Exposé Sur Le Rire

REFERENCES ESSENTIELLES SUR LE THEME DU RIRE | I/ ANALYSE LEXICALE A. Le substantif rire (nom commun) Le verbe rire est attesté depuis le 11°siècle. Il signifie dès son apparition rire puis sourire. C'est un verbe très fréquent que l'on retrouve dans les locutions verbales comme rire jaune, rire sous cape, mourir de rire, on parle également de rire homérique ( que l'on a comme Homère dans l'odyssée, Homère nous montre les dieux riant aux éclats ) « le rire inextinguible des dieux », rira bien

française 2) Désacraliser par le rire : rabaisser le pouvoir en place pour ramener l’égalité 3) La liberté d’expression retrouve ses droits : le rire au service de la révolution du peuple contre un pouvoir tout puissant III) Le registre didactique au service de la raison 1) Représentation réaliste d’un contexte politique et social 2) Exposé didactique : emploi d’un ton sérieux pour

et une pièce de Beaumarchais, Le Mariage de Figaro. Ces trois auteurs, bien qu’étant de courants littéraires différents, dépeignent tous la relation entre le maître et le valet. Nous allons donc montrer que ces extraits cherchent à la fois à faire rire le spectateur mais aussi à le faire réfléchir sur la relation maître valet. Le comique est présent sous différentes formes dans ces extraits. Tout d'abord le comique de caractère est très présent dans les Fourberies de Scapin où le maître

C'est avant tout une comédie que Marivaux a mis en scène au 18ème siècle avec "L'île des esclaves". Sans pour autant se limiter au rire, le dramaturge y présente également une idéologie, où toute la société est remise en question par une inversion des rôles entre maître et valet. Pouvant donc être qualifiée de révolutionnaire, la pièce expose en effet des maîtres de haute position sociale réduits à l'état d'esclavage. Au début de cette scène 9, Arlequin et Iphicrate entament une conversation sur

d’Arnolphe par Horace] Le portrait d’Arnolphe constitue un deuxième effet du quiproquo. Ce portrait est dépréciatif et satirique. Les fantaisies sur le nom « Zousse ou Source » mis pour « Souche », les mots « ridicule », « un fou », « jaloux à faire rire », « homme bizarre » tournent en dérision le personnage qu’Horace sans le savoir a sous les yeux. Les effets d’insistance, la dépréciation croissante du portrait permettent de prolonger l’effet comique du quiproquo en en exploitant toutes les retombées

1622, fut acteur, dramaturge, metteur en scène, directeur de troupe, tout à la fois. De plus, il tient sa place dans le panthéon des plus grands écrivains français, non seulement à cause de la façon dont il maniait ses vers, mais parce qu’il fait rire. Jean-Baptiste se lia avec une famille de comédiens, les Béjart. Il prit le nom Molière et fonda conjointemment avec les Béjart «L’Illustre Théâtre», qui ouvrit

farces grotesques populaires aux comédies de Molière ou | | |Marivaux, le théâtre a toujours fait rire le public. C'est pourquoi on peut se demander si la comédie n'a pas d'autres fonctions que de distraire | |Sujet |le spectateur. Ainsi nous analyserons les effets prioritairement destinés à amuser le public, puis nous verrons que le rire au théâtre peut bien | |annonce du plan |souvent présenter un aspect plus sérieux en proposant un enseignement moral ou

comique, cependant, la comédie ne se réduit pas à un seul aspect. Nous verrons que si la comédie s'emploie par susciter le rire, elle vise aussi d'autre but. La comédie joue sur diffèrent procédés : le comique de situation, le comique de geste, de mot et de caractère. Les coups de bâton, donné par Scapin, à son maitre, durant l'une de ses fourberies par exemple, provoquent le rire général, car, Molière, s'est inspiré sur le comique de geste et de mots.

fait qu'elle fonctionne comme une sorte de mécanique (comique de situation, de caractères, de mots et de gestes), offre divertissement et rire aux spectateurs. Il n'en reste pas moins vrai que Molière instruit et dénonce les mœurs de l'humanité , avec d'ailleurs la reprise de la devise latine «Castigat riendo mores», qui traduit «Corrige les mœurs par le rire». De manière générale, le comique correspond à un artifice, à une mécanique. On y distingue donc différentes sources de comiques : le comique

que l’on ressent pendant la représentation qui importent. On peut passer par la peur, l’émotion, le rire, le désarroi et d’autres émotions en fonction de sa vision du monde. Mais l’émotion qui rythme le plus la pièce est l’humour, principalement l’humour du corps, sans pudeur. Le corps devient un décor : des montagnes, une forêt mais aussi un paysage : une sorcière, un ogre mais tout ça pour faire rire. Mais certaines montées émotionnelles à fleur de peau perturbent le déroulement des choses et rend