Exposé Sur Les Monétaristes

l’effet Balassa-Samuelson Soit un petit pays à deux secteurs, abrité (a), par exemple agricole, et exposé (e), par exemple manufacturier. La PPA est vérifiée dans le secteur exposé à la concurrence internationale mais pas nécessairement dans le secteur abrité : Pe = EPe * Où E est le taux de change nominal. Supposons que ce pays est en « rattrapage », c’est à dire que la productivité du secteur exposé πe est plus faible qu’ailleurs dans le monde tandis que la productivité du secteur abrité πa est comparable

plus généralisée sur tous les produits titrisés. C’est ainsi que la détérioration de la valeur des actifs liés aux subprimes a entraîné une augmentation de l’incertitude sur de nombreuses autres catégories d’actifs financiers, qu’ils soient in fine exposés ou non au marché immobilier des subprimes. Cette situation contraste fortement avec le modèle standard de l’intermédiation bancaire où les valorisations d’actifs et de crédit sont liées aux fondamentaux et effectuées au coût historique. L’impossibilité

Phénomène endogène ou phénomène exogène ?..........................................16 Paragraphe 2. Nature endogène ou exogène de la création monétaire.................................17 A – Vision de l'Ecole de la Circulation et des Economistes Monétaristes actuels..........17 Chapitre 3. Les approches théoriques de la monnaie...............................................................18 3.1. La théorie quantitative de la monnaie...............................................................

(INEDIT) Qu’est-ce que la valeur de la monnaie ? (INEDIT) Montrer la relation entre la position de D. Ricardo quant aux lois protectionnistes sur le blé et sa conception de la rente. (ESC 1999) Exposer la thèse du protectionnisme éducateur, en rappelant le contexte dans lequel elle fut élaborée (ESC 2001) Exposer le modèle de l'accélérateur d'investissement et sa pertinence pour expliquer les fluctuations économiques. (ESC 1999) Caractériser la politique de la concurrence en Europe (ESC 1999) Décrire

L'économie vient du grec « oikos » (=maison) et « monos » (=administration). Donc l'économie c'est l'administration de la maison. On entend parler d'économie par Xénophon qui est un disciple de Socrate. Il a écrit « L'économie ». Dans cet ouvrage il expose les règles d'une bonne gestion foncière. Au 17ième siècle le terme resurgit car c'est le moment où arrive le premier courant de pensée économique. Depuis Xénophon, l'économie a fait l'objet de plusieurs définitions. En effet ; * Elle permet

façonne l’histoire humaine, comprendre comment celle-ci transforme à son tour les lois réputées inflexibles de l’économie », tel est le but que se fixe ici Daniel Cohen1. Son panorama de l’histoire économique, du néolithique au XXIe siècle, expose clairement les changements de paradigme correspondant à ces trois grandes ruptures que sont l’invention de l’agriculture, la révolution industrielle et l’accès au monde de l’immatériel. L’auteur décrit une humanité qui se débat longtemps dans

mêmes. L’instabilité de la vitesse (relation entre la masse monétaire et le revenu) est un indicateur du changement du comportement du public. 2.2 La relation multiplicative, une première approche Retenons sans le démontrer, que des économistes monétaristes ont établi une relation entre la base monétaire et la masse monétaire telle que : Masse monétaire = base monétaire x multiplicateur monétaire • Le multiplicateur monétaire C’est la variation de la masse monétaire qui résulte de la variation d’une

y a un afflux de métaux précieux importé d’Amérique. Bodin explique que cet afflux n’engendre aucune croissance de la production économique réelle. Le seul effet de cet afflux est une augmentation des prix. Cette argumentation est la première qui expose une neutralité de la monnaie. Bodin avec cette argumentation apparait malgré lui comme le fondateur de la théorie quantitative de la monnaie. Mv = PT équation de Fisher T = volume des transactions p = indice général des prix Cette

par une refonte du cadre opérationnel de la politique monétaire, aussi bien au niveau des objectifs qu'au niveau des instruments. Les réformes des années 1990 ont visé la mise en place d'une politique monétaire de règle d'inspiration libérale (monétariste) qui s'est substituée à la politique monétaire discrétionnaire d'inspiration keynésienne. Les instruments d'intervention directs et coercitifs ont été progressivement remplacés par des instruments indirects. A partir de 2006, ce sera le cadre institutionnel

Néo-Walrasiens (Kenneth Arrow, Gérard Debreu), l’école des choix publics (James Buchanan, Gordon Tullock), les Nouveaux Classiques (Robert Lucas Jr., Paul Romer), l’Ecole de Chicago (Frank Knight, Jacob Viner, George Stigler, Gary Becker) ou encore les monétaristes (Milton Friedman). L’école néoclassique fut la principale école de pensée jusqu’à la crise de 1929 (bien qu’elle redevient dominante après la stagflation des années 1970) et l’avènement du keynésianisme que nous allons étudier dans une troisième