Exposé Sur Les Esclaves Romains

pourrait être la source de sa perte. Pour faire face à cette crise, Solon va établir des réformes sociales. Présentation du texte : Ce texte « Solon » est un extrait de l’œuvre « les vies parallèles » rédigée par Plutarque. C’est un passage qui expose les réformes sociales de Solon au sein de la cité Athénienne durant la crise du 7ième siècle. C’est également une critique et une interprétation des lois de Solon par Plutarque. Présentation de l’auteur : Plutarque : Né à Chéronée, dans la Béotie

créancier un moyen de contrainte direct ou indirect, qui lui permettra d’obtenir satisfaction : il n’y a en effet d’obligation que si le débiteur peut être contraint à s’exécuter, au besoin contre son gré. Rapport de contrainte. Inversement, les Romains désignent dès le 1er siècle av. J. C. par le mot solutio (fait de délier, de dénouer, de libérer) le paiement qui met un terme à l’obligation. Les deux conceptions s’opposent sur la manière de concevoir les rapports entre ces deux éléments. 1)

La philosophie sociale de Bakounine: contre le christianisme, contre l'Etat, pour l'anarchie par la praxis révolutionnaire Pour Bakounine le christianisme est le prototype de la religion en ce qu'il "expose et manifeste la nature même et l'essence de toute religion qui sont: l'appauvrissement, l'anéantissement et l'asservissement de l'humanité au profit de la divinité". *La religion c'est l'esclavage, c'est "la négation de l'humaine liberté qui aboutit nécessairement à un esclavage non seulement

ils font exploiter leurs terres par d'autres personnes comme des esclaves ou des paysans libres qui vont travailler les terres. Ensuite il y a des artisans libres puis des travailleurs qui sont payés à la tâche. Et enfin les esclaves dont leur situation n'est pas très bonne car ce sont des peuples vaincus réduis à l'esclavage. Les femmes esclaves deviennent des concubines ou des servantes des propriétaires. On appelait les esclaves «  animal à deux pattes ». l'organisation sociale et économique

démocratie étant en fait une dém–ocratie. On peut considérer qu’une ou qu’un dème était l’équivalent d’une commune moderne ou d’un arrondissement d’une grande ville et que dans cette unité de lieu vivait ensemble des citoyens, des métèques et des esclaves. Les citoyens sont peu nombreux entre 500 et 800, les autres habitants ne sont pas recensés, mais surtout ils n’ont pas du tout accès à la citoyenneté, ce sont des « parias », des sous hommes et sous femmes. Par contre les citoyens profitent de leur

famille heureuse et soudée. On dit même souvent que les gens les plus heureux sont ceux qui savent se contenter de peu. Citation : Le pauvre sans désir possède le plus grand des trésors ; il se possède lui-même. Le riche qui convoite n'est qu'un esclave misérable. Anatole France Conclusion : l’argent achète un bonheur superficiel et hypocrite et apporte un ennui profond pour la vie. Incidence de la richesse sur la vie amicale & familiale Plus de liens amicaux, (opportunisme et relation

religieux, littéraires et philosophiques. Elle est une contestation radicale de toutes les valeurs traditionnelles et prône une voie courte pour accéder au bonheur, qui consiste en une ascèse physique dont la finalité est morale. Julien, cynique romain de l’époque impériale parlait de la connaissance de soi et des rapports entre l’âme et le corps. Pour comprendre l’émergence d’une telle pensée, il faut contextualiser sa naissance. Diogène et Antisthène avant lui, ont vécu à une époque où la civilisation

l’évolution de la société, influences sur tel pays, tel peuple. Ex : Le CCiv s’inspire du droit romain. La période étudiée est vaste puisqu’elle couvre plus de 20 siècles, mais importante car elle remonte aux sources romaines du Droit. 3 Parties : Les fondations romaines : civilisat° romaine, droit romain = droit privé, reflex° / régimes pol auxquels on a emprunté du vocabulaire (cf Sénat, mot romain, republica = res publica = chose publique, les comices, plébiscite = referendum) L’expérience médiévale

corporels à leur enfant mineur. Ce pouvoir, appelé actuellement « droit de correction » a, de tout temps, existé. Il pouvait même être exercé par délégation, par des personnes proches ou ayant une autorité sur l’enfant : éducateur, enseignant, voire esclave chargé de veiller sur l’enfant. Les châtiments corporels infligés aux enfants étaient des pratiques courantes dans les familles et étaient considérées comme un réel moyen d’éducation, comme il est possible de l’observer à travers quelques

convictions républicaines de Jaurès, et permet de se demander quelle est sa vision de la République ? Comment la république et ses valeurs ont pris racine en France ? En quoi sa vision sociale de la République est-elle propre à la France ? Pour exposer ses idées, Jaurès parle d’une part de la manière dont se construit et se met en place la République, et d’autre part de comment il perçoit la République française. Nous étudierons dans un premier temps la construction et la mise en place de la République