Exposé Sur Les Monétaristes

plein-emploi.  L'économie pour les monétaristes  Malgré les succès remportés dans la pratique par les politiques keynésiennes, sa Théorie générale a été contestée par des économistes libéraux qui ne pouvaient admettre l'incapacité des «puissantes forces du marché» à rétablir d'elles-mêmes le plein-emploi. Parmi eux, on peut retenir le nom de Friedrich von Hayek, le grand théoricien contemporain du libéralisme (la Route de la servitude, 1941), tandis que l'école monétariste est représentée par Milton Friedman

être pluridisciplinaire. Entre 1836 et 1845, Marx fait des études de droit et de philosophie et il quitte l'Allemagne pour Paris ou il rencontre Engel. Il se réfugie à partir de 1848 en Angleterre, ses premiers écrits avec Engel en 1946 ou sont exposés les principes du matérialisme économique. «Manifeste du parti commuiste » 1948, en Grande-Bretagne il écrit « La critique de l'économie politique » « Le capital livre 1 » paraît en 1967, l'échec de la commune en France à beaucoup affecter Marx et

"les monétaristes " et figure donc à l'origine du néo-libéralisme économique. Il a obtenu le prix Nobel en 1976. La théorie keynésienne part du principe que la répercussion de la monnaie n'est qu'indirecte et assez faible. Pour stimuler l'économie, les Keynésiens attachent une grande importance à la politique budgétaire et aux variations de l'investissement et de la consommation. Pour Milton FRIEDMAN, les fluctuations de l’activité dépendent de l’offre de monnaie. FRIEDMAN et les monétaristes s'opposent

conduire des expériences en économie explique pour quelle raison il est si compliqué de trancher entre 2 théories concurrentes lorsque celles-ci aboutissent à des énoncés contradictoires. Milton FRIEDMAN (1912-2006) est à l'origine du courant monétariste. Il s'est très fortement opposé aux doctrines keynésiennes. Dans Les essais d'économie positive (1953), FRIEDMAN va défendre la thèse de la vérification qui est l'opposé de celle de la réfutation de Karl POPPER. Selon FRIEDMAN, une théorie peut

Aujourd’hui : une science économique éclatée Du monétarisme à la nouvelle école classique : « le renouveau libéral » 31 L’impulsion du renouveau libéral par le monétarisme 1. Friedman et les monétaristes dans la discussion sur la stabilité des fonctions macroéconomiques de comportement 2. La critique monétariste de la courbe de Phillips et la théorie du taux de chômage naturel 123 123 124 32 La nouvelle macroéconomie classique 1. L’hypothèse d’anticipations rationnelles et l’inefficacité de

dans un ensemble de marché soumis à la concurrence internationale. Ceci suppose qu’il n’existe pas de biens non échangeables et non homogènes et que l’économie connaît une concurrence pure et parfaite. Or dans chaque pays cohabitent des secteurs exposés à la concurrence internationale. De plus, un grand nombre de services et de biens ne sont pas échangeables. Enfin, les frais de transport ne peuvent être négligés et les quotas et autres protections non tarifaires sont une réalité Plusieurs arguments

développement et celle des environnementalistes. Pour Serge Latouche, le terme est une antinomie; cette figure de style qui consiste à réunir deux mots en apparence contradictoires. Ainsi, le développement pour Latouche est synonyme de croissance. Ayant exposé les limites de la croissance, comment le développement peut-il être durable ? Le développement durable se base en grande partie sur l’efficacité accrue des processus et des technologies pour en réduire l’intensité. Ainsi, une voiture moins polluante

est-il une mesure représentative du progrès économique ? 3) Le progrès économique amène-t-il nécessairement un mieux-être pour les populations ? Le deuxième et le troisième niveaux de critique ne sont pas nouveaux. Plusieurs auteurs ont en effet déjà exposé les limites du PIB per capita pour représenter le progrès économique et le bien-être des populations. C’est d’ailleurs en raison des limites du PIB que le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) a développé son indice de développement

ranh) (cad les pays qui sont traversés par le Rhin, Allemagne, Suisse, Pays-bas). En 2001, il confirme sa thèse et conclu que c'est le premier qui est en train de gagner (Allemagne, rompt avec son modèle de social-démocratie). 1.2 « La révolution monétariste » → Dans le prolongement de la 1e Friedman (théoricien de la politique monétaire) mais qui se place sur le terrain de la pratique plus pragmatique (thuc lieu, thuc dung) que doctrinale. → La priorité de la politique économique est la lutte contre

l’économie. La monnaie a un rôle intermédiaire. La théorie de la population : Thomas MALTHUS. Thomas MALTHUS (1766-1834) : pasteur et économiste anglais (libéral classique). Il publie Essais sur le principe de population (1798). Cette théorie expose le mécanisme selon lequel la population augmente plus vite que les subsistances. Selon lui, la population augmente selon une progression géométrique alors que les denrées alimentaires augmentent selon une progression arithmétique. Ceci aboutit à une