une rentabilité opérationnelle de 4% du chiffre d’affaires

cachés. Ce proverbe attribué à Jean-Pierre Florian semble à des années-lumière des mœurs contemporaines. Être in aujourd’hui, c’est être sur la Toile, avoir son cortège d’« amis » sur Facebook – le plus fameux des sites dits « communautaires » –, y exposer ses photos et y raconter sa vie. La société est devenue impudique et les moyens modernes de communication ont été des accélérateurs de cette impudeur privée qui s’est transformée en impudeur sociale. Ces mises à nu volontaires, délibérées, revendiquées

et avaient besoin d’un local climatisé. Ils n’avaient ni écran, ni souris, ni clavier (si ce n’est le télétype de l’opérateur) : les commandes étaient perforées sur des cartes, les résultats imprimés sur des « listings ». Ceux qui ont débuté en informatique dans les années 60 se rappellent les paquets de cartes que l’on faisait passer par un guichet vers les opérateurs et qui revenaient un ou deux jours après accompagnés d’un listing ; celui-ci contenait une liste d’erreurs qu’il fallait corriger

indiquer une fourchette de prix pour chacune d’elle, c'est-à-dire pour chaque famille le prix le moins cher et le prix le plus cher observés) : ▪ Gaming : 2 € -> 349.90€ ▪ Image et son : 4.90€ -> 2 299€ ▪ Micro informatique : 2.90€ -> 2 998.99€ ▪ Cd/ musique : 6.90€ -> 255 € ▪ Librairie : 1.50 -> 300 ▪ Dvd : 9.99€ -> 199.90 € ▪ Télé/ hifi : 2.90€ -> 3 500€ ▪ Billetterie4.10€ -> 600€ - Service