Exposé Sur Les Monétaristes

auprès de la Banque centrale et en leur permettant de faire fluctuer ces réserves autour d.une valeur moyenne obligatoire sur une certaine période de référence de calcul des réserves obligatoires. Le système européen de réserves obligatoires sera exposé ultérieurement. La liquidité bancaire, taux du marché monétaire et offre de crédit dans une économie simplifiée Par définition, la liquidité des banques (LB) c.est la somme des dépôts des banques auprès des autres intermédiaires financiers

anticipations des agents économiques. Ils montrent les effets négatifs des politiques monétaires d'inspiration keynésienne et préconisent un strict contrôle de la masse monétaire, condition de l'équilibre économique. Le chef de file de l'école monétariste, Milton Friedman, a inspiré les politiques mises en place par Margaret Thatcher en 79 en Grande Bretagne, et Ronald Reagan aux États-Unis. Des économistes inspirés par sa doctrine ont donné naissance aux « Chicago Boys ». FRIEDMAN va combattre durement

depuis longtemps que la contrainte budgétaire de l’état constitue un lieu d’interactions stratégiques entre politique monétaire et politique budgétaire (cf. Desquilbet et villieu, 1998 pour une revue de la théorie du policy-mix). La position monétariste, initialement formulée par Milton Friedman est bien connue (voir Gemayel, 1997) : « l’inflation est toujours et partout un phénomène monétaire, en ce sens qu’elle résulte toujours et exclusivement d’une augmentation plus rapide de la quantité

production représente le 2/3 de la production globale de la France à cette période, alors que la productivité a baissé de plus de 30%. En effet la France dispose donc dispose en 1946 de 60 millions de tonnes contre 75 millions en 1939. Maurice Thorez expose l'ampluer de la crise du charbon vu par le Xe congrès du PCF, montre la pénurie de charbon dans laquelle est plongé toute l'Europe et notamment la France. Pour relancer la production de charbon en France la solution la plus évidente est celle de remettre

des marchés financiers. Le reflexe protectionniste qui s’en suit limite le commerce international et les investissements propageant la crise à l’Europe. L’auteur revient sur la controverse entre l’interprétation keynésienne (par la demande) et monétariste (par la production) de la propagation systémique de la crise à tous les secteurs de l’économie réelle. Pour Keynes c’est la chute de la consommation de biens durables et la crise de l’immobilier qui mettent de nombreux ouvriers au chômage et plonge

25.1 définit l’objet de la politique monétaire et évoque la question de son indépendance. • La section 25.2 traite de son contenu dans les États modernes, en trois points : objectifs, stratégies et instruments. • La section 25.3 est consacrée à un exposé de la politique monétaire de la Banque Centrale Européenne selon le même schéma : son objectif de stabilité des prix, sa stratégie de croissance de la masse monétaire, ses divers instruments d’émission de monnaie de banque centrale. • La section 25

et de l’impulsion qu’elle a donnée à la macroéconomie contemporaine. En 1936, il publie Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie. C’est un ouvrage plutôt mal composé et confus. Il opère une rupture épistémologique. En effet, il expose 2 grands principes qui vont marquer une rupture essentielle avec le monde néoclassique : - L’investissement entraîne toujours l’épargne après lui et au même rythme que lui. - Le principe de la demande effective : la demande globale détermine

particulièrement abordé la question de la monnaie comme instrument de stabilisation du cycle économique. Cependant, l'étude de ce phénomène a donné lieu à un long débat entre deux écoles de pensée : les non-interventionnistes (classiques, néo-classiques, monétaristes, néomonétaristes, Real Business Cycle) et les interventionnistes (keynésiens et néo-keynésiens). En résumé, les non-interventionnistes croient que le cycle économique découle de l'exercice d'optimisation par les agents économiques de leur satisfaction

monnaie qui est en cause mais le déficit extérieur de la GB et il ne prendra fin qu’avec la victoire de l’Angleterre sur les armées de Napoléon. C’est ce qui donnera plus tard naissance à la controverse autour de l’approche monétariste de la balance des paiements entre monétaristes et les keynésiens. 2.1.3 Fin de la controverse En 1810, un comité de 3 députés, dont Thorton, rend son rapport à la chambre des communes. La principale conclusion du rapport Thorton est le retour à la convertibilité.La guerre

que les fluctuation de l'activité économique dépendant non pas des variations de l'investissement, ainsi que l'affirme Keynes, mais celles de l'offre de monnaie. Rétablissant ainsi la théorie quantitative de la monnaie, d’où le qualificatif de monétariste qui s'applique a sa théorie, et remettant en cause, a la suite des libéraux, l'efficacité d'une intervention de l'état (soutenue par Keynes) pour favoriser l'expansion économique, il a joué un rôle influent sur la politique économique des États-Unis